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    Pour voir la reconstitution numérique des Thermes de Caracalla, clic sur le lien ci-dessous :

     

    https://www.youtube.com/watch?v=ejxVEbOba2g

     

     

     

    C'était un palais...

    Thermes de Caracalla, reconstitution de la ville de la Rome Antique, sur une maquette datant des années 30.

     

     

     

    C'était un palais...

    Vestiges des thermes que l’on peut admirer aujourd’hui.

     

     

     

    C'était un palais...

    Les thermes de Caracalla, sont les mieux conservés des édifices de ce type à Rome.

     

    En 212, l’empereur Caracalla commence sur l’Aventin la construction de thermes monumentaux, les plus grands de la Rome de son époque et qui ne seront surpassés que par ceux de Dioclétien.

    L’ensemble presque carré couvre une superficie de 9 hectares. Environ 1600 personnes pouvaient s’y baigner en même temps.

    Caracalla avait voulu que ses thermes constituent un véritable musée et tout avait été fait pour embellir les différentes salles.

     

    En 212, l’empereur Caracalla commence sur l’Aventin la construction de thermes monumentaux, les plus grands de la Rome de son époque et qui ne seront surpassés que par ceux de Dioclétien.

    L’ensemble presque carré couvre une superficie de 9 hectares. Environ 1600 personnes pouvaient s’y baigner en même temps.

    Caracalla avait voulu que ses thermes constituent un véritable musée et tout avait été fait pour embellir les différentes salles.

     

     

     

    C'était un palais...

    Statue d’Hercule au repos, de 3 mètres de haut donnant une idée de la magnificence des thermes.

     

     

     

    C'était un palais...

    Groupe statuaire gigantesque ornant les thermes de Caracalla :

    Les fondateurs de Thèbes Amphion et Zéthos, enchaînant Dircé aux cornes d’un taureau sauvage.

     

     

     

     

     


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    Nuit de printemps...

    Lilas (1889)

    Vincent Van Gogh

     

    Nuit de printemps

    Le ciel est pur, la lune est sans nuage :
    Déjà la nuit au calice des fleurs
    Verse la perle et l'ambre de ses pleurs ;
    Aucun zéphyr n'agite le feuillage.
    Sous un berceau, tranquillement assis,
    Où le lilas flotte et pend sur ma tête,
    Je sens couler mes pensers rafraîchis
    Dans les parfums que la nature apprête.
    Des bois dont l'ombre, en ces prés blanchissants,
    Avec lenteur se dessine et repose,
    Deux rossignols, jaloux de leurs accents,
    Vont tour à tour réveiller le printemps
    Qui sommeillait sous ces touffes de rose.
    Mélodieux, solitaire Ségrais,
    Jusqu'à mon cœur vous portez votre paix !
    Des prés aussi traversant le silence,
    J'entends au loin, vers ce riant séjour,
    La voix du chien qui gronde et veille autour
    De l'humble toit qu'habite l'innocence.
    Mais quoi ! déjà, belle nuit, je te perds !
    Parmi les cieux à l'aurore entrouverts,
    Phébé n'a plus que des clartés mourantes,
    Et le zéphyr, en rasant le verger,
    De l'orient, avec un bruit léger,
    Se vient poser sur ces tiges tremblantes.

     

    François-René de CHATEAUBRIAND   (1768-1848)

     

    je signale que la phrase :

    «Je sens couler mes pensers rafraîchis », sont de Chateaubriand et non une faute de frappe ou d’orthographe de ma part !

    Liviaaugustae


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    Aujourd’hui dimanche 29 mars, c’est « le dimanche des Rameaux et de la Passion »…

    Nous changeons d’heure, en rajoutant 1 heure à nos pendules !

    Et nous voterons !

    Un dimanche  au programme bien chargé!

     

     

     

    Des Rameaux à la Passion...

    L’entrée de Jésus Christ dans Jérusalem

    (Fresque de Giotto)

     

    Le dimanche des Rameaux est le dimanche  qui précède Pâques dans le calendrier liturgique chrétien .

    Ce dimanche commémore à la fois deux événements. Il correspond, d'une part, à l'entrée solennelle de Jésus  à Jérusalem  où il fut acclamé par une foule agitant des palmes. D'autre part, ce dimanche commémore la Passion du Christ et sa mort sur la croix. Ce dimanche des Rameaux, dont le nom liturgique est « Dimanche des Rameaux et de la Passion » (dans la forme ordinaire du rite romain  depuis les réformes qui ont suivi le concile Vatican II  ; avant cette réforme et dans la forme extraordinaire de la messe  il s'appelle « Deuxième dimanche de la Passion ou dimanche des Rameaux », le premier dimanche de la Passion étant le dimanche précédent et ces deux dimanches formant le « Temps de la Passion », inclus dans le Carême), est le début de la

    « Semaine Sainte ». L'expression « Pâques fleuries » a souvent désigné ce jour de manière poétique . Il est aussi connu sous le nom de dimanche des palmes dans le sud de la France.

    Le terme "dimanche des palmes" est également présent dans un acte de mariage de 1692 d'un village meusien (Registre E Dépôt 514(6) de la paroisse de Viéville).

    Texte et image wikipédia

     


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    Laurits Andersen, né le 15 août 1854 à Ring et mort le 10 septembre 1993, à Sankt Jorgensbjerg Sogn, Seeland est un peintre symboliste danois. En 1881, il prend le nom de sa ville natale, il est connu depuis  sous le pseudo de L.A. Ring.

     

     

     

    Tableaux du samedi...

    Le peintre dans le village

     

     

     

    Tableaux du samedi...

    Route près de Maagenstrup (1888)

     

     

     

    Tableaux du samedi...

    Au petit déjeuner (1898)

     

     

     

    Tableaux du samedi...

    Soirée d’été sur la plage de Skagen (1899)

     

    Texte et images wikipédia

     

     

    Paysages paisibles dans la campagne et au bord de la mer, j’aime tout particulièrement le dernier tableau, avec le soleil couchant  se mirant dans la mer, jetant ses derniers feux avant de se coucher, qui me rappelle les promenades, que nous faisions autrefois après le dîner sur la plage…

    La communauté « Pour le tableaux du samedi » n’existe plus. Comme j'aime beaucoup l’art, je vais continuer ma présentation de tableaux, en solo le samedi…

    Liviaaugustae

     

     

     

     


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    Fils du Ciel...

    L’empereur Yung-Cheng (1678-1735)

     

    L’empereur de Chine Yung-Cheng,  admirateur du roi de France Louis XIV, se costume en gentilhomme, il porte une culotte à la française, un habit de soie, une cravate et une perruque abondement bouclée. Depuis plus de vingt ans, le postiche « Grand Siècle » est passé de mode à Versailles. Le Fils du Ciel ne s’en soucie guère. Ou l’ignore peut-être. Les inventions et les usages, les idées nouvelles venues d’Occident, tellement « exotiques », fascinent le puissant monarque chinois.

    C’est une curiosité réciproque depuis que les récits du vénitien Marco Polo, de retour de la cour du Grand Khan, près de cinq siècles auparavant, ont enflammé l’imaginaire des cours occidentales. […]

    Les grands bouleversements politiques de la fin du XIIIe siècle en France et du début XIXe siècle en Chine, sonnent le glas des deux monarchies. Au-delà de leurs infinies différences, le Louvre et la Cité pourpre vont encore partager un destin commun. Aux antipodes, les palais sont devenus les deux plus grands ensembles muséaux du monde et collaborent encore aujourd’hui régulièrement.

     

    En ce temps-là, la France faisait rêver,  au-delà les océans…

    Liviaaugustae

     


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