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    LES PLUS BEAUX SAFARIS…

     

     

     

     

     

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    Le parc Etosha en Namibie

     

    De grandes plaines arides inexplorées par les touristes: voilà ce que découvrent les voyageurs qui visitent le parc Etosha. Dans ce lac asséché du désert de Namibie, zèbres, antilopes et autres animaux sauvages ont élu domicile. A la saison des pluies, des milliers d'oiseaux viennent s'ajouter au décor.

     

     

     

     

     

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    Le parc national Kruger

     

    Le parc national Kruger, en Afrique du Sud, s'étend sur plus de 20.000 km2, soit la même superficie que le Pays de Galles! Il n'est pas rare d'y voir le "big five", les cinq espèces reines des safaris: lion, léopard, éléphant, buffle et rhinocéros. Le parc est très bien aménagé et se visite avec son propre véhicule.

     

     

     

     

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    Les girafes du Niger

     

    Le Niger abrite les dernières girafes blanches du désert. Cette espèce autrefois prospère en Afrique de l'Ouest est aujourd'hui menacée par le braconnage et la déforestation. Depuis plus de dix ans, ces girafes font l'objet d'une attention particulière au Niger. Dans la région de Kouré, qui a l'avantage d'être peu touristique, vous pourrez les approcher de très près.

     

     

     

     

     

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    Les tigres du Bengale en Inde

    Le parc national de Corbett porte le nom d'un célèbre chasseur, Jim Corbett. Dans les années 1920, celui-ci organisa en Inde des chasses aux tigres et aux léopards devenues légendaires. La région de l'Uttarakhand attire aujourd'hui des pèlerins du monde entier ainsi que des voyageurs venus admirer les tigres et nombreux autres animaux sauvages du parc.

     

     

     

     

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    Sur la route des oiseaux migrateurs au Sénégal

    Le parc de Djoudj est le premier point d'eau que rencontrent les oiseaux migrateurs après leur longue traversée du Sahara du nord vers le sud. Pélicans, hérons, ibis, aigles: ils seraient près de trois millions à y faire escale. Troisième plus grande réserve ornithologique du monde, c'est sans nul doute la plus impressionnante du Sénégal. Le site se visite en pirogue entre novembre et avril.

     

     

     

     

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    Troupeaux d'impalas en Ouganda

    Buffles, hyènes, antilopes, gorilles et impalas ougandais: voilà une partie de la faune que l'on peut admirer dans les parcs nationaux d'Ouganda. Parmi eux: les superbes parcs Queen Elizabeth et parc du lac de Mburo, tous deux accessibles en véhicule tout terrain. Le second, bien que relativement petit, est un beau poste d'observation des oiseaux sauvages au milieu des marais.

     

     

     

     

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    En canoë sur le Zambèze

    Une façon originale d'admirer la faune et la flore de Zambie est de parcourir le fleuve Zambèze en canoë. En silence et sans empressement, la balade jusqu'aux chutes Victoria promet d'être belle. Hippopotames et crocodiles feront régulièrement apparition à la surface de l'eau tandis que sur le rivage, buffles et éléphants vous regarderont passer d'un air paisible

     

     

     

     

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    Approcher les grizzlys en Alaska

    Le parc national de Denali, au centre de l'Alaska, est une excellente destination pour des vacances sportives sur les sommets du Mont McKinley, le plus haut d'Amérique du Nord. La forêt abrite de nombreux grizzlys, des ours noirs, des élans et des loups. Des safaris de pêche sont également possibles sur le lac Wonder au cœur  du parc.

     

     

     

     

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    Safari sous-marin aux Philippines

    L'Asie du sud-est: un paradis pour les amateurs de plongée. Aux Philippines, on compterait plusieurs milliers d'espèces de poissons et des centaines de variétés de coraux! L'archipel de Palawan fait partie de ces eldorados aquatiques: on nage au milieu de falaises calcaires, de grottes et de cascades avec, sous la surface, une faune marine aussi variée que colorée.

