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    C'est pour le Café-Thé n° 121 de Brigitte, allias écureuilbleu, que j'ai écrit ce texte.

     

    Le thème était : «En mai, fais ce qui te plaît» ! Vue nos conditions de vie durant ce mois de mai, ce n'était pas si facile et pourtant !

     

     

     

     

     

    « Rien qu'aujourd'hui, j'établirai un programme détaillé de ma journée.

     

    Je ne m'en acquitterai peut-être pas entièrement, mais je le rédigerai. Et je me garderai de deux calamités : la hâte et l'indécision. »

     

    Décalogue de la sérénité, Jean XXIII

    En mai fait ce qu'il te plaît...

     

    Et pendant ce temps-là, le printemps investissait la campagne et les jardins...

    (Photo d'un petit coin du jardin de mes enfants, dans lequel les coquelicots se sont invités)

     

     

    En mai, fait ce qu'il te plaît !

    C'était plus facile à dire qu'à faire, avec ce virus qui s'était invité partout dans le monde, sans crier gare !

    Alors, les autorités nous ont confinés pour nous protéger et aussi dans l'espoir de stopper le virus !

    Ce confinement fut très dur pour certains, mais pour d'autres, n'était-ce pas le bon temps finalement ?

    Certes, nous ne pouvions aller où nous voulions, ni voir la famille et les amis, certes, nous ne pouvions acheter ce que nous voulions, il manquait des articles dans les magasins que nous fréquentions, mais...pendant ce temps-là, la nature avait pris les choses en main et le printemps s'installait irrésistiblement. Dans nos villes, le silence s'étant établit, nous permettait d'entendre à nouveau les oiseaux chanter, on prenait le temps de regarder les fleurs pousser, le printemps était bleu et ensoleillé, la température douce. Les fenêtres restaient ouvertes et l'air délivré de la pollution des voitures et des fumées d'usines était plus pur, on respirait mieux, le téléphone était muet, plus de sonneries intempestives pour des pubs imbéciles.

    Tous les soirs, nous sortions sur les balcons, pour applaudir les soignants, on se faisait des signes d'amitié de part et d'autres de la rue et aux voisins des immeubles d'à côté, certains jouaient de la trompette et d'autres tapaient sur des casseroles, nous avions retrouvé un semblant d'humanité...

    Nous avons reconsidérer la vie et fait une plus grande place à l'essentiel.

    Quand nous sortions de chez nous pour acheter des vivres, nous avions l'impression d'entreprendre un long voyage... jusqu'au bout de la rue.

    Nous étions peut-être heureux sans le savoir durant ce confinement !

    Mais l'heure du dé-confinement a sonner, il faut sortir et reprendre la vie en espérant que le virus soit loin derrière nous, mais de cela nous n'en sommes pas encore tout à fait convaincus !

    Livia

     


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    Samedi 30 mai 2020

     

    Le mois de Marie, s'achève...

     

     

     

    Dans mes jeunes années ce mois était clôturé par une magnifique cérémonie, celle du couronnement de la Vierge.

     

    La statue de la vierge trônait dans une petite gloriette située au dessus de l'autel de la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Pointe-à-Pitre, durant tout le mois de mai.

     

     

    Une histoire d'anges...

    Sur cette vieille carte postale, on voit la Vierge dans la gloriette surmontant l'autel fleuri de la Cathédrale de de Pointe-à-Pitre

     

    Cette photo a sans doute été prise au moment des faits dont je parle.

     

     

     

    Et tous les ans, cinq petits anges arrivaient dans le chœur, celui qui devait poser la couronne sur la tête de la statue, se tenait au milieu et portait une belle couronne posée sur un coussin recouvert de satin bleu (le bleu étant la couleur de la Vierge).

     

     

    Une histoire d'anges...

