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    CHILDE HASSAM, PEINTRE AMERICAIN.
    (1859-1935)
     
     
     
     
     
     
    120px-Childe HassamChilde Hassam
     
     
     
     
     
    Frederick Childe Hassam, est né le 17 octobre 1859 à Dorchester, Massachusetts, est mort le 27 août 1935 à East Hampton, New York.
     
    C’est un peintre impressionniste américain important du XIXe ‑ XXe siècles. Il était membre des Ten American Painters.
     
    Peintre de scènes de genre, figures, nus, intérieurs, paysages, paysages urbains, marines, natures mortes. Peintre à l'huile, à la gouache, aquarelliste, pastelliste, graveur, dessinateur, illustrateur, lithographe.
     
    En 1886, il séjourne à Paris pour étudier l'art à l'Académie Julian (1886-1889). Ses professeurs sont Gustave Boulanger et Jules Joseph Lefebvre. L'impressionnisme français et l'art de Claude Monet ont une forte influence sur lui.
     
    Childe Hassam revient en Amérique en 1889 et réside à New York. Là, il peint des bâtiments de la ville dans un style impressionniste.
     
    Il est mort le 27 août 1935 à East Hampton, dans l'État de New York.
     

     

     

     

     

     

    Hassam Washington Arch SpringChilde Hassam: Washington Arch, Spring, (1893)

    (Phillips Collection, Washington, D.C.)

     

     

     

     

     

     

     

    87px-Childe Hassam - Maude SewingMaude Sewing : aquarelle et graphite (1883)

    (Saint Louis Art Museum)

     

     

     

     

     

    120px-Rainy Day on Fifth Avenue 1893 Childe HassamRainy Day on Fifth Avenue (1893)

    (John and Mable Ringling Museum of Art)

     

     

     

     

     

    117px-Childe Hassam, ImprovisationImprovisation : huile (1899)

    (Smithsonian America Art Museum)

     

     

     

     

    Childe Hassam, est un peintre que j'ai rencontré au cours d'une de mes lectures, je trouve ces toiles et aquarelles très belles. Malheureusement il n'existe aucun livre d'art parlant de son œuvre (en français, car je suppose qu'en Amérique il y en a), le président Obama a fait installer quelques unes de ses toiles dans le bureau ovale).

    Je me suis donc rabattue sur Wiki pour offrir ces quelques toiles impressionnistes (l'art que j'aime par dessus tout.

    En espérant que ces dernières vous plairont autant qu'à moi...

     

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LES ESCLAVES
     
    Au commencement, Dieu créa le chat à son image.
    Et bien entendu, il trouva que c’était bien.
    Et c’était bien d’ailleurs.
     
    Mais le chat était paresseux.
    Il ne voulait rien faire.
    Alors plus tard, après quelques millénaires, Dieu créa l’homme.
    Uniquement dans le but de servir le chat.
    De lui servir d’esclaves jusqu’à la fin des temps.
     
    Au chat, il avait donné l’indolence et la lucidité ;
    A l’homme, il donna la névrose, le don du bricolage et la passion du travail.
    L’homme s’en donna à cœur joie.
    Au cours des siècles, il édifia toute une civilisation basée sur l’invention,
    La production et la consommation intensive.
     
    Civilisation qui n’avait en réalité qu’un seul but :
    Offrir au chat le gîte, le confort et le couvert.
    Jacques STERNBERG
     
     
     
     
     
     
    Chat-PhiLa Maîtresse : LIOUCHA…
     
    Elle n’a pas l’air commode ! Je n’aimerai pas être son esclave !
     
     
     
     
     
    D’où les conserves « ron-ron » « Félix » « purina » etc…
     
    Paniers, jouets,  parfums, colliers, etc…
     
    Enfin, toute une industrie, autour et rien que pour « nos amis les animaux » car bien sûr les chiens ne sont pas oubliés !
     
    Liviaugustae
     
     
     
    Vous pouvez retrouver cet article sur le site ci-dessous, un site de la Guadeloupe !
     
    

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    JACQUES MAJORELLE,
    (1886 à Nancy – 1962 à Paris)
     
     
     
     
     
    200px-Villa Majorelle à NancyMaison de Louis Majorelle le père de Jacques.
     
    (Sa maison natale)
     
     
     
    Fils du célèbre ébéniste artiste décorateur Art Nouveaux Louis Majorelle, Jacques suit son père depuis l’enfance sur ses chantiers. En 1902, Jacques s’inscrit à l’Ecole des Beaux Arts de Nancy, et monte à Paris en 1903, il s’inscrit à l’Académie Julian, où il suit les cours de Schommer et Royer.
     
