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    Hommage...

     

    L'Institut où siège l'académie française

     

     

     

    Il paraît que c'est une déferlante d'hommages, depuis Macron jusqu'à Bruel !

     

    Je vais donc joindre mon modeste, mais bien réel hommage, à celui de tous les opportunistes qui viennent gazouiller sur les ondes, dans les médias et sur internet, afin de se faire un peu de pub.

     

    Il disait : «Je ne crois pas en Dieu, mais j'espère qu'il existe » !

     

    Aujourd'hui, il sait !

     

    Il va pouvoir disserter avec l'ange Gabriel sur qui il écrivit : « Le rapport Gabriel » dont je vous avais parlé.

     

    Son dernier livre est sorti il n'y a pas longtemps, il est dans ma bibliothèque et attend d'être lu.

     

    L'académie Française est en deuil ainsi que la langue française qu'il maniait avec tant de brio.

     

    Adieu Monsieur d'Ormesson.

     


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    L'évangile nous dit : «  Si l'on vous frappe sur la joue droite, tendez la joue gauche »... Il est plus facile de le dire, que de le faire !

     

    Aujourd'hui c'est tellement courant pour les cathos d'être frappés sur la joue droite, que certains ont tendance à tendre la joue gauche, avant même d'être frappé.

     

    J'avoue quand à moi, que j'ai de plus en plus de mal à tendre la joue gauche après avoir été frappée sur la droite, j'ai une grande envie de rendre les baffes !

     

    Il est grand temps d'arrêter de faire profil bas en rasant les murs, et de battre notre coulpe , en laisser toute la place à ceux qui arrivent, qui parlent fort et qui veulent occuper toute la place!

     

    Le texte ci-dessous, est d'un auteur que j'apprécie beaucoup, qui est très réconfortant sur le sujet.

     

    Liviaaugustae

     

     

     

    La vérité, une exigence de justice...

    A-t-elle été frappée ?

     

    (Image internet)

     



     

     

     

     

     

    Tendre la joue gauche, oui mais, à bon escient !

     

     

     

    « C’est un sport reconnu chez les médias que de taper sur les catholiques. C’est facile, ça ne mange pas de pain et ça donne bonne conscience au milieu. Il ne s’agit pas de tirer à boulet rouge sur les autres religions. L’Islam, trop dangereux, a montré à plusieurs reprises qu’il ne se laisserait pas faire. Les juifs, à la moindre incartade, sortent l’épouvantail antisémite qui n’est autre qu’une forme d’autocensure de la doxa médiatique. Les protestants dérangent d’autant moins que certaines Eglises se coulent dans le lit du bien-pensant actuel. Trop les asticoter serait probablement contre-productif pour l’intelligentsia en place. Mais les cathos… non seulement c’est l’homme à abattre, mais en plus, ils tendent la joue gauche, courbent l’échine et paraissent se complaire dans le misérabilisme d’un faux martyre.

     

    A un protestant à bout d’argument qui lui disait « Monseigneur si je vous frappe que faites-vous ? » saint François de Sales répondit « l’Evangile me demande de tendre la joue gauche, mais je vous déconseille d’essayer ». Si nous prenons des coups mérités, il est normal de plier l’échine humblement. Mais refuser l’injustice est un devoir de vérité qui est une œuvre de charité (de miséricorde pour coller à l’actualité). Il serait donc temps que les catholiques cessent de faire le dos rond quand la presse nous matraque injustement. L’actualité regorge de myriades d’exemples, quotidiens, qui sont autant de brimades, de vexations, de mensonges que les catholiques subissent sans rien dire.
    Misérabilisme ou lâcheté ? Sans doute les deux, autant qu’abrutissement dérouté. La violence et la force de ces attaques répétées nous déboussolent. Il est temps me semble-t-il de redresser la tête et de faire front.

     

    Il ne s’agit bien entendu pas de rendre œil pour œil et dent pour dent, mais de revendiquer nos droits à la justice et à la vérité. La joue gauche elle a bon dos et elle rend bien service aux malfrats d’en face qui ne s’embarrassent guère de scrupules.

     

    Une diffamation, c’est un procès. Une désinformation, c’est un droit de réponse. La vérité, ne l’oublions pas, est une exigence de justice !

     

    Cyril Brun

     

     


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    Je vous ai parlé de la provenance de l'expression « être sous le joug », aujourd'hui il s'agit de l'expression « Etre sous l'égide » ce qui est beaucoup plus confortable, cela connote une protection, parfois affectueuse, mais toujours constructive.

     

    Liviaaugustae

     

     

     

    « Etre sous l'égide »

     

    C'est être sous la protection de quelqu'un.

     

     

    Le goût des mots...