    Un magnifique ange joueur de viole

     

    Melozzo de Forli

     

    Collection de la Pinacothèque Vaticane

     

     

     

    C'était dans les petites classes chez les sœurs de Saint Joseph de Cluny, que les anges étaient tirés au sort, celui qui devait couronner la Vierge devait être un modèle de sagesse, ce qui n'était pas mon cas, j'étais une petite fille très turbulente, aussi quand une année, mon nom fut tiré du casque colonial, dont se servait les sœurs pour leur tirage, je fus écartée sans ménagement, comme un ange déchu en somme, mes états de service étaient loin des normes voulues ! Imaginez la peine, le désarroi que j'éprouvais alors, et aussi la crise de jalousie féroce envers celle qui m'avait « volé » ma place quand on nous fit part de la décision de la mère supérieure ?

     

    Celle qui avait été choisie à ma place, m'avait lancé un sourire moqueur accompagné d'un regard triomphant et narquois, les sœurs ne s'en aperçurent pas, mais je trouvais qu'elle était encore moins digne que moi de couronner la Vierge, car si j'étais turbulente, elle, elle était carrément méchante.

     

    Voyant mon gros chagrin, une des sœurs qui m'aimait bien, plaida ma cause, mais la supérieure tint bon, je ne pouvais m'approcher de la Vierge vu mon indiscipline notoire, ainsi que mon bavardage incessant, mais... elle accepta de me laisser accompagner « l'ange couronneur, » la mort dans l'âme, je resterai donc au bas des marches de l'autel avec les 3 autres anges accompagnateurs. C'était mieux que rien, mais j'avais quand même comme un gros poids sur la patate, et je fomentais dans ma petite tête d'enfant (6 ou 7 ans) des vengeances extrêmes envers la voleuse de place, par exemple : je rêvais de lui faire des croches pieds le long du parcours, ou encore de lui marcher sur sa robe pour que cette dernière se déchire, (les robes d'ange faites dans du tulle étaient très fragiles).

     

    Mais voilà qu'un jour une grande fébrilité régna dans la classe, l 'ange qui devait couronner la Vierge, la voleuse de place avait la rougeole et ne pourrait être présente, avais-je une chance de la remplacer puisque qu'on tirait à nouveau au sort les quatre accompagnatrices ? Que nenni ! Mon nom ne fut même pas mis dans le fameux casque ! Cependant ma colère en fut atténuée, la voleuse était punie, elle était malade avec de gros boutons et de la fièvre !

     

    Je restais donc... une accompagnatrice.

     

    Le Jour J, Monsieur X, se tenait dans le chœur et prenait des photos de la cérémonie, (photos souvenir que l'on pouvait lui acheter), puis au moment crucial, rangeant son matériel, il aidait le petit « ange couronneur » à grimper sur la gloriette pour poser la couronne sur la tête de la statue.

     

    Alors éclatait le chant !

     

    « Vierge reçoit cette couronne,

     

    faites qu'elle soit le gage précieux,

     

    de celle qu'auprès de ton trône,

     

    tu nous réserve dans les cieux » !

     

    Car pour cette cérémonie la chorale des sœurs chantait de magnifiques chants que l'on répétait jusqu'à la veille du grand jour. Ce cantique était chanté tous les ans pour cette occasion, je ne l'ai jamais oublié :

     

    Et depuis que j'ai écrit cette histoire, je n'arrête pas de fredonner cet air que nous chantions à trois voix et comme je fis partie de la chorale, je l'ai chanté moult de fois tout au long de ma scolarité.

     

    Je regrette ces belles cérémonies, dans une église remplie de fidèles, de chants, de fleurs, et d'odeurs d'encens, malheureusement l'encens est très peu usité de nos jours car c'est un produit très cher et contrairement à l'idée reçue, l'église n'est pas riche aujourd'hui !

     

    Livia

     

     

     

     

     


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    Comment marier les vins et les plats ? Parfois on se pose la question, faut-il du vin blanc ou du rouge ? Ou alors du rosé ? Du sec ou du doux ?

     

    Pour un mariage réussi, je vous offre un article qui pourrait vous aider !

     

    Livia

     

     

    Un mariage réussi...

