•  

     

     

     

    Le ciel pleure des trombes d'eau, qui gonflent les fleuves et les rivières inondant les villes et les villages alentours, et sous ce ciel gris d'automne il fait froid !

     

    Pour oublier ce temps maussade, je vous invite à une partie de pêche en Guadeloupe, plus exactement à la Désirade, sous le ciel bleu et le soleil de mon île.

     

    Livia

     

     

     

     

     

    « Les souvenirs d’enfance ressemblent aux flammes des bougies qui brûlent dans l’étendue nocturne et font surgir de l’obscurité des figures immobiles… »

     

    Carson Mac Cullers

     

    Une histoire de pêche...

    La Désirade

    (image de Joëlle Ortet de Pixabay)

     

     

     

    C'était lors d'un séjour à la Désirade, cette petit île au large de la Guadeloupe dont je vous ai déjà parlé, où nous allions parfois passer de longs week-end, ce jour-là, nous avions décidé d'aller à la pêche, il nous fallait donc des esches (appâts). Nous sommes parti à la nuit tombante avec des torches, elles n'ont pas beaucoup servies car la lune était pleine, on y voyait presque comme en plein jour, nous avons été vers un cimetière un peu abandonné, où les soldats pullulent (les « soldats », c'est le nom des Bernard l'Hermite aux Antilles), cependant sous terre il y avait aussi des soldats, des soldats anglais enterrés là depuis des siècles, des soldats anglais morts durant la guerre de 1778-1783 qui opposa la France aux Anglais, la France se battait alors pour reprendre ses possessions dans les Caraïbes que les anglais occupaient. Il y avait çà et là sur les tombes de ces soldats inconnus, des petits bouquets un peu fanés, déposés par les autochtones de la Désirade.

     

    Est-ce la pleine lune qui les avait fait sortir ces soldats à pinces et à pattes ? On ne sait ! Il y en avait des myriades, ils couraient dans tous les sens, nous en avons ramassé un plein seau de ces pagures, j'avoue que je ne les attrapais pas je tenais le seau. Cependant ils refusaient catégoriquement d'y rester, grimpant les uns sur les autres, c'était à celui qui arriverait en haut le premier, et une fois qu'ils y arrivaient, ils se laissaient tomber vers l'extérieur, et là, prenant leur pattes à leur cou ils se carapataient aussi vite qu'ils le pouvaient, malheureusement pour eux, l'escapade était de courte durée, nous les remettions dans le seau manu militari, dans l'auto par contre c'était une autre paire de manches, dès qu'ils s'étaient échappés du seau, ils grimpaient sur les fauteuils de la « dodoche » – que que mon oncle avait laissée à la Désirade pour les courses, la maison étant excentrée et loin du bourg – nous les retrouvions sur nos pieds, voir sur nos genoux, il fallait ouvrir l'œil et le bon ! et bien entendu nous poussions des cris d'orfraies, car mes sœurs et moi, avions peur d'être pincées, et papa moqueur , nous disait : « Les petites bêtes ne mangent pas les grosses bêtes » ou encore « les grosses bêtes n'ont pas peur des petites bêtes ».

     

    En arrivant à la maison, après avoir rapatrié dans le seau, les déserteurs, papa mettait un couvercle sur ce dernier et déposait une grosse pierre par-dessus afin que les soldats ne prennent pas la fuite durant la nuit.

     

    Le lendemain, il fallait les préparer pour la pêche : casser leur coquille, pour pouvoir après, les enfiler dans l'hameçon, ce travail minutieux, papa se le réservait aidé par les garçons, car ces pauvres bêtes essayaient de se défendre pinces déployées et gesticulaient tant et plus, parce que sans doute, elles sentaient la mort arriver...

     

     

     

    Une histoire de pêche...

    Le soleil se lève sur la mer...

