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    Les pommes dans tout leurs états...

     

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    J'ai trouver au cours d'une lecture cet article sur les pommes, qui m'a donné envie de croquer des pommes.

    La saison des pommes va commencer, on trouve déjà une ou deux variétés, alors si grâce à elles on peut éviter, les visites chez le médecin « dixit cet article », cela vaut le coup de manger des pommes !

    J'avoue que je n'ai pas réalisé la potion magique ni les chips avec la pelure, mais j'ai eu beaucoup de plaisir à manger mes pommes.

    Livia

     

     

    « Une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours »?

    Rien de plus vrai lorsqu’on prend la peine de détailler tous les bienfaits de ce super-fruit. Délicieuse cuite ou crue, faites de la pomme l’alliée de votre santé.

    Considérée comme l’un des 10 meilleurs aliments au monde, régulièrement étudiée par les chercheurs, la pomme ne cesse d'étoffer la liste de ses bienfaits. Elle est reconnue efficace pour: 

    • Donner de l’énergie: très riche en vitamines, notamment C, A et B mais également gorgée de minéraux et oligoéléments (calcium, magnésium, potassium, fer, sélénium, zinc...), la pomme est à la fois énergétique et protecteur cellulaire. Elle apporte également une bonne hydratation (elle contient près de 90% d'eau), elle aussi indispensable au bon fonctionnement de l’organisme.  

    •  Réguler le transit, aider la digestion: riche en fibres insolubles et solubles (en moyenne 2g/100g), la pomme est l’alliée du bon fonctionnement intestinal. Les premières aident à lutter contre la constipation, les secondes contre la diarrhée. Un équilibre parfait donc qui, de plus, stimule les fonctions immunitaires des bonnes bactéries du côlon

      - Combattre le cholestérol, le diabète et le surpoids: la particularité de la pomme est sa haute teneur en pectine, une fibre soluble non agressive qui forme un gel visqueux absorbant ainsi une partie des graisses pour les éliminer et donc modérer leur assimilation. En ralentissant l’absorption des glucides, ces mêmes fibres permettent aussi de freiner la hausse de la glycémie. Au final, moins de cholestérol, moins de diabète et moins de poids... d’autant que ces fibres, amenant vite à satiété, ont un remarquable effet coupe-faim pour seulement 50kcal/100g. Globalement, la pomme est donc un sérieux protecteur des maladies cardiovasculaires.

    • Prévenir certains cancers: la pomme est un véritable concentré d’antioxydants (vitamines, polyphénols, flavonoïdes dont notamment la quercitine) dont les composés, associés entres eux, ont la faculté de diminuer le risque de cancer, notamment du foie et du côlon.

    - Lutter contre le vieillissement: sa richesse en antioxydants et surtout en polyphénols en fait aussi un soin anti-âge de choix en luttant contre les radicaux libres qui accélèrent le vieillissement cellulaire, y compris cutané.

    - Protéger les dents: croquer une pomme implique de mastiquer. Ce qui permet de stimuler la production de salive qui fait naturellement défaut en prenant de l’âge et fait le lit des caries si fréquentes chez les seniors. La mastication offre aussi un massage bénéfique aux gencives, protégeant des maladies parodontales
    e, mieux vaut la préférer bio, d’une couleur bien intense, jongler avec les variétés et la déguster:

    crue ou cuite: c’est dans sa version crue que la pomme regorge de bienfaits. Mais elle aussi excellente enfournée telle quelle 20 à 40 min et consommée sans ajouts. Et associée à des graisses animales (le fameux boudin aux pommes!), elle a le pouvoir d’en contrebalancer les méfaits.

    avec la peau: c’est là que se concentrent les bons nutriments de la pomme. À déguster donc idéalement sans la peler (mais bien lavée). Ou bien utiliser  les épluchure (toujours bien lavées) pour en faire des chips (saupoudrées de cannelle et passées au four) ou encore, après les avoir laissé sécher, une infusion (250g de pelures infusées 10min dans 1/2 L d’eau frémissante).

