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    « Les lieux de culte ne rouvriront pas au mois de mai. La décision a été actée par Emmanuel Macron. Depuis le début du confinement, les offices religieux se déroulent désormais à huis clos, diffusées sur Youtube ou les réseaux sociaux. Mais cela ne va pas sans quelques accrocs, comme le révèle Le Figaro. 

     

    Alors que le prêtre Philippe de Maistre, curé de la paroisse Saint-André-de-l'Europe à Paris (8e), diffusait sa messe dominicale le 19 avril, il a été interrompu par les forces de l'ordre. »

     

     

     

    Non contents de nous priver de messes, les « autorités » ont dépêchés des policiers qui sont entré dans l'église dans laquelle seulement 7 personnes se trouvaient pour assister à la messe !

     

    C'est une atteinte à la liberté religieuse, mais qui atteint seulement les catholiques qui sont persécutés dans ce pays qui fut autrefois la fille aînée de l'église et sur le sol duquel de nombreuses cathédrales ont vu le jour plus belles les unes que les autres.

     

    Je viens de lire sur Aleteia cette nouvelle très inquiétante, et intolérable, c'est la deuxième fois que la police fait irruption dans une église pour interrompre des messes sous prétexte que les « curés » ne respectent pas le confinement !

     

    Mais la question qui se pose : sont-ils entrer aussi dans les mosquées pour interrompre les prières des fidèles d'allah ?

    Livia

     

     

    Confinement répressible...

    Le chœur de l'église Saint André de l'Europe

     

    (image internet)

     

     

     

    Les faits se sont produits en pleine homélie, ce dimanche 19 avril, vers 8h30. Comme toutes les semaines depuis le début du confinement, l’abbé Philippe de Maistre, curé de la paroisse Saint-André-de-l’Europe, dans le VIIIe arrondissement de Paris, diffusait la messe dominicale sur la chaîne Youtube de la paroisse, lorsque trois policiers armés ont fait irruption dans l’église. « Seules sept personnes étaient présentes : l’organiste, un servant d’autel, un chantre, trois paroissiens pour faire la réponse et tenir la caméra, et moi-même », affirme-t-il à Aleteia, ajoutant que « toutes les mesures sanitaires étaient respectées ». Les policiers ont pourtant ordonné aux trois paroissiens de quitter l’église et tenté d’interrompre la messe. Imperturbable, l’abbé Philippe de Maistre a continué son homélie. « Au bout de dix à quinze minutes, les agents ont fini par sortir, après avoir discuté avec mon servant d’autel, lui-même policier », explique-t-il.

     

    Une intervention illégale

     

    S’il assure que « l’incident est clos », le curé de Saint-André-de-l’Europe regrette que les policiers se soient permis d’intervenir à l’intérieur de l’église, ce qui est interdit par la loi. « Qu’ils poussent la porte pour jeter un coup d’œil leur aurait suffi pour constater qu’il n’y avait pas d’assemblée. Mais là, ils sont intervenus… J’ai hésité à demander à la caméra de se tourner pour filmer la scène ». En effet, en raison de la loi de séparation des églises et de l’État, les compétences de police du maire sont limitées au sein des édifices religieux. Les agents ne sont habilités à intervenir que sur demande expresse du ministre du Culte, sauf en cas de menace de l’ordre public. L’archevêque de Paris, Mgr Michel Aupetit, a fermement rappelé ces règles sur Radio Notre Dame, ce mercredi 22 janvier : « Les policiers sont entrés en arme dans l’église, or il y a interdiction formelle aux policiers d’entrer en arme dans une église. Il n’y avait pas de terroristes ! Il faut garder la tête froide et arrêter ce cirque. Sinon on va prendre la parole et […] aboyer très fort ! »

     

    Le commissaire « s’est immédiatement excusé »

     

    « Le problème, c’est que l’on ferme les portes de l’église pour empêcher les gens d’y entrer, ce qui donne l’impression à certaines personnes que l’on fait des choses cachées. En entendant l’orgue, un voisin a appelé la police en disant que l’on faisait une messe clandestine, ce qui n’était pas le cas », analyse l’abbé de Maistre, à froid.