     

     

     

     

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    Les flamants roses du lac Bogoria

    Collines verdoyantes, algues bleu-vert à la surface et des milliers, voire des millions de flamants roses qui se reposent: le lac Bogoria au Kenya offre toujours un splendide spectacle multicolore. Avec ses geysers et ses bassins d'eau chaude, il est assurément l'une des merveilles de la vallée du Rift. Il est possible de camper dans certaines zones de la rive.

     

     

     

     

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    La réserve de Mkhaya au Swaziland

    Le royaume du Swaziland est une destination africaine méconnue. Ses montagnes et ses collines le long de la frontière avec le Mozambique sont pourtant spectaculaires. Trois parcs nationaux proposent des circuits en 4x4 sur les traces des "big five", principaux animaux sauvages que l'on croise lors des safaris. Parmi eux, la réserve de Mkhaya, à trois heures de Maputo, la capitale du Mozambique.

     

     

     

     

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    La vallée des papillons au Pérou

    Le Pérou, paradis des papillons! Le territoire péruvien compterait à lui seul 20% de leurs espèces. Une bonne raison pour prévoir un voyage dans la jungle amazonienne. A la lisière de la forêt péruvienne et à deux heures de la ville de Huánuco, au centre-est du pays, le parc de Tingo María permet de jolies balades au milieu de papillons en liberté.

     

     

     

     

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    Dans la jungle amazonienne du Brésil

    Le bassin amazonien, qui s'étend sur 6 millions de km2, recouvre 60% de la surface du Brésil. Il s'agit tout simplement de la plus grande concentration d'espèces animales comme végétales de la planète. Au Brésil, de nombreux treks sont organisés au départ de Manaus. Parmi eux: l'ascension du point culminant du Brésil, le Pico da Neblina, en plein cœur de la forêt vierge amazonienne.

     

    Images et textes : source internet

     

    Comme il fait gris, froid, que l’hiver bat son plein, je vous offre un safari au soleil…

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LES GRAND REALISATEURS
     
    HITCHCOCK :
    La foi du silence.
     
    Le réalisateur mythique de « Sueurs froides » pleura à chaudes larmes en communiant au corps du Christ, pour la première fois depuis bien longtemps à la fin de sa vie.
    Cette confidence, révélée récemment par le Wall Street Journal et relayée par le Catholic Herald (14 décembre 2012), est due au prêtre américain Mark Henninger.
    Ce jésuite y rappelle qu’Alfred Hitchcok revint à la foi catholique dans sa 80e année. Il demanda au prêtre de venir célébrer la messe dans sa demeure de Los Angeles. « Je n’oublierai jamais, confie le Père Henninger. Après la communion, il pleura silencieusement. Et je voyais des larmes énormes  rouler sur ses joues toutes rondes. »
    Quelques mois plus tard, Hitchcok mourut.
    Eut-il à gravir « les 39 marches » pour rejoindre Celui qu’il avait reçu avec des larmes d’enfant ? Une chose est sûre : Dieu est, pour chacun de nous, l’amour aux trousses.
    Luc Adrian
    Extrait de : Famille Chrétienne
     
    En ce temps-là, il y avait de grands réalisateurs, qui faisaient de bons films, avec une bonne histoire, d’excellents acteurs, de somptueux décors ! Ils nous sortaient de notre petit train-train, et nous embarquaient sur les ailes du rêve…
    Hitchcok était l’un d’eux, ses films étaient à la fois : policiers, humoristiques et pleins d’aventures, cependant j’ignorais qu’il était catholique. Et comme beaucoup de non pratiquants, au soir de la vie ils reviennent retrouver Dieu, pour le grand voyage.
    L’un de mes préférés est : « Sueurs froides », je vous en offre un passage.
    Liviaaugustae
     
     
     
     
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    04-février 2012

    HIVER…

     

    Un matin de froidure,

    En ouvrant les volets,

    Une symphonie de blanc, et d’argent bleuté

     S’offrait à mes yeux émerveillés!

    Durant la nuit,

    L’hiver avait brodé sur les arbres

    Et dans les haies,

    Des dentelles de glace éphémères.

    Tout brillait d’une étrange beauté

     

     

    Pavanez-vous encore un peu

    Dans vos précieux atours,

    Quand Phébus s’éveillera,

    Etirant ses longs doigts dorés,

    Dans une longue caresse,

    Il éteindra vos mille feux,

    En longues larmes scintillantes.

    C.F.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    CHRISTINE DE PIZAN.

     

     

     

     

     

     

    numérisation0001Première page du livre : La cité des dames.

    (Miniature (détail) XVe siècle, BN Paris)

     

    La vie de Christine de Pizan (v. 1363-v. 1430) est une véritable gageure quand on la replace dans le cadre des terribles évènements qu’elle traversa : défaite d’Azincourt, guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, etc.

    Fille d’un médecin astronome italien au service de Charles V, elle vint à Paris à l’âge de 4 ans. Mariée à 14 ans, veuve à 25, avec trois enfants à sa charge, sans compter sa sœur et sa nièce (seulette suy et seulette vueil estre, seulette m’a mon doulz ami laissiée…) elle transforma son veuvage en métier d’écrivain pour gagner sa vie grâce à sa plume. Son œuvre est immense : poésies lyriques, épîtres, allégoriques et pédagogiques ; traités de politique, ouvrages d’histoire ou de polémique, elle intervient aussi bien pour défendre les femmes, comme dans ses épîtres sur le Roman de la rose dans lesquels elle combat aux côtés de son contemporain Gerson pour inciter la reine Isabeau de Bavière à faire la paix entre les princes rivaux. Enfin, dans sa dernière œuvre, le Ditié de Jehanne d’Arc (achevé le 31 juillet 1429), elle chante le miracle du choix d’une jeune fille par Dieu.

    Elle réclame pour toutes les femmes, quelle que soit leur condition sociale, une éducation à la vertu qui soit proprement féminine. Il faut préparer les filles à rencontrer les joies et les chagrins de la vie. La science morale fera de chacune l’associée de son mari. La science politique leur sera utile pour administrer les terres et les revenus du château quand le mari sera absent ; la maison, quand le marchand est au loin…

    S’appuyant sur Le Pédagogue de Clément d’Alexandrie, elle insiste sur l’égalité de nature entre les deux sexes. Il faut donc que la femme reçoive la même éducation que celle de l’homme.

    Sa piété doit lui permettre de faire triompher deux vertus : la sobriété et la chasteté.

    Dans La Cité des dames, elle proteste contre les clichés populaires selon lequel les femmes ne savent pas garder un secret… Les femmes sont capables de se lancer dans la politique et de faire preuve de courage physique. Encore faut-il qu’on ait appris aux hommes à les respecter.

    Pour empêcher les hommes d’être misogynes, le meilleur moyen est d’apprendre aux jeunes garçons de la bouche de leur mère que les femmes sont dignes d’être aimées. (ne croy pas toutes les diffames qu’aucuns livres dient des femmes, car il est mainte femme bonne, l’expérience le te donne). Ecrit-elle à son fils. La femme est la compagne naturelle de l’homme. Il est construit par elle : (à son naître, au vivre et au mourir lui sont femmes aidantes et secourables. Homs naturel sanz femme ne s’esjoye. C’est sa mère, c’est sa sœur, c’est sa mie.)

    Pour Christine, lorsque le roi est fou, tout repose sur la femme, car elle est l’unique pédagogue survivante dans un monde perdu, la seule à être encore remplie de science, de foi et d’amour.

    Michel ROUCHE (Professeur émérite à la Sorbonne)

    Extrait de : Famille Chrétienne

     

    Mr Hollande, Mr Ayrault et leur clique devraient lire Christine de Pizan, qui leur dirait combien, la femme est nécessaire à l’homme, de son berceau, durant sa vie, jusqu’à sa mort !

    En somme, c’est la femme qui fait l’homme, au sens propre comme au sens figuré. Car, mettez deux poules ensembles, elles pondront, mais il n’y aura pas de poussin… Mettez deux coqs ensembles… Là il n’y aura pas d’œufs, donc pas de poussins, et la race des gallinacés s’éteindra !

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    JEAN D’ORMESSON ET LE MARIAGE GAY…

     

    « Je suis pleinement favorable au mariage gay, mais seulement entre politiciens de gauche.

    Tout ce qui peut contribuer à leur non reproduction est un bienfait pour tous ! »


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