    - en compote ou en jus: l’indice glycémique d’un fruit est toujours moins élevé lorsqu’il est consommé frais et entier. Mais, à condition qu’elle soit sans sucres ajoutés, la compote de pomme est un excellent dessert. Et le jus de pomme, un peu plus calorique que le jus d’orange (70Kcal et 17,3g de sucres/15cl contre 63 et 15,7), l’est bien moins qu’un jus de raisin (102Kcal, 25,5g de sucres) !

    • en vinaigre: à raison d’une à trois c. à soupe par jour, le vinaigre de cidre, issu de la fermentation des pommes, est prôné par le Dr Jarvis, médecin américain, pour lutter contre les problèmes de digestion, de cholestérol, de poids. À utiliser en salade ou encore en gargarisme (1 c. à café avec du citron et du miel) contre le mal de gorge et même en lotion apaisante après des piqûres de moustique ou des coups de soleil. 

    Au vu de tous ces bienfaits, qu'attendons-nous pour consommer des pommes matin, midi et soir, au lieu d'aller chez le médecin ?


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    Je vous partage cet article lu dans une de mes revues.

     

    L'été, c'est l'époque, où beaucoup de personnes s'installent derrière un volant pour partir en vacances ou se balader.

     

    Il est vrai que les gens au volant ne sont plus tout à fait les mêmes, mon mari était un homme courtois, calme et pondéré... mais dès qu'il s'installait au volant, il devenait méconnaissable, (il détestait conduire), il ronchonnait et émaillait sa conduite de m....e !

     

    J'avoue que j'en fais autant, je m'énerve : contre ceux qui dépassent inconsidérément, ceux qui louvoient et passent d'une file à une autre, mais aussi contre ceux qui ne vont pas assez vite, et puis je déteste souverainement me retrouver coincée derrière un camion ou une caravane, j'essaie de les dépasser... Et pourtant je sais que çà, ce n'est pas bien du tout !

     

    Et comme ma voiture, n'est pas la chose la plus importante pour moi, je ne lui voue pas d'amour inconsidéré, cependant je la nettoie, extérieur et intérieur, car je n'aime pas la saleté, ni dans ma maison, ni dans ma voiture.

     

    Et pour vous quand est-il ?

     

    Livia

     

     

     

    Les malotrus au volant...

     

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    C'est qui tous ces malotrus, ces chauffards, ces harpies?

     

    Lui, nous, vous... À vrai dire, nous sommes nombreux à n'être plus totalement nous-mêmes au volant. Les explications de nos experts.

     

    En voiture, je deviens une autre personne 

     

    "Dès que je me retrouve au volant, j’ai l’impression de devenir une autre personne... et le changement n’est pas franchement positif! Je suis capable de klaxonner, hurler, lancer des bordées d’injures aux autres automobilistes qui commettent des fautes. c’est plus fort que moi, je suis débordée par la colère." 

     

    - Une voiture aurait-elle le pouvoir de nous désinhiber et de libérer nos pulsions les plus sauvages? Il semblerait bien que oui! "Beaucoup de gens se permettent au volant des excès qu’ils ne commettraient jamais dans la vie. Dans une voiture, nous nous retrouvons comme dans une bulle, coupés du monde extérieur: nous ne sentons ni la vitesse ni les chaos, percevons les bruits de loin. De quoi amoindrir notre conscience des autres, notre capacité à les prendre en compte et donc à supporter leur présence", explique Jean-Pascal Assailly, psychologue, expert en éducation à la sécurité routière.

    C’est grave, Docteur? "Se laisser aller à quelques débordements verbaux en tant que conducteur n’est pas dramatique en soi. Cela peut même offrir une occasion de défoulement. à condition toutefois de ne pas avoir de passager à bord: il n’a pas à supporter notre violence. Et de garder nos fenêtres fermées afin que les destinataires de nos invectives ne les entendent pas", avance Martine Teillac, psychanalyste

     

    La limitation à 80km/h, je ne supporte pas! 

     

    "Depuis que certaines routes secondaires sont limitées à 80km/h, cela me gâche le plaisir de conduire. Je me sens contraint car je suis obligé de surveiller mon compteur en permanence pour ne pas dépasser la vitesse autorisée. À quoi bon embêter les gens avec tous ces interdits? bientôt, on ne pourra plus conduire du tout!" 