     

    Ne souhaitant pas « accabler » les policiers qui sont sur plusieurs fronts, le prêtre n’a pas porté plainte, malgré cette violation avérée de la loi. Il assure d’ailleurs avoir eu « un échange très cordial » avec le commissaire, qui « s’est immédiatement excusé ».

     

    Aleteia

     

     

     


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    Vendredi, un tag, écrit en lettres bleues capitales reprenant une citation attribuée à Kropotkine, un Russe théoricien de l’anarchisme, « la seule église qui illumine est celle qui brûle », a été découvert sur le côté extérieur du sanctuaire.

     

    Il a rapidement été nettoyé par les services de la mairie.

     

     

     

    La paix, un bien « précieux »

     

    Réagissant dans un communiqué, le curé de la paroisse a affirmé « regretter » de devoir « donner de l’importance à des propos haineux » et a invoqué les nombreux catholiques « blessés par ces propos ». Affirmant vouloir « éviter d’ajouter de la haine à la haine », il a souligné que la paix demeure un bien « précieux pour notre société ».

     

     

    Eglise taguée...

    Graffitis sur l'église Saint-Jacques et Saint-Philippe à Bruxerolles (Vienne)

     

     

     

    Et c’est dans cet état d’esprit qu’il a assuré rester « disponible pour rencontrer les auteurs » de l’acte. Après avoir remercié le maire et les services municipaux, il a fait allusion au slogan anarchiste revendiqué par les agresseurs, tout en ouvrant le dialogue dans une démarche de paix. Ajoutant avec un éclat de rire auprès d’Aleteia : « Ils ont oublié la fin de la phrase : la seule église qui illumine est celle qui brûle… d’amour ! ».

     

     

    Et tandis que Mr Macron s'occupe des mosquées et de leurs fidèles, nos églises sont : taguées, cassées quand elles ne brûlent pas !

     

    Livia

     

     

     

     


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    Ouf ! les coqs vont pouvoir chanter en toute quiétude, les vaches meugler, les canards cacarder et les cloches sonner !

     

    Mais il a fallut pour ce faire édicter une loi qui protégera les ruraux des « bobos » qui viennent s'installer chez eux et qui leur ont fait des procès pour un oui ou un non enfin pour tout ce qui dérangent des citadins implantés en milieu rural !

     

    Livia

     

     

    Le chant du coq...

    Le coq et ses poules chez lui à la campagne...

     

    (image pixabay)

     

     

     

     

     

    Dans un texte adopté jeudi après-midi, les députés ont choisi de défendre le “patrimoine sensoriel” des campagnes. Une loi de plus dans l'arsenal juridique français, pour répondre aux néoruraux qui, après avoir découvert les réalités de la vie rurale, ont multiplié les actions juridiques pour cause de cris, de coassements, de meuglements, de grognements, de stridulations, et d’odeurs.

     

    Les collègues galliformes du coq Maurice peuvent enfin souffler. Ils pourront désormais chanter en paix et à gorge déployée sans craindre l’ire de quelques néoruraux qui, après s’être installés à la campagne, ont benoîtement découvert qu’il y avait des coqs, des grenouilles, des ânes, des chevaux, des vaches, des cochons, des odeurs de fumier, des cloches d’églises qui sonnaient régulièrement, des cigales (plus au sud), etc. Parce que « les c… ça ose tout et c’est même à ça qu’on les reconnaît », comme l’affirmait à juste titre Michel Audiard, cela s’est traduit – pour certains esprits visiblement mal intentionnés – par une inflation des contentieux juridiques. Petit inventaire des affaires passées et en cours…

     

