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    Une pensée pour les chrétiens d'Irak...

     

    Jonas dans le ventre de la baleine.

     

     

     

     

     

    Avez-vous déjà entendu parler du « jeûne de Ninive » ?

     

    Dans l’Ancien Testament, Ninive, l’actuelle Mossoul en Irak, a été dévastée par une épidémie de peste : le livre de Jonas raconte comment la ville a imploré le pardon de Dieu par un jeûne et des prières de repentance. Depuis, les Chrétiens d’Irak renouvellent tous les ans ce temps de pénitence en se tournant vers le Seigneur.

     

    Du 22 au 25 janvier, les chrétiens de France vont associer leurs prière à celles des chrétiens d'Irak !

     


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    « Renvoyer l'ascenseur »

     

    « Renvoyer l'ascenseur », consiste à faire preuve de gratitude en acte, à l'égard d'une personne qui nous a donné un coup de pouce, un peu comme nous rendons une invitation »

     

     

     

    Le goût des mots...

    On renvoyait ces ascenseurs autrefois...

     

    (Image internet)

     

     

     

    Autrefois, celui qui utilisait l'ascenseur, une fois arrivé à son étage, appuyait sur un bouton pour « renvoyer l'ascenseur au rez-de-chaussée, » à l'intention de celui qui , un peu plus tard, souhaiterait monter avec pour rentrer chez lui.

     

    Cette procédure à totalement disparu, mais l'expression est restée très vivace dans un sens figuré.

     

     

     


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    « Le Seigneur m'a enveloppée du manteau de l'innocence et m'a fait revêtir les vêtements du Salut. »

     

    Isaïe 61, 10

     

     

     

     

    Regard sur l'art chrétien...

     

    Vêtue d'une robe blanche et d'un manteau bleu sombre, Marie joint les mains avec ferveur. Elle a la lune sous les pieds comme la Femme de l'Apocalypse (chapitre 12). Deux phylactères, en haut proclament, d'après le Cantique des Cantiques : Tota Pluchra es amica mea (Tu est toute belle, mon amie) ; et Et macula non est in te (Et il n'y a aucune tache en toi). Et en bas, Pulchra es ut Luna (Tu est belle comme la Lune)

     

    Autour d'elle sont figurés ses emblèmes, qui se trouvent dans les litanies de Lorette, où on l'invoque comme « Miroir de justice, Rose mystique, Tour de David, Tour d'ivoire, Porte du Ciel, Etoile du matin » ; mais aussi dans l'hymne de la fête de l'Immaculée Conception : « Porte du palais célste, Lis au milieu des ronces, Tour inaccessible au dragon, Etoile de la mer. »

     

    Tous ces emblèmes ont leur source dans la Bible.

     

    Ainsi à gauche, le Soleil qui sert de manteau à la Femme de l'Apocalypse : le Cyprès (Ben Sirac 24) ; la Porte du Ciel (Genèse 28, vision de Jacob) ; La Tige produisant de sa racine le remède à notre blessure (la racine de Jessé, Isaïe 11) ; le Puits d'eau vive (Cantique 4). La Roseraie de Jéricho (Ecclésiastique 24) ; l'Olivier précieux (Ben Sirac 24)

     

    Et à droit, la Citée de Dieu (Apocalypse 21) ; le Miroir sans tache, symbole de pureté et de vérité (Sagesse 7).

     

    Le peintre Juan de Juanes (1507-1579) a, vers 1535, décrit avec tendresse Marie en son Immaculée Conception, thème cher aux peintres espagnols du XVIIe siècle, mais ici couplé d'une façon rare avec celui du Couronnement de la Vierge par la Sainte Trinité. Le tableau appartient à la Fundacion Banco Santander à Madrid.

     

     

     

    Regard sur l'art chrétien...

    Le jardin clos, en bas à gauche, vient du Cantique des Cantiques (4,12). Ce thème a été souvent repris dans l'art médiéval comme symbole marial.

     

     

     

    Regard sur l'art chrétien...

    La fontaine scellée, en bas à droite, vient aussi du Cantique des Cantiques (4,12), et symbolise la virginité perpétuelle de Marie.

     

     

     

    Regard sur l'art chrétien...

    L'Etoile de la mer (Marie Stella maris), en haut à droite, vient de saint Venance Fortunat (VIe s) et de l'Hymne acathiste à la Mère de Dieu (Etoile qui annonce le lever du Soleil).

     

    Marie-Gabrielle Leblanc

     

     


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    Regard sur l'art...

     

    Autoportrait

     

     

     

     

     

    Mary Shepard Greene Blumenshein est une artiste américaine, elle est née à New York, elle a étudié à l'Académie Adelphi à Brooklyn, puis à l''Institut Pratt .

     

    A l'âge de 17 ans elle part à Paris et là elle travaille avec Raphaël Collin. Elle expose au Salon d'Automne de 1900 et reçoit une distinction de 3e classe et devient avec Mary Cassatt la deuxième femme artiste à remporter la médaille d'or.

     

    Elle est aussi créatrice de bijoux.

     

     

     

    Regard sur l'art...

    Un regard fugitif

     

     

     

    Regard sur l'art...

    The princess and the frog

     

    (La princesse et la grenouille)

     

     

     

    Regard sur l'art...

    Alexis Romanov

     

     

    Je trouve cette femme très belle, elle a beaucoup d'allure et a l'air de savoir ce qu'elle veut, car à son époque, ce n'était pas évident d'être une « femme peintre » !

     

    Liviaaugustae

     

     

     


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    Elle était une fois... drôle de titre pour un livre et pourtant...malgré ce titre un peu saugrenu, je l'ai aimé.

     

    Ce livre est charmant, léger et délicieux comme une meringue, que l'on déguste avec beaucoup de plaisir tout au long des pages, le style est fluide et poétique, on y rencontre des d'acteurs, (Louis Velle et elle étaient surtout des acteurs de théâtre), mais aussi beaucoup d'écrivains, comme André Chamson dont elle est la fille, Jacqueline de Romilly, jean D'ormesson, Marcel Pagnol, Alain Decaux, (qui nous régalait en nous racontant l'histoire de France à la télé,) et bien d'autres encore avec lesquels elle entretenait des liens d'amitié.

     

    Elle défait l'écheveau du temps (89 ans c'est son âge) et l'on suit le fil avec plaisir...

     

    Liviaaugustae

     

     

    Remontée dans le temps...

     

     

     

    Quelques extraits :

     

    « Le train n'allait pas vite et s'arrêtait partout et souvent sans raison, en pleine campagne, au milieu des vignes, au bord d'une garrigue. On sentait des bouffées violentes qu'exhalait la terre, parfum d'anis des fenouils sauvages, odeur des vrilles de la vigne, promesses de miel des plaques de thym. La machine battait comme un cœur épuisé... »

     

     

     

    « La femme a perdu son prestige avec son jupon. Difficile de marivauder en short ! »

     

     

     

    « Les salons du livre, moment merveilleux où l'écrivain voit les visages de ses lecteurs, le visage de ceux qui ont ramassé sur le sable des jours cette bouteilles à la mer qu'est un livre... »

     

     

     

    « Etre malade, c'est un métier.

     

    Un métier que l'on exerce dans un pays étranger. Un métier avec des horaires, des secrets, des contrats, un vocabulaire qu'il faut apprendre, des heures supplémentaires, des imprévus... » (elle raconte le moment ou elle se faisait soigner pour un cancer).

     

     


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