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Par Liviaaugustae le 28 Juillet 2016 à 00:42
Une petite chapelle et un calvaire dans la campagne bretonne ( Finistère)...
(photo prise lors de vacances là-bas)
Blog en pause pour cause de départ en vacances...
Malgré les tensions, et les assassins courant dans nos villes et nos campagnes, la gageure pour nous en dépit de cela, est de passer quand même un bon été, je vous le souhaite à tous !
Rendez-vous à la rentrée.
Liviaaugustae
11 commentaires -
Par Liviaaugustae le 14 Juillet 2016 à 16:03
Quelques unes d'entre vous ont répondu à mon article sur le symbole de la France, à savoir : le coq !
Symbole que je trouve dérisoire lui préférant l'aigle impérial de Napoléon.
L'image du coq gentil est complètement erronée, le coq est combatif !
Combats de coqs...
[…] Il ne fut pas accepté par les rois qui lui préféra la fleurs de lys mais il fut réinitialisé par les révolutionnaires, de nouveau abandonné par Napoléon qui choisit l'aigle pour représenter la France. Après une période d'éclipse, « les Trois glorieuses » de 1830 rétablirent l'image du coq français et Louis-Philippe, signera une ordonnance indiquant que le coq devait figurer sur les drapeaux et les boutons d'uniformes de la garde nationale.
L'aigle impérial retrouve sa place avec Napoléon III signe de l'Empire.
Après cela le coq ne retrouva jamais une véritable autorité au niveau politique, on ne peut trouver que des références éparses […]
(Texte wikipédia)
Petite fille, j'ai faillit être lacérée par un coq chez mes grands parents, il était énorme, aussi grand et gros que moi, il s'évadait souvent de sa cage, il fallut quatre hommes pour le maîtriser, après lui avoir assené un coup derrière la tête !
Par contre je n'ai jamais rencontrer d'aigles qui voulaient me faire la peau !
Beaucoup plus tard, (en Guadeloupe comme dans toutes les Antilles petites et grandes) les combats de coqs sont pratiqués, parti en balade avec des amis, ils ont voulu aller assister à un combat de coq, j'y ai été moi aussi forcément.
Entre les vociférations des coqs, ceux de leurs propriétaires et les rugissements des spectateurs, l'odeur du sang, de sueur, et d'alcool, ce fut une rude épreuve de laquelle je ressortie complètement écœurée.
Combats de coqs mosaïque romaine
Je déteste les coqs !
Et c'est sans doute pour ses velléités combatives et meurtrières que les révolutionnaires l'ont adopté !
Liviaaugustae
8 commentaires -
Par Liviaaugustae le 14 Juillet 2016 à 00:13
Jeudi 14 Juillet 2016...
Le coq tricolore
(image internet)
Le coq apparaît dès l’antiquité sur des monnaies gauloises.
Il devient le symbole de la Gaulle et des gaulois à la suite d’un jeu de mot, le terme latin « gallus » signifiant à la fois coq et gaulois.
Cependant le coq reste avec les rois un emblème mineur. C’est la révolution (encore elle) qui va en faire un symbole…
Napoléon le refuse, et déclare : «le coq n’a point de force, il ne peut être l’image d’un empire tel que la France ! »
Il choisit à la place « l’aigle impériale ».
Mais lors de la révolution de 1830, l’imagerie populaire s’empara du coq à nouveau, et en fit un symbole.
(Aujourd’hui le coq est le symbole de la France, principalement lors de rencontres sportives).
Pourquoi la France n'a-t-elle pas garde l’aigle impériale de Napoléon ?
C'est un oiseau qui a quand même plus d'allure que ce volatil que nous exhibons et dont la place à mon avis est à la basse-cour !
Liviaaugustae
12 commentaires -
Par Liviaaugustae le 12 Juillet 2016 à 00:27
Aujourd'hui 12 juillet,
C'est la fête de Saint Olivier
Je vous parle de ce saint, parce qu'aujourd'hui je fête mon fils Olivier.
Saint Olivier Plunkett
(évêque d'Armagh en Irlande)
Au 1er juillet du martyrologue romain, à Londres, en 1681, la passion de saint Olivier Plunkett évêque d'Armagh en Irlande et martyr.
Faussement accusé de haute trahison, sous le roi Charles II d'Angleterre il est condamné à mort, devant la potence, en présence d'une grande foule, il pardonna à ses bourreaux et professa jusqu'au bout, avec un grand courage sa foi catholique.
Martyrologue romain.
(Le roi Charles II, le sachant innocent, fit remettre sa dépouille à sa famille afin qu'il reçoive une sépulture décente).
10 commentaires -
Par Liviaaugustae le 20 Juin 2016 à 00:07
20 juin 2016.
L’été commence aujourd'hui...
sur le calendrier !
Le jardin de Monet (1873)
La maison serait pleine de roses
La maison serait plein de roses et de guêpes.
On y entendrait, l'après-midi, sonner les vêpres ;
Et le raisin couleurs de pierre transparente
Semblerait dormir au soleil sous l'ombre lente.
Comme je t'y aimerais ! Je te donne tout mon cœur
Qui a vingt-quatre ans, et mon esprit moqueur,
Mon orgueil et ma poésie de roses blanches ;
Et pourtant je ne te connais pas, tu n'existe pas.
Je sais seulement que, si tu étais vivante,
Et si tu étais comme moi au fond de la prairie,
Nous nous baiserions* en riant sous les abeilles blondes, près du ruisseau frais, sous les feuilles profondes.
On n'entendrait que la chaleur du soleil.
Tu aurais l'ombre des noisetiers sur ton oreille,
Puis nous mêlerions nos bouches, cessant de rire,
Pour dire notre amour que l'on ne peut pas dire ;
Et je trouverais, sur le rouge de tes lèvres,
Le goût des raisins blonds, des roses rouges et des guêpes.
Francis Jammes
*Baiser : Embrasser, baiser quelqu’un au front, baiser la main d’une Dame, baiser un crucifix.
XIIe siècle : dans les relations amoureuses en signe d’affection ou de respect, du latin « basiare ».
Appliquer, poser ses lèvres sur une personne, une chose par affection, ou respect.
Dictionnaire Larousse
Baiser, ce mot charmant a été dévoyé aux cours des années, descendu des lèvres, il est devenu vulgaire, voir obscène, il patauge aujourd’hui dans les marais de la trivialité !
Liviaaugustae
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