    - "On est heureux Nationale7", chantait Charles Trenet, célébrant les paysages défilant sous les yeux des conducteurs qui empruntaient cette célèbre route... "
    La voiture, depuis son invention, a toujours été synonyme de liberté. Avec ce moyen de transport, à la différence du train ou de l’avion, nous pouvons choisir l’heure de départ et le trajet. Toute limitation à cette omnipotence est donc vécue par beaucoup comme véritablement liberticide", décrypte Jean-Pascal Assailly.

    Même si conduire moins vite peut contribuer à sauver des vies? "Quand il est question de liberté individuelle et de plaisir personnel, les arguments rationnels peinent à convaincre. C’est le règne du "moi je"! Je suis prudent, je sais adapter ma vitesse, objectons-nous. Oubliant les autres, ceux qui peuvent s’endormir au volant, être ivres ou étourdis, l’enfant qui traversera sans prévenir...", note le psychologue.

    "Et si nous décidions tout simplement d’obéir aux limitations de vitesse, sans râler, comme des adultes responsables et soucieux de la sécurité de tous? Notre liberté se situe heureusement ailleurs que dans la vitesse à laquelle nous conduisons!"

     

    - Sur la route, 80% des tués sont des hommes. "Ce chiffre témoigne à lui seul des spécificités de la conduite masculine: nerveuse, jouant fréquemment avec la prise de risques et la transgression des règles. Les femmes, qui conduisent généralement avec plus de prudence, apprécient assez rarement ce style trop viril à leur goût et n’hésitent pas à émettre des reproches. De leur côté, les hommes ont parfois bien du mal à tenir leur langue quand leur compagne est au volant, moquant son manque d’initiative pour dépasser ou sa vitesse ridiculement basse. "Le vieil adage 'femme au volant, mort au tournant' est hélas - et contre toute réalité - encore bien ancré dans les esprits.

    Et les hommes ne se gênent pas pour le marteler auprès de leur femme". Bref, le contexte est explosif et propice aux conflits. La solution pour calmer le jeu? "S’interdire toute remarque sur les compétences de conducteur de l’autre. Admettre que celui qui est au volant est seul maître à bord et responsable de la sécurité des deux!"

     

    Ce n’est qu’un véhicule... 

     

    "Ma Fiat 500 a quinze ans, des coups et des rayures partout sur la carrosserie! si je suis plutôt maniaque en ce qui concerne ma maison, je suis beaucoup plus cool avec ma voiture. Je ne la lave ni ne l’aspire jamais, je l’entretiens au minimum. Pour moi, c’est un outil purement utilitaire pour aller d’un point a à un point b".

     

    Il paraît que c'est une réaction Réaction typiquement féminine.Toutes les recherches convergent pour constater que les femmes sont peu matérialistes, beaucoup plus intéressées par les relations avec les autres humains que par les objets. Leur voiture n’a pas plus de valeur à leurs yeux qu’un four à micro-ondes ou un sèche-cheveux, des ustensiles leur facilitant la vie, ni plus ni moins!"

    Sans porter une affection débordante à notre véhicule, attention tout de même à ne pas trop le négliger. "D’abord pour des raisons de sécurité. Ensuite parce qu’une voiture sale dans laquelle s’amoncellent les tickets de parking, les emballages vides et les mouchoirs usagés ne s’avère pas très accueillante pour ses passagers". 

     

    Ma voiture, mon bijou! 

     

    La jeune génération - vit une grande histoire d’amour avec leur voiture! "Ils s’identifient à elle, la considèrent comme un prolongement d’eux-mêmes, le symbole de leur puissance et de leur virilité, un booster de leur ego.
    Celle-ci lui raconte une tout autre histoire sur lui, celle probablement d’un homme encore jeune et partant libre sur les route. Si nous sommes animés par une telle passion automobile - et capables de véritables psychodrames pour une minuscule rayure! -, gardons en tête que notre comportement peut se révéler lourd à supporter par nos proches. Sachons raison garder... 

     

     


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    Pour le fric faut-il perdre la joie de vivre ?

     

    Ne le laissons pas nous gâcher l'existence !

     

    Livia

     

    Le savetier et le financier...