     

    (image internet)

     

     

     

    Nous partions au petit matin, la nature n'était pas encore tout-à-fait réveiller, et les hommes dormaient encore, une grande paix descendait du ciel clair, nous ne parlions pas, pour jouir dans le silence, du spectacle féerique du lever de soleil qui étirait un à un ses rayons à l'horizon en saupoudrant la mer d'or, on n'entendait que la grande respiration de la mer qui clapotait doucement contre les rochers à nos pieds et l'alizée qui berçait les palmes des cocotiers.

     

    La pêche était toujours très fructueuse aux aurores.

     

    A midi on faisait griller sur un feu de bois, les poissons qui avaient été assaisonnés au paravent avec du piment et du citron vert.

     

    Et tandis que les parents s'installaient à table, nous les enfants, nous dégustions notre repas assis dans l'herbe, l'assiette en équilibre sur les genoux. Il fallait cependant que nous fassions attention aux fourmis qui désiraient manger elles aussi et n'hésitaient pas à grimper à l'assaut de nos assiettes.

     

    Ce furent des moments délicieux, de joie et de bonheur simple, sous le soleil des vacances à la Désirade.

     

    Livia

     

     

     

    Les Bernard L'Hermite

     

    Une histoire de pêche...

    Bernard l'Hermite en balade sur le sable...

     

    (image internet)

     

     

     

    Les « Bernard l'Hermite », dont la morphologie rappelle celle des crabes(Brachyura), et possèdent comme eux cinq paires de pattes dont la première paire est terminée par deux pinces. Ils constituent cependant un infra-ordre distinct, caractérisé par le fait qu'ils possèdent en général un abdomen mou dépourvu de carapace. Par conséquent, pour se protéger, ils occupent des abris qui, pour la majorité des espèces, sont formés par des coquilles de gastéropode mais aussi parfois des éponges ou des bambous. Plusieurs espèces forment également des relations symbiotiques avec certaines anémones de mer (actinies), qu'ils conservent au moment de changer de coquille.

     

    La plupart des Bernard L'Hermite sont aquatiques mais certains peuvent vivre dans un environnement terrestre humide, c'est en particulier le cas des bernard l'hermite d'élevage.

     

    Ces espèces changent de carapace régulièrement. Elles se distinguent également par le fait qu'elles possèdent une pince droite plus grosse et plus puissante que leur pince gauche. Grâce à cette morphologie, elles peuvent se protéger efficacement d'une entrée indésirable dans leur coquille.

     

    La nécessité et le danger de changer de coquille provoquent un comportement social appelé « chaîne de vacances » : de nombreux pagures de tailles différentes se réunissent autour d’une coquille vide adaptée à la croissance du plus gros d’entre eux, et chacun passe ensuite dans la coquille de l’autre, la plus petite restant vide.

     

    Dans la région littorale tropicale, ils sont parmi les organismes les plus abondants et de très nombreuses espèces sont découvertes tous les ans.

     

     

     

     


    18 commentaires
  •  

     

    Phénix, cet oiseau fabuleux, qui renaît indéfiniment de ses cendres fit beaucoup rêver autrefois, Jean-Pierre Claris de Florian, poète du XIIIe siècle, en a fait un joli poème.

     

    Ce XIIIe siècle naquit sous les lumières et finit à l'ombre de la guillotine, notre poète qui était noble, fut jeté en prison sur ordre de Robespierre et n'en sortit qu'à la mort de ce dernier.

     

    Livia

     

     

     

    Le phénix...

    Le phénix en feu

     

    (image internet)

     

     

     

    Le phénix

     