    Un joli mariage...

     

    (image internet)

     

    Mariages des vins avec les plats

     

    Pour accompagner une viande rouge cuisinée avec une sauce au poivre, il vaut mieux choisir…

     

    Avec une viande rouge cuisinée avec une sauce au poivre, il vaut mieux choisir un vin rouge puissant et épicé afin qu’il ne s’efface pas en bouche face au poivre. Vous pouvez notamment déguster un cahors ou un bordeaux.

     

     

     

    Avec un plateau de fromages, vous sortez forcément un vin rouge.

     

    Une idée reçue prône l’accord du fromage avec le vin rouge. Or ce n’est pas nécessairement vrai. De plus en plus de sommeliers conseillent des vins blancs. Autre constat: un seul vin ne pourra pas correspondre à tout le plateau. Chaque fromage pourrait même s’accorder avec un vin différent... Une possibilité: miser sur un ou deux fromages accompagnés d’un vin adapté! Voici quelques conseils: avec un vieux comté, vous pouvez ouvrir un vin jaune du Jura, sur un comté jeune, il vaut mieux partir en Loire avec un savennières par exemple, ou bien en Bourgogne avec un meursault. Pour un fromage à pâte persillée de type roquefort, n’hésitez pas à ouvrir un vin sucré (sauternes, banyuls…). Avec un chèvre frais, rien de tel qu’un blanc sec de Loire comme un sancerre. Bien sûr, le vin rouge n’est pour autant pas proscrit, vous pouvez notamment déguster un saumur ou un bourgogne avec un camembert ou un reblochon!

     

     

     

    Qu’est-ce qu’un cépage ?

     

    Un cépage est une variété de raisin. Chardonnay, sauvignon, pinot noir, syrah, grenache… Il en existe plus de 6000 dans le monde. Les cépages donnent les arômes primaires du vin. Les arômes secondaires sont issus de la fermentation. Et les arômes tertiaires proviennent du vieillissement du vin. Pour en savoir plus, consultez cet article.

     

     

     

    Peut-on servir du vin avec des crudités?

     

    Même si ça peut paraître étonnant, des crudités sauce vinaigrette sont impossibles à accorder avec un vin. Le problème ne vient pas des crudités, mais du vinaigre. En effet, celui-ci couvre tous les arômes du vin et ne fait ressortir que son acidité… À éviter, donc.

     

     

     

    Le chardonnay est un cépage blanc très connu. Quels sont ses arômes?

     

    Un chardonnay est un vin minéral, qui peut avoir des arômes boisés et vanillés, notamment s’il est passé en fût de chêne. À l’opposé, un vin aromatique évoquant les fruits exotiques, les pétales de rose s’apparente plutôt à un gewurztraminer, un cépage principalement présent en Alsace. Si vous goûtez un vin avec une acidité vive, avec des arômes d’agrumes et un côté végétal, c’est un sauvignon ! Ces saveurs peuvent varier en fonction du terroir.

     

     

     

    Mieux vaut accorder un poisson avec un vin blanc

     

    C’est vrai! Un poisson au court-bouillon ou grillé relevé par du citron ou des herbes se mariera très bien avec un sauvignon. Ce cépage se retrouve principalement dans les vins de Loire (sancerre, touraine, pouilly-fumé…) ou bien dans le bordelais, associé au cépage sémillon. Pour un poisson avec une sauce à la crème, un chardonnay sera plus adapté. Dans ce cas, partez vers la Bourgogne, avec un chablis, par exemple.

     

     

     

    Pour accompagner une blanquette de dinde, vous pouvez boire…

     

    Un rouge léger ou bien un vin blanc gras. C’est une règle de base lorsque l’on cherche à accorder un vin avec un plat: le bon accompagnement, c’est celui qui vous fait plaisir! Sur ce cas particulier, les deux accords sont faisables. Certaines alliances de vins et mets sont reconnues, et surtout certains mauvais mélanges déconseillés (comme les huîtres et le vin rouge…), mais rien ne vous empêche de faire vos propres expériences. Alors… Bonne dégustation!