    En septembre 2019, la justice a donné finalement raison au coq Maurice dont la propriétaire avait été assignée pour nuisance sonore, par des voisins propriétaires d’une résidence secondaire sur l’Île d’Oléron ; ils réclamaient l’éloignement du dit coq qui, pour cette raison typiquement picrocholine, a eu droit aux honneurs du New York Times et du quotidien britannique Télégraph. En août 2019, un nouveau venu dans la ville de Soustons dans les Landes a assigné sa voisine qui possédait un élevage de canard trop bruyant à son goût ; la justice a finalement donné gain de cause à l’éleveuse. En février 2019, c’est un habitant de Saint-Chartres dans la Vienne qui a assigné le village au motif que les cloches de l’église étaient trop matinales et trop bruyantes ; déjà en 2013 à Boissettes en Seine-et-Marne, et en 2017 à Asswiller dans le Bas-Rhin, des habitants s’étaient adressés à la justice pour la même raison et avaient été entendus. Allez, une dernière toute aussi savoureuse pour la route : en août 2018, des vacanciers dans le Var ont porté plainte – heureusement en vain – contre le maire de la commune du Beausset car les cigales aux alentours faisaient trop de bruit…

     

    « Sujet léger en apparence, voire amusant pour certains, la question de l’acceptation des manifestations sensorielles du mode de vie rural est une source de préoccupations pour nos villages ruraux », a expliqué en préambule du projet de loi, le député UDI de la 1 ère circonscription de Lozère Pierre Morel-A-L’Huissier. Le 30 janvier, l’Assemblée nationale a donc examiné le projet de loi portant sur la protection du patrimoine sensoriel des campagnes. Il avait été adopté par la commission des affaires culturelles de l’Assemblée le 22 janvier et était soutenu par le ministre de la Culture Franck Riester. Dans cette loi, il s’agit de « reconnaître la valeur intrinsèque du patrimoine rural et de son authenticité, en protégeant un mode de vie : le chant du coq, le bruit des cigales, l’odeur du fumier, ne sont pas des nuisances mais des caractéristiques intrinsèques et authentiques de la vie rurale qu’il faut valoriser », explique le rapporteur de cette proposition de loi signée par 70 députés.

     

    Cela permettrait également selon Pierre Morel-A-L’Huissier de lutter contre l’inflation des contentieux juridiques « portés par les personnes qui s’installent à la campagne sans en accepter les caractéristiques intrinsèques.» Lors de la discussion sur ce projet de loi, la députée LR du Doubs Annie Genevard a estimé que « cette situation mettait également et malheureusement en exergue l’égoïsme irresponsable de ceux qui veulent vivre à la campagne sans respecter ceux qui y étaient avant eux. » Cocorico !

     

    Frédéric Paya (extrait de V.A)

     

     


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    La sortie le 15 janvier dernier du livre : « Des profondeurs de nos cœurs, aux éditions Fayard » de Monseigneur Sarah coécrit avec le pape émérite Benoît XVI, a fait grand bruit, l'église est à nouveau en pleine confusion et « si les cathos dit de progrès » y trouvent leur compte, les autres, seront comme moi, un peu perdus !

     

     

     

    « A force de tout voir, on finit par tout admettre ; à force de tout admettre ; on finit par tout approuver »

     

    Saint Augustin

     

     

     

    Un mariage pas ordinaire...

     

     

     

    J'ai lu un article qui va tout à fait dans le sens de ce que je pense profondément sur : « le mariage des prêtres de l'église catholique », car leur célibat pose des problèmes à ce monde obsédé par le « sexe », et pourtant à part les homosexuels qui veulent à tout prix se marier, le mariage est un acte qui n'est plus très couru de nos jours, mais pourtant... on veut à tout prix « marier les prêtres », les nôtres.

     

    Mais au fait, qui veut les marier ?

     

    Un peu tout le monde, mais surtout les athées, ceux qui ne croient à rien, j'en ai eu l'exemple il n'y a pas très longtemps au cours d'une conversation, j'ai demandé à la personne qui prônait ledit mariage : « ce que ce mariage lui rapporterait à elle qui n'a jamais mis les pieds dans une église et qui ne croit ni à Dieu ni à diable ?» Parce que m'a-t-elle répondu, sottement : «C'est une chose normale et que c'est trop dur pour les hommes de rester chastes durant toute une vie ». Les hommes seraient-ils des animaux sans conscience et sans volonté ? