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    Je viens de lire un article des plus ahurissant, vous allez juger par vous même.

     

    C'est un tissus d'idioties que des féministes ont encore pondu, à croire qu'elles n'ont rien d'autre à faire !

     

    Les voilà qui s'en prennent aujourd'hui, aux mots désignant les parties intimes des femmes, juste pour se faire plaisir car elles s'en fichent complètement de l'avis des femmes en général,  elles ne leur demandent pas si ces nouvelles définitions de leur intimité leur conviennent et si elles sont d'accord, pour porter un « trou de devant » ?

     

    Pensent-elles ces féministes que les femmes sont toutes des idiotes qu'elles peuvent manipuler ?

     

    Livia

     

     

     

    « Nous vivons une époque de psychodrame où les rats ont mis des casquettes de capitaines. »

     

    André Malraux

     

     

     

    « Deux choses sont infinies ; l’univers et la bêtise humaine, mais en ce qui concerne la première, je n’en ai pas encore la certitude absolue… »

     

    Einstein

     

     

     

    Féminisme rime-t-il avec bêtises ?...

    (image internet)

     

     

     

     

     

    […] Après avoir pensé « bobards montés par des antiféministes imaginatifs », il a fallu se rendre à l’évidence : des femmes, des universitaires solidement titrées, ont entrepris de rebaptiser les différentes parties du sexe féminin. C’est parti, comme il ne nous étonnera pas, du monde anglo-saxon, ce qui ne veut pas dire que les Françaises ne vont pas s’en emparer pour sommer l’Académie de modifier le dictionnaire. Après le femmage (si peu euphonique et qui fait penser au fermage) et le féminicide cher à Mme Schiappa, qui nous est venu des États-Unis dans les années 70 pour désigner le meurtre d’une femme, visée parce qu’elle est femme – mot enregistré par Robert, pas encore par Larousse -, voici d’autres termes qu’il faudra bannir et remplacer, si l’on en croit un article de RTBF publié le 10 mai dernier.

     

    Le point de départ est simple et commun : ce sont les hommes qui ont nommé les parties intimes féminines et, comme d’habitude, ils n’ont pensé qu’à eux. C’est une sexologue américaine, citée dans l’article, qui le dit : « Les mots liés au sexe dans l’anatomie sont faits pour renforcer l’hétéronormativité et une idée du sexe uniquement basée sur la reproduction. »

     

    « Des exemples, direz-vous ! Allons-y : clitoris vient du grec et désigne, selon certains spécialistes, une clé ou un fermoir, ce qui est très blessant, bien sûr, pour les femmes, d’où l’idée de le remplacer par l’éminence ! Je n’ose imaginer les plaisanteries sur ce terme. Continuons avec le vagin : là, c’est l’horreur, puisque le terme latin désignait la gaine, le fourreau où était rangée l’épée. Où l’on voit le vagin réduit à la seule fonction d’accueillir l’organe masculin, l’épée par excellence. Alors, on propose trou de devant, expression dont l’élégance et la poésie vous ravissent sans doute. Terminons avec l’utérus, qu’on nous propose de remplacer par le nid. Là, on ne comprend plus : étymologiquement, uterus, en latin (hystera, en grec) veut dire ventre maternel et le nid en est bien une sorte d’équivalent, puisque y sont couvés les œufs, bien au chaud sous la poule. Alors, pourquoi refuser utérus ? À cause de l’hystérie, maladie inventée contre les femmes puisque, dans l’Antiquité, cette pathologie était attribuée à un dysfonctionnement de l’utérus. » […]

     

    Olga Leroux

     

     


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    Notre-Dame est toujours là...

     

    (image internet)

     



     

    La tapisserie de Notre-Dame

     

    [...]Un homme de chez nous, de la glèbe féconde
    A fait jaillir ici d'un seul enlèvement,
    Et d'une seule source et d'un seul portement,
    Vers votre assomption la flèche unique au monde.

     

    Tour de
    David voici votre tour beauceronne.
    C'est l'épi le plus dur qui soit jamais monté
    Vers un ciel de clémence et de sérénité,
    Et le plus beau fleuron dedans votre couronne.

     

    Un homme de chez nous a fait ici jaillir,
    Depuis le ras du sol jusqu'au pied de la croix,
    Plus haut que tous les saints, plus haut que tous les rois
    La flèche irréprochable et qui ne peut faillir [....]

     

    Charles Péguy

     



     

    On la voulait éternelle.

     

    Et pourtant, le 15 avril 2019, Notre-Dame était en feu et...la flèche est tombé !

     

    Nous ne l'oublierons jamais !

     

     

     

    Notre-Dame est toujours là...