    Le phénix, venant d'Arabie,
    Dans nos bois parut un beau jour :
    Grand bruit chez les oiseaux ; leur troupe réunie
    Vole pour lui faire sa cour.
    Chacun l'observe, l'examine ;
    Son plumage, sa voix, son chant mélodieux,
    Tout est beauté, grâce divine,
    Tout charme l'oreille et les yeux.
    Pour la première fois on vit céder l'envie
    Au besoin de louer et d'aimer son vainqueur.
    Le rossignol disait : jamais tant de douceur
    N'enchanta mon âme ravie.
    Jamais, disait le paon, de plus belles couleurs
    N'ont eu cet éclat que j'admire ;
    Il éblouit mes yeux et toujours les attire.
    Les autres répétaient ces éloges flatteurs,
    Vantaient le privilège unique
    De ce roi des oiseaux, de cet enfant du ciel,
    Qui, vieux, sur un bûcher de cèdre aromatique,
    Se consume lui-même, et renaît immortel.
    Pendant tous ces discours la seule tourterelle
    Sans rien dire fit un soupir.
    Son époux, la poussant de l'aile,
    Lui demande d'où peut venir
    Sa rêverie et sa tristesse :
    De cet heureux oiseau désires-tu le sort ?
    - Moi ! Mon ami, je le plains fort ;
    Il est le seul de son espèce.

     

    Jean-Pierre Claris de Florian

     



     



     

    Un mot sur le poète

     

     

     

    Le phénix...

    Jean-Pierre Claris de Florian

     

    Jean-Pierre Claris de Florian, né à Sauve le 6 mars 1755 et mort à Sceaux le 13 septembre 1794, est u auteur dramatique, romancier, poète et fabuliste français. [...]

     

    En 1792, Florian publie un recueil de cent fables réparties en cinq livres, auxquelles s’ajouteront 12 fables publiées à titre posthume. Ce sera son principal titre de gloire et la raison de sa survie littéraire. Ses fables sont unanimement considérées comme les meilleures après celles de Jean de La Fontaine, mais Florian était conscient de ne pas pouvoir rivaliser avec le « divin » La Fontaine et, dans son avant-propos, il se justifie de s'être malgré tout essayé au genre des fables, car « beaucoup de places infiniment au-dessous de la sienne [La Fontaine] sont encore très belles. » Il s'intéresse surtout au jeu de l'allégorie, comme le montre la fable qu'il place en tête de son recueil (voir illustration ci-jointe). Au lieu d'oppositions tranchées et irréconciliables entre les personnages, il recherche les dénouements heureux et les compromis.

     

     

     


    8 commentaires
  •  

     

     

    Dimanche 24 novembre 2019

     

    Fête du Christ Roi

     

     

     

    Regard sur l'art chrétien...

    « Celui qui dresse dans le ciel et érige son palais au-dessus de la terre, le Seigneur est son nom »

     

    (Amos 9, 6.)

     

    Ce splendide passage prophétique de l'Ecriture Sainte illustre bien la fête du Christ-Roi, et cette œuvre inattendue du Grand Nord.

     

    Le Christ en gloire, ou Pancreator, est une peinture sur bois du XIIIe siècle, au plafond d'une des plus belles églises « en bois debout » – les stavkirker – de Norvège, celle de Torpo.

     

    Ce nom vient du mot stav qui désigne le mât ou poteau central qui soutient l'architecture, entièrement en bois, de ces églises construites par les vikings récemment christianisés. Ils commencèrent à se sédentariser en Scandinavie à partir du XIe siècle, arrêtant leurs raids meurtries sur leurs célèbres bateaux. Les « églises en bois debout », où églises à mâts, sont conçues comme ces navires, pour résister aux plus fortes tempêtes et six mois de neige.

     

    La starvkirke de Topo, de la fin du XIIe siècle, se dresse dans la belle vallée de Hallingdal en Norvège du Sud. Avec son clocher trapu, son architecture est particulièrement sobre et austère. L'extrémité ouest de la nef – car le chœur fut démoli au XIXe siècle – fut surmontée au XIIIe siècle d'un baldaquin décoré de peintures exécutées directement sur le bois – on peut parler de fresques.

     

    Avant la Réforme luthérienne, les églises étaient catholiques en Scandinavie. Un ensemble de sept grandes peintures entourent le Christ : les douze apôtres et toute la vie de sainte Marguerite.

