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    numérisation0002LES SAVEURS DU PALAIS…

     

    On en tant parlé ! C’était le film du siècle !

    Jean d’Ormesson « faisait l’acteur » !

    Et Christian Vincent était un réalisateur fabuleux !

     

    J’apprécie beaucoup Catherine FROT, c’est l’une de nos meilleures actrices du moment, à mon humble avis.

    C’est vrai que les plats qu’elle prépare font saliver, et que c’est agréable de visiter l’Elysée (bien que l’on soit le plus souvent dans les cuisines), mais il y a quelques petites échappées dans les « ors » du château.

    Mais franchement, le film est plat, plat comme une limande, puisque nous parlons cuisine… Cependant on apprend comment le président de l’époque dépensait l’argent du contribuable.

    Il fait quérir Mme Hortense ? dans le fin fond du Périgord, et la ramène à Paris, juste pour concocter des petits (pourquoi dis-je petits ?) Puis qu’il s’agit de grande et succulente cuisine (hors des repas « présidentiels »), rien que pour lui, sa famille et ses amis !

    C’est la cuisinière perso du président des années 80…

     Et quels repas !

    Jugez-en : Truffes (que Mme Hortense va chercher au Périgord, aux frais des contribuables)

    Les meilleurs volaillers de France et de Navarre, fournissent les oies que l’on truffe grassement…

    Le foie gras, lui aussi est exceptionnel, on s’approvisionne… au Périgord !

    Les meilleurs poissonniers du pays apportent les meilleurs poissons, huîtres, coquillages, etc…

    Les légumes sont triés sur le volet…

    Enfin, côté cuisine, c’est parfait, en sortant, on n’a plus qu’une envie… Manger !

    Voilà ! J’ai résumé le film.

    J’aime énormément le « grand écrivain » qu’est Monsieur Jean d’Ormesson, mais je le supplie de ne plus « faire l’acteur » ! Il est nul, et joue comme un pied. Heureusement on ne le voit pas trop.

    Chacun son métier !

    Il doit rester l’écrivain académicien, que tous les français adôôôre, et dont la notoriété a traversée nos frontières.

    Mais où ais-je donc la tête ? Il n’y a plus de frontières !

    Heureusement il y a Catherine FROT, qui porte le film, sans elle, pas de film !

    liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LES CHIENS AU CINEMA.
     
     
     
     
     
     
     
    23514_diapo_3-copie-1.jpgLassie, chien fidèle
    Qui ne connait pas Lassie, la célèbre chienne Colley, héroïne du roman d’Eric Knight ? Depuis 1943, Lassie n’a eu de cesse d’inspirer le 7e art jusqu’en 2006.  Tous les chiens qui ont interprété Lassie étaient des mâles car les femelles Colley perdent leur pelage une fois par an, ce qui posait des problèmes pour les tournages. Lassie est tellement célèbre qu’elle a, comme les autres stars, son étoile à Hollywood. NANA PRODUCTIONS/SIPA
     

     

     

     

     

     

    23514 diapo 5-copie-2Scoubidou

    Scoubidou est un drôle de fin limier dessiné par Iwao Takamoto et dont le nom lui vient de la fin de la chanson de Franck Sinatra "Strangers in the night". Les premières aventures de Scoubidou et de ses acolytes détectives sont apparues en 1969 dans "Scouby-Doo, où es-tu ?". Depuis, le Dogue Allemand, aussi peureux qu’il est gourmand, s’embarque toujours dans des intrigues loufoques et rocambolesques. INTERFOTO USA/SIPA

     

     

     

     

     

    23514 diapo 0-copie-2Croc-Blanc, 1991

    L’adaptation au cinéma du roman éponyme de Jack London a fait rêver nombre de jeunes filles en 1991. Ethan Hawke joue le rôle de Jack Conroy, le jeune chercheur d’or qui sauve Croc-Blanc. Le cruel Beauty Smith avait fait de Croc-Blanc un chien de combat. Mi-loup, mi-chien, Croc-Blanc est interprété par Jed, un croisé chien et loup. WEBER ANITA/SIPA

     

     

     

     

     

    23514 diapo 7

    Beethoven, 1992

    Baptisé Beethoven parce qu’il aboya à la 5e symphonie de Ludwig Beethoven, ce Saint Bernard s’échappe de l’animalerie quand des cambrioleurs font irruption. Il se réfugie chez les Newton. Face à cette boule de poil, qui va bien grandir, le père hésite à le garder mais les enfants veulent l’adopter. Mignon et bouscule tout, Beethoven est extrêmement populaire. Il a séduit le monde entier et connu plus de 6 suites. DDP IMAGES FILMFOTOS/SIPA

     

     

     

     

     

    23514 diapo 4Les 101 Dalmatiens

     

    Les 101 Dalmatiens est un grand classique des Studios Disney. Il est le premier film d’animation qui a bénéficié d’innovations techniques permettant la multiplication des dalmatiens. En 1996, un remake voit le jour avec une incroyable Glenn Close dans le rôle de Cruella. Suivront la série d’animation de 1997 à 1998 et un autre long-métrage en 2003, les 101 Dalmatiens 2 : sur la trace des héros. INTERFOTO USA/SIPA

     

     

     

     

     

     

    23514 diapo 2Rusty, chien détective, 1998

    Rusty est un gentil petit chien qui vit tranquillement avec Jory et Tess, ses maîtres dans le refuge pour animaux de leurs grands-parents. Jusqu’au jour où un certain nombre de pensionnaires manquent à l’appel. Rusty se lance dans l’enquête avec des amis pour retrouver les animaux kidnappés et démasquer les ravisseurs. INTERFOTO USA/SIPA

    

     

     

    Textes et images : source internet

     

     

     

     

    Ce petit éventail m’a rappelé de bons souvenirs.

