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    Ce mal qui nous ronge...

    Comme la mouette, perchée sur ce mur,

    Nous  paressons, puisque c’est l’été,

    Nous sommes en vacances.

    Le mal lui, n’est jamais en vacances,

    Il s’insinue et nuit autant qu’il le peut,

    Ne dormez plus braves gens,

    Le temps nous est compté !

     

     

    « Pour triompher, le mal n’a besoin que de l’inaction des gens de bien ».

    Edmund BURKE


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    De retour, mais pas trop en forme, je reprendrai mon blog en main début août.

    J’ai été très touchée et vous remercie, pour  vos  commentaires sympathiques laissés, durant mon escapade…


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    POUR LE TABLEAU DU SAMEDI

     

     

     

    Les fresques de l'impératrice...

     

     

    Les fresques de l'impératrice...

    L’impératrice Poppée (55-65 après J.C.)

     

    « Beauté parfaite, corps d’albâtre, peau de pêche, intelligence acéré, les yeux fermés devant les débordements de son mari qui ferment aussi les yeux sur ses débordements, la chevelure frisée au fer, la bouche fine, la narine frémissante, le cou altier, Poppée a tout pour séduire : bref, le profil idéal pour être la femme de Néron. 

    Ses frasques, ont alimentées les potins des Forums »

    Claude Aziza

    (Maître de conférences honoraires de l’Université de la Sorbonne)

     

    Je vous présente les fresques, (mais pas les frasques), de la Villa de Poppée, (épouse de Néron) à Oplontis,. Nous aurions aimé admirer les fresques (malheureusement disparues) de tous les palais impériaux qui étaient encore plus richement décorés que la villa de campagne de Poppée et dont nous parlent les auteurs antiques impressionnés par leurs grandioses beautés !

     

     

     

    Les fresques de l'impératrice...

    Un oiseau se désaltérant dans une vasque…

    (1er  siècle après J.C. Villa de Poppée à Oplontis)

    Des vasques de ce type et parfois plus décorées, agrémentaient tous les jardins romains.

     

     

     

    Les fresques de l'impératrice...

    Un petit échassier, comme on en trouvait il y a deux mille ans…

    (1er siècle après J.C. Villa de Poppée à Oplontis)

     

     

     

    Les fresques de l'impératrice...

    Décors en trompe-l’œil, richement décorés de peinture d’or, et de pierreries, que l’on pouvait voir dans toutes les demeures impériales…

    (1er siècle après J.C. Villa de Poppée à Oplontis)

     

     

     

    Les fresques de l'impératrice...

    Décor bacchique, avec le thyrse derrière une grande corbeille de fruits recouvert d’un léger voile…

    (1er  siècle après J.C. Villa de Poppée à Oplontis)

     

     

    Blog en pause pour de petites vacances familiales.

    A très bientôt et bonnes vacances à tous.

     

     

     

     


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    Un bouquet pour l'été...

    Lilium Candidum

    (image wikipédia)

     

    « Brusquement, le jardin s’illumine.

    Les lys sont en fleur. »

    Odile Dormeuil

     

     

     

    Un bouquet pour l'été...

    Giroflée des murailles orangée

     

    « Sentez ces parfums ! Une brassée de roses, de giroflées et de pois de senteurs : c’est l’été ! »

    Pierre Granier

    (Images wikipédia)

     

     

    Je suis malheureusement allergique aux lys, et pourtant je les adore ! Il faut choisir, jolies fleurs dans un beau vase pour le décor, avec le nez qui coule, les yeux qui pleurent et des éternuements en chaîne…  Alors j’ai choisi pas de lys !

    Par contre je ne sais absolument pas si je suis allergique aux giroflées ? Il faudrait essayer…

    Liviaaugustae

     


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    La pureté d'un vase...

    Vase Médicis, où poussent des roses blanches…

     

    Sculpteur cherche avec soin…

     

    Sculpteur, cherche avec soin, en attendant l’extase,

    Un marbre sans défaut pour en faire un beau vase ;

    Cherche longtemps sa forme et n’y retrace pas

    D’amours mystérieux ni de divins combats.

    Pas d’Héraklès vainqueur du monstre de Némée,

    Ni de Cypris naissance sur la mer embaumée ;

    Pas de Titans vaincus dans leurs rebellions,

    Ni de riants Bacchus attelant les lions

    Avec un frein tressé de pampres et de vignes ;

    Pas de Léda jouant dans la troupe des cygnes

    Sous l’ombre des lauriers en fleurs, ni d’Artémis

    Surprise au sein des eaux dans sa blancheur de lys.

    Qu’autour du vase pur, trop beau pour la Baccante,

    La verveine mêlée à des feuilles d’acanthe

    Fleurisse, et que plus bas des vierges lentement

    S’avancent deux à deux, d’un pas sûr et Charmant

    Les bras pendants le long de leurs tuniques droites

    Et les cheveux tressés sur leurs têtes étroites.

    Théodore de Banville

    (Les Stalactites)


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