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    Autoportrait

     

     

     

    Charles Ernest Rodolphe Henri Lehmann, né Karl Rudolph Heinrich Lehmann à Kiel (duché de Holstein) Kiel le 14 avril 1814 et mort à Paris le 30 mars 1882 est un peintre français d’origien allemande. 

     

    Henri Lehmann est d'abord l'élève de son père, Léo Lhemann, puis de Ingres à Paris, où il ouvre son atelier en 1847, après s'être fait naturaliser français.

     

     

    L‘eau ou la source

     

     

    Mona Belco

     

     

    Faustine

     

     

    Etude

     

     

    Repos

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Je vous parlais la semaine dernière des roses au fil des âges, si les poètes les ont chantées en vers, comme vous pourrez le constater ci-dessous, les peintres, ont succombé eux aussi à la beauté des roses...

     

    Livia

     

    Nous commencerons donc par la reine de France peinte en son jardin par Elisabeth Vigée-Lebrun qui nous a laissé ce magnifique tableaux de :

     

    Marie-Antoinette à la Rose...

     

     

    Edouard Manet nous offre : Roses dans un vase de verre

     

     

    Henri Biva, nous offre : Une fille dans un jardin de roses

     

     

    Ainsi que des : Roses dans un panier, sont-ce les roses que la jeune fille a cueillies au jardin ?

     

     

    Henri Fantin-Latour a posé les roses dans une coupe

     

     

    Tandis que Pierre-Auguste Renoir peint Les roses dans un vase

     

     

     


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    John Henri Fussli

     

    Par James Northcote

     

     

     

    Johann Heinrich Füssli ou Henry Fuseli (7 février 1741 à Zurich – 16 avril 1825 à Putney Hill) est un peintre et écrivain d'art britannique d'origine suisse.

     

    Il montre très tôt dans sa carrière, un attrait particulier pour les sujets fantastiques, nouveaux à l'époque.

     

    Dès la cinquantaine, il a vécu en Angleterre où il a réalisé des illustrations d'œuvres de Shakespeare, de Dante ainsi que de l'épopée germanique des Nibelungen.

     

    Il a été reconnu par les Surréalistes comme un de leurs précurseurs.

     

     

    Cavalier attaqué par un serpent géant

     

     

    Charybde et Scylla

     

     

    Le cauchemar

     

     

    Le silence

     

     

     

     

     

     

     


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    Stéphane Mallarmé disait d'elle :

     

    « C'est une pointe de XVIIIe exaltée de présent »

     

     

     

     

     

    Berthe Morisot aux souliers roses

     

    Peinte par Edouard Manet

     

    Berthe Morisot née le 14 janvier 1841 à Bourges et morte le 2 mars 1895 à Paris, est une artiste peintre française, cofondatrice et doyenne du mouvement d'avant-garde que fut l'impressionnisme.

     

    Au sein du groupe impressionniste, elle suscite l'admiration et le respect de ses pairs.

     

    À sa table se réunissent son beau-frère Edouard Manet qui est le plus mondain, Edgard Degas, le plus ombrageux, Pierre-Auguste Renoir, le plus sociable, et Claude Monet le plus indépendant du groupe.

     

    Stéphane Mallarmé un de ses plus fervents admirateurs, l'introduit auprès de ses amis écrivains.

     

    (Textes et images wikipédia)

     

     

    Femme à sa toilette

     

     

    Jeune fille au bal

     

     

    Jeune fille au bal

     

     

    Joueuses de flûte

     

     

    Canotage en été

     

     

    La chasse aux papillons

     

     

     

     

     

     

     

     

    Si vous habitez Paris ou sa région, vous pourrez aller admirer cette exposition sur les femmes, jusqu'au 3 mars 2024, au Musée Marmottant l'exposition : «Berthe Morisot et l'art du XVIIIe ».

     

    Les deux premiers tableaux font parti de l'exposition, pour les autres je ne sais pas, mais je les trouve tout aussi beaux.

     

    Livia

     

     

     

     


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    «Le temps passe. Ah, si on pouvait le regarder passer ; mais hélas, on passe avec lui…»

     

    Paul-Jean Toulet

     

     

    Le temps coupant les ailes de l'amour

     

    Pierre Mignard

     

     

     

     

     

    Vieilles Amorettes

     



     

    Aux prés de l’enfance on cueille
    Les petites amourettes,
    Qu’on jette au vent feuille à feuille
    Ainsi que des pâquerettes.

     



     

    On cueille dans ces prairies
    Les voisines, les cousines,
    Les amourettes fleuries
    Et qui n’ont pas de racines.

     



     

    Ô douce gerbe liée
    Avec des rubans d’aurores.
    Fraîche rosée oubliée,
    Me parfumez-vous encore ?

     



     

    Hélas! bouquets éphémères,
    Depuis cette heure lointaine
    Combien de larmes amères
    Ont coulé dans ma fontaine!

     



     

    Des choses se sont passées
    Qui m’ont changé ma jeunesse
    Beaucoup trop, ô trépassées,
    Pour que je vous reconnaisse.

     



     

    Le dur amour qui ravage
    Dans mon cœur a pris racines,
    Comme un grand rosier sauvage
    Aux épines assassines.

     



     

    Qu’êtes-vous près de ces roses
    Sanglantes, éblouissantes,
    Ô pâquerettes écloses
    Dans les prés aux vertes sentes?

     



     

    Qu’est votre parfum qui rôde
    Évaporé dans la brise,
    Près de l’odeur âcre et chaude
    Qui me pénètre et me grise ?

     



     

    Ô mignonnes marguerites,
    Enfantines amourettes,
    Hélas! mes pauvres petites,
    Je ne sais plus qui vous êtes.

     



     

    Dans de vagues mausolées,
    Enfants blondes, rousses, brunes,
    Pour moi vous dormez voilées
    Au pays des vieilles lunes.

     

    Jean Richepin, (Les Caresses, 1877)

     

     


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