    Il voyage beaucoup : l’Espagne, l’Italie…
     
    Puis  1919, le peintre français, s’installe dans la Médina de Marrakech (alors sous protectorat français), et là, il tombe amoureux des lumières, des couleurs, des odeurs, des bruits, de l’architecture, des Souks, des Kasbahs et des habitants…
     

     

     

     

     

     

    250px-Jardin Majorelle MarocLa Villa Majorelle restaurée et devenue,

    « Villa Oasis »

     

    En 1922, il achète une palmeraie  en bordure de Marrakech, et en 1931, il fait construire par l’architecte Paul Sinoir sa villa style Art déco. Il y aménage son habitation principale au premier étage et un vaste atelier au rez-de-chaussée.

    Amoureux de botanique, il crée un jardin autour de sa villa, structuré autour d’un long bassin central, avec des ambiances variées, planté d’une végétation luxuriante où nichent des centaines d’oiseaux. Ce jardin est une œuvre d’art vivante, composé de plantes exotiques et d’espèces très rares, qu’il rapporte de ses voyages du monde entier : cactus, yuccas, nénuphars, nymphéas, bambous, jasmin, bougainvilliers, cocotiers et palmiers.

     

     

     

     

    La forêt de bambousVue sur le jardin : La forêt de bambous…

     

     

     

    En 1937, Jacques Majorelle crée un bleu outremer à la fois très dense et très clair : le bleu Majorelle, dont il peint les murs de sa villa, puis tout le jardin, pour en faire un tableau vivant, qu’il ouvre au public en 1947.

     

    A la suite d’un accident de voiture, l’artiste est rapatrié à Paris où il mourra en 1962. Le jardin est alors laissé à l’abandon.

     

    Il est inhumé à Nancy, au côté de son père, au cimetière de Préville.

     

     

     

     

     

     

    280px-Toussaint 1888 800Toussaint,

    Cimetière de Préville peint par : Emile Friant.

     

    La villa et le jardin seront achetés en 1980 par Yves Saint-Laurent et Pierre Bergé. Les nouveaux propriétaires décident d’habiter la villa, rebaptisée « Villa Oasis », et entreprennent d’importants travaux de restauration du jardin.

    Aujourd’hui, l’atelier du peintre est transformé en Musée Berbère, et le jardin entretenu par une vingtaine de jardiniers, est devenu une attraction touristique de Marrakech.

     

    Textes et Images : source Wikipédia.

     

     

    J’ai cherché dans tous les dictionnaires que je possède… Pas trace de Jacques Majorelle, ni de son père d’ailleurs, alors que l’un et l’autre ont été de grands artistes français.

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    AMPHORISQUE
     
     
     
     
     
    numérisation0004
    Amphorisque
     
    (Découverte au Proche-Orient IVe siècle après J.C.)
     
     
     
     
     
    Cette amphorisque de production syro-palestinienne est en verre soufflé violet. L’embouchure est évasée, la lèvre repliée vers l’intérieur.
     
    Le col cylindrique s’évase vers le bas. L’épaule du vase est oblique, et la panse conique. Le fond est arrondi.
     
    Deux fines anses vertes en ruban sont appliquées sur l’épaule, étirées vers le haut et se repliant sous l’embouchure, où est appliqué un fil violet. Le vase porte une marque de pontil.
     
    Ces flacons sont de formes et de décors variés, mais on a supposé, vu leur petite taille, qu’ils appartenaient plutôt au domaine de la toilette. L’amphorisque offre un choix de couleurs contrastées, violet pour le corps, vert pour le décor appliqué et les anses.
     
    Ces modèles peuvent aussi représenter un décor cannelé avec ou sans dépression longitudinale sur la panse. Ils sont très en vogue au Proche-Orient et en Palestine.
     

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    A LA RECHERCHE DU FRANÇAIS PERDU…
     
     
     
     
     
     
    numérisation0007

    Notre-Dame de Paris

     
     
    La langue française est belle parce qu’elle est vieille. Vieille comme Notre-Dame, vieille comme Versailles, comme la maison de Jacques Cœur, comme le portrait de d’Agnès Sorel par Fouquet. Chaque mot a été roulé par les âges, il est devenu beau par l’usure, l’érosion, les souvenirs qui s’attachent à sa forme, l’étymologie qui raconte sa vie séculaire. On pourrait quasiment poser en principe que lorsqu’un mot est laid, c’est qu’il est superflu. Il n’est que de comparer un dictionnaire du XIXe siècle, le Littré ou le Darmesteter, aux dictionnaires que l’on publie aujourd’hui. Ces derniers sont pleins de discordances bien propres à désespérer les écrivains, les lettrés et le peuple s’il les feuillette. On voit là en plein les ravages de la néologie : quand apparaît un vocable inédit, au sens indécis, à consonance étrangère ou scientifique, il a vite fait de se substituer aux termes anciens qui étaient non seulement esthétiques mais encore adéquats ; il les mange comme un loup ou un bacille.
     
    Jean DUTOUR :
     
    Extrait de « A la recherche du français perdu »
     

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