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    Le Savetier et le financier

     

    Un Savetier chantait du matin jusqu'au soir :
    C'était merveilles de le voir,
    Merveilles de l'ouïr; il faisait des passages,
    Plus content qu'aucun des Sept Sages.
    Son voisin au contraire, étant tout cousu d'or,
    Chantait peu, dormait moins encor.
    C'était un homme de finance.
    Si sur le point du jour, parfois il sommeillait,
    Le Savetier alors en chantant l'éveillait,
    Et le Financier se plaignait
    Que les soins de la Providence
    N'eussent pas au marché fait vendre le dormir,
    Comme le manger et le boire.
    En son hôtel il fait venir
    Le Chanteur, et lui dit : Or çà, sire Grégoire,
    Que gagnez-vous par an ? Par an ? Ma foi, monsieur,
    Dit avec un ton de rieur
    Le gaillard Savetier, ce n'est point ma manière
    De compter de la sorte ; et je n'entasse guère
    Un jour sur l'autre : il suffit qu'à la fin
    J'attrape le bout de l'année :
    Chaque jour amène son pain.
    Et bien, que gagnez-vous, dites-moi, par journée ?
    Tantôt plus, tantôt moins, le mal est que toujours
    (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes),
    Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours
    Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes .
    L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le Curé
    De quelque nouveau saint charge toujours son prône .
    Le Financier, riant de sa naïveté,
    Lui dit : Je vous veux mettre aujourd'hui sur le trône.
    Prenez ces cent écus : gardez-les avec soin,
    Pour vous en servir au besoin.
    Le Savetier crut voir tout l'argent que la terre
    Avait, depuis plus de cent ans
    Produit pour l'usage des gens.
    Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre
    L'argent et sa joie à la fois.
    Plus de chant ; il perdit la voix
    Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines.
    Le sommeil quitta son logis,
    Il eut pour hôte les soucis,
    Les soupçons, les alarmes vaines.
    Tout le jour il avait l'œil au guet ; et la nuit,
    Si quelque chat faisait du bruit,
    Le chat prenait l'argent : à la fin le pauvre homme
    S'en courut chez celui qu'il ne réveillait plus.
    Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme,
    Et reprenez vos cent écus.

     

    Jean de la Fontaine

     

     


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    La rentrée...

     

    Sur le chemin de l'école

     

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    Ils sont partis pour l'école ce matin,

     

    Le cartable tout neuf sur le dos

     

    Avec dedans, une jolie trousse,

     

    Remplie de crayons de toutes les couleurs,

     

    Une règle pour faire de beaux traits bien droits,

     

    Et souligner les mots choisis par la maîtresse.

     

    Ce sont les mots de ma petite fille de six ans.

     

    Elle avait l'air ravie de retourner à l'école.

     

    Tandis que le frère, trouvait que la rentrée, c'était la cata !

     

    Le jardin est vide et s'ennuie sous le soleil.

     

    Les cris et les rires l'on désertés,

     

    Pour se réfugier dans la cour de l'école.

     

    J'attends avec impatience leur retour,

     

    Pour que leurs rires redonnent des couleurs à la vie...

     

    Livia

     


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    Calendrier...

     

    L'automne à l'œuvre sur le bord des chemins...

     

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    L'été s'en va doucement sur la pointe des pieds... le soleil fait la grasse matinée et le soleil peine à se lever, pas de crépuscule les soirées écourtées sont plus fraîches. Dans les forêts et sur le bord des chemins certaines essences se parent déjà d'or et le lierre rougit jusqu'en haut du toit.

     

    Aidée de ma petite fille, j'ai ramassé et rempli un panier avec les noisettes du jardin, nous les dégusterons l'hiver prochain.

     

    Livia

     

     

     

    Calendrier...

    Miniature « Les très riches heures du duc de Berry »

     

    Septembre est illustré par les vendanges. Cinq personnages cueillent du raisin tandis qu'un homme et une femme, apparemment enceinte, se reposent. Les grappes sont déposées dans des paniers qui sont ensuite vidés dans des hottes fixées sur des mulets. Ces hottes sont elles-mêmes déversées dans des cuves chargées dans des charrettes tirées par des bœufs. Le second plan est entièrement occupé par le château de Saumur en Anjou, région déjà viticole à l'époque. Les tours sont coiffées de girouettes à fleurs de lys. À ses abords, une lice est représentée avec sa barre centrale et son mur de

     


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