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    POUR LE TABLEAU DU SAMEDI

     

    Les dames du Second Empire...

     

    Alexandre Cabanel, est né à Montpellier en 1823, il meurt à Paris en 1899.

    Artiste peintre français considéré comme l’un des grands peintres académiques et le plus admiré du second Empire, (il fut le plus admiré et le plus critiqué).

    Fils d’un modeste menuisier, Cabanel commence son apprentissage à l’école des Beaux-Arts de Montpellier, dans la classe de Charles Matet conservateur du Musée Fabre.

    Doté d’une bourse il s’installe à Paris en 1839.

    Et entre en 1840 à l’école des beaux Arts où il est l’élève de François Picot.

    Après deux échecs, Cincinnatus recevant les ambassadeurs de Rome en 1843 et le Christ au Jardin des Oliviers en 1844, il est lauréat d’un second prix de Rome en 1854, et pensionnaire de la villa Médicis jusqu’en 1850.  Il reçoit les insignes de chevalier de la Légion d’honneur en 1855.

    La célébrité arrive avec la Naissance de Vénus exposée au Salon de 1863, elle est achetée par Napoléon III pour sa collection personnelle (le tableau se trouve actuellement au Musée d’Orsay) […]

    Une rue porte son nom à Paris dans le 15e arrondissement, une autre à Montpellier, à Béziers, ainsi qu’à Toulouse. […]

     

     

    Les dames du Second Empire...

    La Naissance de Vénus (1863)

    Son premier succès…

     

     

     

    Les dames du Second Empire...

    Portrait de la Comtesse Elisabeth Vorontsova-Dashkova

     

     

     

    Les dames du Second Empire...

    Les Deux nièces du peintre

     

     

     

    Les dames du Second Empire...

    La Comtesse de Keller

     

     

     

    Les dames du Second Empire...

    Marie-Victoria  Leiter

     

     

    Les dames du Second Empire...

    Olivia Peyton Murray Cutting

     

     

     

    Les dames du Second Empire...

    Albaydé aux yeux de gazelle (1848 à Rome)

    (Inspiré par « les Orientales de Victor Hugo en 1829)

     

     

     

    Les dames du Second Empire...

    La Chiarrucia (1848)

    (Une fille de son pays)

     

    (Textes et images de wikipédia)

     

    J’ai choisi le thème des portraits de femmes célèbres de l’époque, de l’artiste : toutes plus belles, fines et élégantes, les unes que les autres.

    Ce peintre que je découvre aujourd’hui est aussi l’auteur de très nombreux tableaux sur l’antiquité.

    Cette antiquité, notre berceau, qui a fascinée beaucoup de peintres de cette époque.

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     


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    C’est la plus belle des filles du roi Priam et de la reine Hécube.

    Elle fut aimée d’Apollon qui lui donna le don de prophétie. Mais comme elle ne répondait pas à son amour, le Dieu retira toute crédibilité à ses prédictions.

    Cassandre à beau prédire que Pâris apporterait la ruine à Troie, annoncer la mort d’Hector, prévenir du danger que représente le fameux « cheval de Troie », prophétiser la chute de la ville, personne ne la croit.

    Pendant le sac de Troie, elle se réfugie dans le temple d’Athéna où elle s’agrippe à la statue de la déesse. Le guerrier grec Ajax l’en arrache et la viole, elle qui était vierge jusque là. Pour ce sacrilège, Athéna punira sévèrement les Grecs.

     

     

    Cassandre...

    Ajax violentant Cassandre dans le temple d’Athéna

    Fresque de Pompéi de la maison de Ménandre, 1e siècle après J.C.

     

     

     

    Cassandre...

    Ajax violentant Cassandre, cratère à volutes (détail)

    Vers 360-350 avant J.C. trouvé à Ruvo et conservé au Musée Archéologique de Naples

     

    Lors du partage du butin, elle fut donnée à Agamemnon qui s’éprend d’elle, elle lui donnera des jumeaux.

    Dès son arrivée en Grèce, elle éveille la jalousie de Clytemnestre qui la tue en même temps qu’Agamemnon.

    L’enlèvement de Cassandre dans le temple d’Athéna est une scène souvent reproduite dans l’art grec et romain.

     

    Et nous disons toujours, lorsque quelqu’un prédit un évènement ou un malheur qu’il est : un(e) Cassandre !

    Liviaaugustae

     

     


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    La logique des hommes...

    La forêt est une source de richesse, mais…surexploitée.

    (image wikipédia)

     

    « L’être humain est incroyable !

    C’est la seule créature qui va couper des arbres, en faire du papier et écrire dessus :

     « Sauvez les arbres » ! »

     

    C’est exactement ce que j’ai fait !

    J’ai tapé, imprimé, découpé et…

    -       J’ai collé un petit papier sur ma boîte aux lettres, avec ces mots :

    -       « Pas de publicité ! Sos, sauvons les arbres »…

    Il est vrai que depuis cela je n’ai plus de pub !

    Liviaaugustae


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    JEUDI 29 MAI 2014

    L’Ascension.

     

     

    Ascension...

    L’Ascension du Christ de Giotto di Bondonne

    Fresque de l’église de l’Arena.

     

     A l’heure où Jésus passait de ce monde à son Père, Il disait à ses disciples : « si vous m’aimez, vous resterez fidèles à mes commandements. Moi, Je prierai le Père, et Il vous donnera un autre Défenseur qui sera pour toujours avec vous : c’est l’Esprit  de vérité. […]

    Evangile selon Saint Jean (14, 15-21)

     

    « Dieu est souvent symbolisé par la lumière. Comme le soleil que je ne peux pas regarder de face au risque de me brûler les yeux, mais qui m’éclaire et qui m’entoure, Dieu, que je ne vois pas, éclaire mon existence en me donnant des « signes » de sa présence. » […]

    Daniel Lacourt


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    La chanson d'Ulysse...

    Circé tendant la coupe à Odysseus

    John William Waterhouse

    (Oldham Art Gallery)

     

     

    La chanson d'Ulysse...

    Pénélope par Domenico Beccafumi

     (vers 1514)

     

     

    La chanson d’Ulysse

     

    Circé, toute ma chair ! Pénélope, ô mon âme !

    L’amour brûlant et l’amour doux,

    L’eau qui me rafraîchit et le feu qui m’enflamme :

    Les deux moitiés de moi, c’est vous !

     

    Pénélope et Circé, ma force et ma faiblesse,

    Vous êtes mes deux volontés

    Et votre double amour qui caresse et qui blesse,

    Brise mon cœur où vous luttez !

     

    Ma Pénélope et ma Circé, mes deux aimées,

    Vous êtes tout ce qui m’est cher,

    Et je vous sens courir, ainsi que deux armées,

    A travers mon âme et ma chair !

    Edmond Haraucourt (1857-1942)


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