    (image internet)



    Mais il ne faut pas désespérer, comme nous le rappelle Denis Tillinac :

    « L'émotion fut unanime, a quelques sectaires près ; sa spontanéité aura même permis, chez nos compatriotes pas très bien dans leurs pompes, un certain ressourcement : l'histoire dans ses convulsions nous accable de « bruit et de fureur » mais nous avons en partage, sans le savoir de quoi l'affronter sans désespérer. Nous avons sur l'Île de la Cité, un havre, une boussole, une vigie, - un tabernacle de pierre où réfugier nos aspirations moins fallacieuses. Nous sommes moins orphelins que nous avions lieu de le craindre. Notre-Dame de Paris est toujours là, alléluia ! »

    « Notre-Dame est toujours là et sa douleur nous rappelle opportunément ce que nous sommes : des héritiers comblés. »

     


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    Giovanna Garzoni, née en 1600 à Ascoli Piceno, dans la région des Marches et morte en 1670 à Rome, est un peintre italien du XVIIe siècle appartenant à l'école napolitaine, spécialisée dans les natures mortes, de l'époque baroque.

     

    Ses thèmes sont principalement décoratifs (natures mortes de fruits, de légumes et de fleurs).

     

     

    Regard sur l'art...

     

    Bouquet

     

     

     

    Regard sur l'art...

    Bouquet

     

     

     

    Regard sur l'art...

    Bouquet

     

     

     

    Regard sur l'art...

    Cerises

     

     

     

    Regard sur l'art...

    Tulipes et soucis dans un vase bleu

     

     

     

    Regard sur l'art...

    Renoncules

     

     

     

     

     

     

     


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    Le titre de cet article est une citation de Thomas Carlyle

     

     

     

    La musique est le discours des anges...

     

    Chopin Nocturnes

     

     

     

    Ce double CD, est un cadeau, offert par ma fille pour Noël : les notes cristallines de Chopin un peu mélancoliques, égrenées par Maria Joao Pires, légères comme des bulles de champagne, vous emportent vers les hauteurs, la beauté est là à l'état pure.

     

    Pour écouter, clic sur le lien ci-dessous :

     

    https://www.youtube.com/watch?v=Dti7IJcIEDE

     

     

    Et début avril pour mon anniversaire, mon fils m'a offert les deux CD ci-dessous :

     

     

     

    La musique est le discours des anges...

    Les chants sacrés, écrits par nos plus grands compositeurs, sont magnifiquement interprétés par la Mezzo soprano Elina Garanca.

     

    Pour écouter le sublime Ave Maria de William Gomez, clic sur le lien ci-dessous :

     

    https://www.youtube.com/watch?v=ypMv_vKtGuk

     

     

     

    La musique est le discours des anges...

    La soprano Anna Netrebko, nous enchante en interprétant les grands arias de l'opéra.

     

    Pour écouter le célèbre « O Mio Babbino Caro » de Puccini, clic sur le lien ci-dessous :

     

    https://www.youtube.com/watch?v=5ib5rmF3B2M

     

     

     

     

     

    Et cerise sur le gâteau, ces deux femmes sont ravissantes on prend beaucoup de plaisir à les regarder chanter !

     

    Livia

     

     

     


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    Le goût des mots...

     

    Jeune femme et Eros sur un vase grec

     

    (Wikipédia)

     

     

     

     

     

    « Être dans la fleur de l'âge »

     

     

     

     

     

    Origine de l'expression :

     

    L'expression évoque l'idée de beauté juvénile et vigueur physique. Cette métaphore apparaît dès l'Antiquité, dans la formule grecque « Anthos hebes » (littéralement fleur de jeunesse) qui qualifie les jeunes au seuil de l'adolescence : beaux éphèbes ou vierges féminines destinés au mariage.

     

    La fleur, attribut privilégiée de la déesse Aphrodite et de son fils Eros, qui ont tous deux le redoutable pouvoir de verser le désir aux cœurs des mortels, est l'un des cadeaux érotiques les plus représentés sur les vases portant des scènes de conversations amoureuses.

     

    Délicatement tenue entre les mains des jeunes filles, la fleur, telle une parure, rehausse leur beauté, affiche leur séduction et diffuse un parfum enivrant stimulant les sens des hommes qui les regardent. (A l'époque, les femmes n'étaient pas idiotes et appréciaient que les hommes les regardent, il n'y avait pas eu encore cette ineptie de « balance ton porc »)

     

    Ces jeunes à la beauté nouvellement éclose, après la germination de l'enfance, sont comme des fleurs à l'acmé de leur vie éphémère, menacée par les outrages du temps qui faneront leur éclatante fraîcheur.

     

    La beauté fleurie laisse ensuite place à la maturité dans l'expression « La force de l'âge », qui qualifie le temps accompli de la vie adulte.

     


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