    Athéna portant l'égide

     

    Copie romaine du Ve siècle avant J.C.

     

     

     

    Dans la mythologie grecque, l'égide était un vêtement mystérieux associé à Zeus et à sa fille Athéna. Elle est représentée parfois comme une sorte de cape.

     

    Elle peut aussi prendre la forme d'un bouclier, ou d'une cuirasse bordée. Certaines sources disent qu'elle est faite à partir d'une peau de chèvre (peut-être la peau de chèvre magique Amalthée) quand d'autres assurent qu'elle est en or pur. Dans les mains d'Athéna, l'égide est un manteau tissé de serpents siffleurs.

     

    Quoi qu'il en soit cette égide était réputée pour être un outil d'une formidable puissance. Zeus pouvait provoquer de violents orages et frapper les hommes de terreur rien qu'en l'agitant.

     

    Athéna la portait dans les batailles pour terrifier ses ennemis. Placé sur le devant de l'égide, on trouvait la tête coupée de Méduse, qui était si horrible à regarder que quiconque la voyait était instantanément changé en pierre.

     

    Etre couvert par l'égide des dieux voulait dire avoir des amis hauts placés.

     

    C'est ce sens de protection, associé à celui de haute autorité qui survit aujourd'hui encore.

     

     


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    3 décembre 2017

     

    1er dimanche de l'Avent

     

     

     

     

     

    Aujourd'hui, nous avons allumé la première bougie de l'Avent !

     

    Et comme je ne me souvenais très bien plus pourquoi on allumait les bougies, j'ai fait quelques recherches pour me rafraîchir la mémoire, je vous les livre ci-dessous :

     

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

    Temps liturgique précédant la fête de Noël.

     

    Quatre dimanches de l’Avent. Ce temps de préparation à la célébration de la naissance de Jésus est marqué par la symbolique de l’attente et du désir. Une tradition de l’Avent utilise la symbolique des bougies au long des quatre dimanches.

     

    • Premier dimanche la bougie symbolise le pardon à Adam et Eve.

    • Deuxième dimanche la bougie symbolise la foi des Patriarches, en la Terre Promise.

    • Troisième dimanche la bougie symbolise la joie de David, célébrant l’Alliance avec Dieu.

    • Quatrième dimanche la bougie symbolise l’enseignement des Prophètes, annonçant un règne de paix et de justice.

    • Avent : début de l’année liturgique.

     

     

    L'Avent...

    Lumière de Noël dans les ténèbres...

     

    (image internet)

     

     

     

    Le temps de l'Avent (du latin adventus « venue, avènement), s'ouvre le 4e dimanche précédent Noël.

     

    L'Avent est la période durant laquelle les fidèles se préparent intérieurement à célébrer Noël, événement inouï et décisif pour l'humanité, puisque Dieu s'est fait homme parmi les hommes ; de sa naissance à sa mort sur la Croix, il a partagé en tout la condition humaine, à l'exception du péché.

     

    Chacun est appelé à la vigilance et au changement de vie. La parole des Prophètes, qui retentit en chaque liturgie dominicale de l'Avent, redit la nécessité de la conversion et de la préparation du cœur, comme le rappellent également les autres lectures de la messe.

     

    Le début de l'Avent marque aussi l'entrée dans une nouvelle liturgie : celle-ci commence chaque année avec ce temps de préparation à Noël, pour s'achever une année plus tard à la même période.

     

    L'Avent, comme l'ensemble du calendrier liturgique, aide les fidèles à revivre les grands événements de la vie et de l'enseignement du Christ, en particulier de sa naissance, (Noël) à sa Résurrection (Pâques).

     

    L'Eglise relit et revit donc «  tous ces grands événements de l'histoire du salut dans « l'aujourd'hui » de sa liturgie ».

     

     

     

    Portail de l'Eglise catholique de France

     

     


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    L'art du pastel de Degas à Redon...

     

     

     

    De jolis portraits, des paysages ruisselant de soleil, de charmants tableaux, le Petit Palais, expose ses pastels !

     

     

    Regard sur l'art...

    Sara avec son chien

     

    Mary Cassatt

     

     

    Regard sur l'art...

    Bord de mer (1878)

     

    James Tissot

     

     

    Regard sur l'art...

    Femme s'essuyant (1884-86)

     

    Degas

     

     

    Regard sur l'art...

    Calanche (1930)

     

    Levy-Dhurmer

     

     

    Regard sur l'art...

    Pegase

     

    Odilon Redon

     

     

    Regard sur l'art...

    Une Muse (1725)

     

    Rosaria Carriera

     

     

     

    (Images wikipédia)

     

     

     

     

     

    Tous ces peintres sont exposés au Petit Palais jusqu'au 18 avril 2018.

     

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     


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