     

    Le Christ Pancreator (tout-puissant) bénit et tient le Livre de la Parole de Dieu, deux manières de représenter qu'il est le Verbe éternel. Le Christ est aussi entouré du Tétramorphe, une des représentations les plus répandues dans l'art médiéval. Le Tétramorphe – « quatre formes » en grec – ou les quatre animaux, ou encore les quatre vivants : trois appellations pour une même image. Leur première description est dans la vision d'Ezéchiel (1, 5-14), la seconde dans l'Apocalypse (4, 6-8).

     

    Chacun des quatre animaux tient le livre de son évangile : l'aigle pour Jean, l'ange pour Mathieu, le lion pour Marc, le taureau pour Luc. C'est saint Irénée, au Iie siècle, qui les aurait interprétés comme symboles du début de chaque évangile. L'ange ou homme ailé rappelle la généalogie humaine de Jésus, le lion jean Baptiste prêchant comme un lion qui rugit dans le désert, le taureau le sacrifice de Zacharie, l'aigle – oiseau capable de voler très haut – le prologue spirituel et théologique de Jean.

     

    La deuxième interprétation est que le Christ est homme par sa naissance, veau sacrificiel par sa mort, lion de Juda par sa Résurrection, et aigle par son Ascension.

     

    La troisième est que ce sont les qualités du chrétien : il doit se comporter comme un homme et non comme une bête, avoir tantôt l'audace du lion et tantôt la patience du veau, et tel l'aigle tendre vers les réalités d'En-Haut.

     

    Bien que nordique, notre Christ est parfaitement gothique comme en Europe du Sud, par sa distinction raffinée et sa majesté, humaine et non seulement divine comme dans l'art roman. Dans le cercle de son auréole s'inscrit une croix : c'est la plus ancienne forme de croix, qui apparut dans l'art chrétien de l'Egypte dès le IIe siècle. Il rappelle le style gothique en Allemagne ou en France par la forme du visage, de la chevelure et de la barbe. Mais l'ensemble est hiératique et grandiose, bien en relation avec la vision de saint Jean dans l'Apocalypse, au chapitre 4 : « Voici qu'un trône était dressé dans le ciel, et siégeant sur le trône, Quelqu'un. »

     

    Marie Gabrielle Leblanc

     

     

     

    Regard sur l'art chrétien...

    Le starvkirke «  église en bois debout » de la vallée de Hallingdal dans laquelle se trouve ce magnifique Christ Pancreator

     

    (image internet)

     

     

     

     

     


    8 commentaires
  •  

     

     

     

    Regard sur l'art...

     

    Hermann von Kaulbach, né le 26 juillet 1846 à Munich et mort le 9 décembre dans la même ville est un peintre de genre et un peintre d'histoire de l'école de Munich.

     

     

     

    Regard sur l'art...

    La timide

     

     

     

    Regard sur l'art...

    Les enfants

     

    Regard sur l'art...

    Nature morte

     

     

     

     

     

     

     


    8 commentaires
  •  

     

     

     

    « Le ciel déchiré, à l'Orient, par une immense blessure, saignait, et le sang teignait de rouge la mer. L'horizon s'écroulait dans un abîme de feu. Secouée par de profonds sursauts, la terre tremblait, les maisons oscillaient sur leurs fondations, et on entendait déjà le bruit sourd des tuiles et des plâtras qui se détachaient des toits et des corniches des terrasses, s'abattaient sur la chaussée, signes précurseurs d'un désastre universel. Un craquement sinistre se répandait dans l'air, un craquement d'os brisés, triturés. Et, dominant le fracas, par-dessus les pleurs, par-dessus les hurlements de terreur poussés par le peuple qui courait çà et là en titubant dans les rues comme un aveugle, un cri terrible s'élevait, qui déchirait le ciel...Le cri rauque du volcan. »

     

    Ce récit, si authentique, n'est pas dû à un auteur antique . Il s'agit du témoignage de Malaparte, qui assista à l'éruption de 1944, qu'il transcrivit en 1979 dans son roman « La Peau ».

     

    Ce ne devait pas être très différent en l'an 79.

     

     

     

    Les derniers jours de Pompéi...