     

    Mais, ils ont oublié une grande vedette « ASTA », il  tourna avec de grandes vedettes :

     

    Je l’ai vu maintes fois aux côtés de grands acteurs de l’écran américain. 

     

     

     

    Ci-dessous, avec Cary Grant et Katherine Hepburn, dans :

     

    « L’Impossible Monsieur Bébé » (1938)

     

     

     

     

     

     

    DSCF0631-copie-2Asta : un petit chien blanc tâché de noir, qui a un petit air de Milou,  (alias Georges) dans les bras de Cary Grant.

     

    Il y tient une grande place, il fait et défait les projets des personnages, et provoque des catastrophes en chaîne, aidé il faut bien l’avouer par Katherine Hepburn…

     

     

     

     

     

     

     

    DSCF0628

    Asta, toujours dans : L’impossible Monsieur Bébé…

     

     

    ASTA, a joué aussi dans : Cette sacrée vérité, (1937) avec Cary Grant, et Irène Dunn, il se prénommait alors « Mr Smith ».

    Liviaaugsutae

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Revu aussi en DVD.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    numérisation0008Fernandel et Marguerite…
     
    Dans « LA VACHE ET LE PRISONNIER ». (1959)
     
     
     
    Charles Bailly (Fernandel) est un prisonnier de guerre condamné aux travaux forcés dans une ferme allemande en 1943.
     
    Véritablement obsédé, à l’idée de retrouver son épouse, «que je veux voir vieillir gentiment, doucement, jusqu’au bout du chemin», il décide de s’évader en employant une méthode plutôt originale. Il part sur les routes d’Allemagne jusqu’en zone libre, accompagné par l’étonnante « Marguerite », une vache, cédée, par la fermière, chez qui il travaillait.
     
    Et voilà Charles et Marguerite, parti pour l’aventure…
     
    C’est drôle, émouvant…
     
     
     
    « Elle a de grands yeux câlins, un beau front volontaire, un corps à croquer, une bouche pleine de tendresse.
     
    En outre, de toutes les stars du cinéma français, elle est sans doute la seule qui n’a jamais menti. Marguerite l’héroïne à cornes de « La Vache et le prisonnier » s’est installée dans nos mémoires cinématographiques […]
     
    […] Fernandel et elle  formèrent aussitôt une paire d’amis. La modestie de notre belle normande conquis les cœurs de tous les techniciens…
     
    Bref, le cinéma avait engendrée la Divine ! Avec Marguerite, il créa la Bovine.
     
    Qui dit meuh ?
     
    Alain RIOU
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    numérisation0007« Elle va marcher beaucoup moins bien, maintenant… »

     

    C’est avec cette image et cette phrase, que commence le film de Gérard OURY

    LE CORNIAUD… que j’ai revu l’autre jour en DVD.

     

    Antoine Maréchal, (Bourvil), petit commerçant à Paris (il fait dans la layette), s’apprête à partir en vacance en Italie, lorsque sa petite voiture est réduite en miettes par la luxueuse voiture du coléreux Saroyan, (Louis de Funès) directeur d’une importante maison d’import-export. D’abord de mauvaise foi, Saroyan reconnaît soudain ses tords et offre à Maréchal, le voyage Paris/Naples en avion lui proposant de revenir à Bordeaux avec la Cadillac d’un de ses amis. Saroyan est en réalité un gangster qui pense avoir trouvé le naïf idéal pour faire passer sans souci, diamants, or et drogue, cachés un peu partout dans la luxueuse voiture.

    Mais tout ne marchera pas comme le grand Saroyan l’avait prévu, et le naïf, qui n’est pas si naïf qu’on le croit, va faire du zèle et trouver le « You-Kun-Kun » , ce qui lui vaut une énorme somme d’argent de la part des assurances…

     

    Et l’on n’arrête pas de rire !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    WALT DISNEY

    Deuxième partie.

     

     

     

     

     

     

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    Alice aux Pays des Merveilles (1951)

     

     

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    Peter Pan se battant avec le méchant capitaine Crochet (1953)

     

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    Saupoudrer de poudre de fée, tout le monde s’envole.

     

     

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    La Belle et le Clochard, une belle histoire d’amour de chien (1955)

     

     

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    La Belle au Bois Dormant : elle chante en attendant son prince (1959)

     

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    Les trois bonnes fées viennent délivrer le prince Philippe de Maléfice.

     

     

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    Les 101 Dalmatiens, rencontre au parc, des deux couples (1961)

     

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    La famille s’est agrandie…

     

     

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    Merlin L’Enchanteur (1963)

     

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    Arthur à enlever l’épée : c’est le futur roi d’Angleterre.

     

     

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    Le Livre de la Jungle promenade au fil de l’eau (1967)

     

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    Le G. 3…

     

     

    Les Aristochats 1968

    Duchesse rencontre Thomas O’malet : Les Aristochats (1968)

     

    Je ne me suis intéressée qu’aux dessins animés. L’œuvre de W. Disney est si importante, qu’il a fallut choisir…

     

     

     


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