     

     


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    « Objets inanimés, avez-vous donc une âme ?»

     

    Lamartine

     

     

    Quand les robots font la tête...

    Cerveaux de robots...

     

    (image Pixabay)

     

     

     

    Une amie m'a envoyé un diaporama qui raconte l'histoire d'un homme qui a une maison connectée, en fait c'est le cerveau de cette maison qui fait tout le boulot en répondant aux ordres du propriétaire, elle lui obéit docilement, comme un chien à la voix de son maître, elle fait le smoothie, allume et éteint le feu et ouvre la porte...

     

    Oui mais voilà, un jour il va chez le dentiste, ce cernier lui extrait une dent et après l'anesthésie il a la langue gonflée et ne peut plus parler correctement et alors qu'il pleut à verse, il essaye en vain de dire « Open the door ! » le robot ne reconnaissant pas sa voix et ne comprenant pas les demandes, refuse d'obéir. La voisine arrive, lui fait un petit signe et entre chez elle avec sa clé...

     

    L'histoire ne dis pas comment il arrive à entrer chez lui, mais tandis que le pauvre homme grelotte sous une couverture, il essaye de demander du chauffage, le robot qui ne comprend toujours pas, lance un morceau de musique à fond la caisse…

     

    Si vous désirez voir ce petit film amusant sur cette maison réfractaire, clic sur le lien ci-dessous :

     

    https://www.youtube.com/watch?v=Ub3L9yw7F88

     

    Je n'ai pas de maison connectée, Dieu merci, mais comme tout le monde j'ai quelques robots ménagers, appareils, qui lave, sèche, aspire et des petits appareils pour mixer ou couper, viande légumes ou fruits, et un autre qui fait un excellent café, sans oublier l'indispensable ordinateur qui parfois boude et bug sans préavis.

     

    Ces diables d'appareils n'en font qu'à leur tête.

     

    A croire qu'en ce moment ils se sont donné le mot chez moi :

     

    Il y a à peu près une quinzaine de jours, c'est le bouton du sèche linge qui refusait de tourner, il s'était bloqué brusquement et refusait de tourner afin de faire démarrer la machine.

     

    De guerre lasse, je me suis dit : perdu pour perdu, je force sur ce bouton, s'il casse tant pis ! Et hop ! çà a marché, j'ai pu faire sécher mon linge qui était coincé dedans, depuis il marche au doigt et à l'œil ! Pour combien de temps ? Là je n'en sais rien encore !

     

    Hier, c'est le blender qui m'a fait un gros caprice, il refusait lui aussi de s'ouvrir. Ma fille et moi avons essayer de l'ouvrir à tour de rôle, rien à faire il refusait catégoriquement et pourtant j'avais besoin de la purée de tomates qui se trouvait à l'intérieur, l'après midi, j'ai réessayé et... il s'est ouvert sans faire d'histoire, tranquillement, il avait sans doute fini de faire la tête. J'ai eut une grosse envie de casser ce petit robot capricieux, mais réflexions faites, j'ai récupérer ma purée de tomates et laver ce maudit appareil.

     

    Mais l'histoire d'appareils récalcitrants ne s'arrête pas là.

     

    Il y a aussi la machine à coudre, qui m'a fait tourner en bourrique pour l'enfilage de l'aiguille, (il faut dire que je ne m'en sers pas beaucoup, la couture et moi cela fait deux) ayant trouvé un tuto très bien expliqué pour une fois, je décide donc de confectionner des masques, (car malgré les affirmations des gouvernants, on n'en trouve pas facilement) après avoir installé la machine, j'installe la bobine et je passe le fil en haut, en bas, puis encore en haut et encore en bas et...j'enfile mon aiguille, que croyez-vous qu'il arriva ? Rien ! J'avais des tonnes de fils en dessous et quand je tirais sur le bout... tout se défaisait. J'ai mis un temps fou à enfiler correctement cette maudite machine, après avoir gaspillé beaucoup de fil...mais j'ai réussi mes masques.

     

    Il n'y a pas que les robots malheureusement, qui ont fait la tête et qui m'ont empoisonnée, voilà que ce matin, la cordelette du rideau du séjour m'est resté dans la main, le rideaux ne s'ouvre plus ! Il faudra attendre, car comment trouver un ouvrier en ce moment et mon fils ne pourra venir à Nantes qu'à la saint Glin-Glin à cause de cet saleté de virus, j'ai donc déserté cette pièce plongée dans la pénombre, je n'y vais que le soir pour regarder la télé.

     

    Qu'est-ce qui va encore me tomber dessus ?

     

    Et lequel des autres appareils compte me pourrir la vie ?

     

    Je n'en sais rien et bien que je reste sur mes gardes et ouvre l'œil, Dieu seul sait ce qui peut encore arriver !

     

    Livia

     

     


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    Jusqu'à aujourd'hui, le Saint Suaire intrigue les « savants », la plupart sont athées et veulent donc absolument prouver que ce linceul est une fumisterie de la part des chrétiens !

     

    Cependant depuis 1931, ils s'escriment dessus et leurs analyses en tout genre sont restés sans résultats !

     

    Mais ils vont sûrement continuer avec l'espoir de coincer les chrétiens un jour !

     

    Livia

     

     

    Le Saint Suaire...

    Le Saint Suaire

     

     

     

    Si le Ressuscité est apparu à beaucoup de monde, personne en revanche n'a assisté à la Résurrection. Pour une raison simple : il n'y avait pas de témoin dans le tombeau ; seulement des objets, qui sont restés muets. Tous sauf un : le linceul. On a, en effet, de bonnes raisons de croire que la grande pièce de lin conservé à Turin est bel est bien le linceul qui enveloppa le Christ, et dont parle les évangiles.

     

    Première certitude : L'image déposée sur le linceul n'est pas l'ouvre d'un artiste ; aucun pigment, aucun solvant, aucun enduits n'a été retrouvé. L'image résulte d'une pure occidation (inexpliquée) de la cellulose du lin.

     

    En outre, certains détails de l'image n'ont manifestement pas pu être inventés au Moyen-Âge : on relève ainsi des marques de perforations au niveau des poignets, conformes à la pratique des bourreaux romains, mais en contradiction avec toutes les représentations médiévales, qui plaçaient toujours les clous dans les paumes.

     

    On note aussi que les traces de la flagellation sont très semblables à celles qu'aurait pu laisser le fouet spécifique de l'armée romaine, le flagrum taxillatum, qui comportait des billes de métal au bout des lanières. Or, ce détail n'était pas connu au Moyen-Âge. En outre, les analyses modernes nous ont appris que le tissus contenait des poussières minérales typiques de Jérusalem, au niveau des pieds, des genoux et du nez. On se demande bien pourquoi un faussaire médiéval les aurait ajoutées, à une époque où ces choses étaient indétectables.

     

    Il y a plus frappant encore. Les experts on montré que le sang qui macule le linceul (au niveau de la tête, des mains, des pieds et du côté droit) s'est déposé avant l'image et qu'il présente un excès de bilirubine, caractéristique des organismes qui éprouvent des souffrances longues et intenses.

     

    A la lumière de ces divers éléments, le plus probable est que le linceul (parfaitement conforme à ceux qui étaient utilisés en Palestine au Ier siècle) a bien enveloppé le corps d'un homme de type sémite, battu, flagellé et crucifié selon les méthodes romaines, et couronné d'épines, comme en témoignent les traces de sang autour de la tête. Les médecins légistes qui se sont penchés sur le linceul ajoutent que l'absence de putréfaction, comme de toute traces d'arrachement, laissent penser que le corps n'a pas séjourné plus de quarante heurs dans le tissus.

     

    Reste une énigme : comment l'image s'est-elle déposée sur ce tissus ? […]

     

    Frédéric Guillaud

     

     


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