    Dernier jour de Pompéi (1830-1833)

     

    Karl Pavlovich Brioullov

     

     

     

    Le 24 octobre 79, en fin de matinée, l'explosion du Vésuve va surprendre les habitants de Pompéi dans leurs occupations quotidiennes et en quelques heures les figer à tout jamais.

     

    Et pourtant, en 62 Pompéi avait déjà subit un énorme séisme dû au volcan, il y eut beaucoup de dégâts et la ville se remettait doucement, beaucoup de bâtiments publics étaient inutilisables car il n'avaient pas été réparés, ainsi que bon nombre de maisons. En 79, la ville de Pompéi n'est que l'ombre d'elle même.

     

    Soudain, des grondements souterrains se font entendre : « semblables à des mugissements » nous dit Don Cassius et de rajouter « la mer grondait aussi ». Certains habitants on pensé qu'il s'agissait d'une secousse comme ils en avait déjà connues. Mais d'autres mus par la peur commencent à fuir la ville soit par voies terrestres soit par mer. Soudain se fit entendre un immense craquement, comme si la montagne s'écroulait et, d'abord, d'énormes roches furent projetées aussi haut que le montagne ». Car sous la pression magmatique, le bouchon de lave vient d'exploser. La panique alors devient générale et chacun organise sa fuite...

     

    Du 24 au 26 octobre le volcan envoie gaz délétère, pierres ponces, nuages de cendre qui enseveli tout, à Herculanum et Stabies c'est le même triste spectacle, il fait nuit, la fumée à avalé le soleil, le niveau de la mer a changé et la côte s'en trouve redessinée.

     

    A 13 heures c'est l'heure où Pline l'ancien, est avertit par sa sœur de l'existence d'un étrange nuage qui obscurcit le ciel au-dessus de la montagne. Curieux de nature, Pline veut faire mettre à l'eau une embarcation légère pour aller observer ce phénomène. Mais voici qu'arrive le messager de Rectina qui demande de l'aide. Aussitôt il organise des secours et s'embarque pour Herculanum. Il est en vue de la côte mais il doit renoncer à poursuivre son chemin, surpris par le nuage de cendres et par la chute des pierres ponces qui l'empêchent d'avancer... Pline qui a dû se détourner du rivage pompéien, a gagné Stabies où il est accueilli par son ami Pomponianus, qui s'apprête à fuir par la mer. Il le rassure et va dormir chez lui. Dans la nuit : « le Vésuve brillait en plusieurs endroits de flammes très larges et de grandes colonnes de feu, la clarté étaient avivés par les ténèbres. ». La terre tremble. Les murs de la villa vacillent. Les grondements de la terre finissent par recouvrir les ronflements sonores de Pline. Les ponces s'accumulent sur le toit. Il faut partir en hâte, des oreillers sur la tête pour se protéger.

     

    Le corps de Pline est retrouvé sans la moindre lésion. « L'aspect de son cadavre semble plus proche de celui d'un homme endormi que d'un mort. »

     

    Le 27 le soleil reparaît enfin.

     

    Et pour des siècles Pompéi sombre dans l'oubli.

     

     

     

    Les derniers jours de Pompéi...

    L'atrium de la maison de Cuspius Pansa

     

     

     

    Les derniers jours de Pompéi...

    Moulage d'un corps d'homme pétrifié

     

     

     

    Les derniers jours de Pompéi...

    Un pain pétrifié et un bracelet en or.

     

     

     

    Les derniers jours de Pompéi...

     

    Un boulanger de Pompéi et son épouse devant leurs pains

     

    « Car à Pompéi, on mange beaucoup de pain. On ne cuit plus le pain chez soi, mais on va l'acheter chez le boulanger, il n'y a pas moins de 30 boulangerie dans la ville.

     

    Le plus célèbre et le plus riche boulanger est Terentius Neo, sa femme et lui périront dans leur boulangerie lors de l'explosion du Vésuve. »

     

     

     

     

     

     

     


    14 commentaires