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Par Liviaaugustae le 9 Décembre 2023 à 00:02
Autoportrait
Charles Ernest Rodolphe Henri Lehmann, né Karl Rudolph Heinrich Lehmann à Kiel (duché de Holstein) Kiel le 14 avril 1814 et mort à Paris le 30 mars 1882 est un peintre français d’origien allemande.
Henri Lehmann est d'abord l'élève de son père, Léo Lhemann, puis de Ingres à Paris, où il ouvre son atelier en 1847, après s'être fait naturaliser français.
L‘eau ou la source
Mona Belco
Faustine
Etude
Repos
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Par Liviaaugustae le 2 Décembre 2023 à 00:39
Je vous parlais la semaine dernière des roses au fil des âges, si les poètes les ont chantées en vers, comme vous pourrez le constater ci-dessous, les peintres, ont succombé eux aussi à la beauté des roses...
Livia
Nous commencerons donc par la reine de France peinte en son jardin par Elisabeth Vigée-Lebrun qui nous a laissé ce magnifique tableaux de :
Marie-Antoinette à la Rose...
Edouard Manet nous offre : Roses dans un vase de verre
Henri Biva, nous offre : Une fille dans un jardin de roses
Ainsi que des : Roses dans un panier, sont-ce les roses que la jeune fille a cueillies au jardin ?
Henri Fantin-Latour a posé les roses dans une coupe
Tandis que Pierre-Auguste Renoir peint Les roses dans un vase
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Par Liviaaugustae le 18 Novembre 2023 à 08:42
John Henri Fussli
Par James Northcote
Johann Heinrich Füssli ou Henry Fuseli (7 février 1741 à Zurich – 16 avril 1825 à Putney Hill) est un peintre et écrivain d'art britannique d'origine suisse.
Il montre très tôt dans sa carrière, un attrait particulier pour les sujets fantastiques, nouveaux à l'époque.
Dès la cinquantaine, il a vécu en Angleterre où il a réalisé des illustrations d'œuvres de Shakespeare, de Dante ainsi que de l'épopée germanique des Nibelungen.
Il a été reconnu par les Surréalistes comme un de leurs précurseurs.
Cavalier attaqué par un serpent géant
Charybde et Scylla
Le cauchemar
Le silence
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Par Liviaaugustae le 4 Novembre 2023 à 00:07
Stéphane Mallarmé disait d'elle :
« C'est une pointe de XVIIIe exaltée de présent »
Berthe Morisot aux souliers roses
Peinte par Edouard Manet
Berthe Morisot née le 14 janvier 1841 à Bourges et morte le 2 mars 1895 à Paris, est une artiste peintre française, cofondatrice et doyenne du mouvement d'avant-garde que fut l'impressionnisme.
Au sein du groupe impressionniste, elle suscite l'admiration et le respect de ses pairs.
À sa table se réunissent son beau-frère Edouard Manet qui est le plus mondain, Edgard Degas, le plus ombrageux, Pierre-Auguste Renoir, le plus sociable, et Claude Monet le plus indépendant du groupe.
Stéphane Mallarmé un de ses plus fervents admirateurs, l'introduit auprès de ses amis écrivains.
(Textes et images wikipédia)
Femme à sa toilette
Jeune fille au bal
Jeune fille au bal
Joueuses de flûte
Canotage en été
La chasse aux papillons
Si vous habitez Paris ou sa région, vous pourrez aller admirer cette exposition sur les femmes, jusqu'au 3 mars 2024, au Musée Marmottant l'exposition : «Berthe Morisot et l'art du XVIIIe ».
Les deux premiers tableaux font parti de l'exposition, pour les autres je ne sais pas, mais je les trouve tout aussi beaux.
Livia
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Par Liviaaugustae le 21 Octobre 2023 à 00:22
«Le temps passe. Ah, si on pouvait le regarder passer ; mais hélas, on passe avec lui…»
Paul-Jean Toulet
Le temps coupant les ailes de l'amour
Pierre Mignard
Vieilles Amorettes
Aux prés de l’enfance on cueille
Les petites amourettes,
Qu’on jette au vent feuille à feuille
Ainsi que des pâquerettes.On cueille dans ces prairies
Les voisines, les cousines,
Les amourettes fleuries
Et qui n’ont pas de racines.Ô douce gerbe liée
Avec des rubans d’aurores.
Fraîche rosée oubliée,
Me parfumez-vous encore ?Hélas! bouquets éphémères,
Depuis cette heure lointaine
Combien de larmes amères
Ont coulé dans ma fontaine!Des choses se sont passées
Qui m’ont changé ma jeunesse
Beaucoup trop, ô trépassées,
Pour que je vous reconnaisse.Le dur amour qui ravage
Dans mon cœur a pris racines,
Comme un grand rosier sauvage
Aux épines assassines.Qu’êtes-vous près de ces roses
Sanglantes, éblouissantes,
Ô pâquerettes écloses
Dans les prés aux vertes sentes?Qu’est votre parfum qui rôde
Évaporé dans la brise,
Près de l’odeur âcre et chaude
Qui me pénètre et me grise ?Ô mignonnes marguerites,
Enfantines amourettes,
Hélas! mes pauvres petites,
Je ne sais plus qui vous êtes.Dans de vagues mausolées,
Enfants blondes, rousses, brunes,
Pour moi vous dormez voilées
Au pays des vieilles lunes.Jean Richepin, (Les Caresses, 1877)
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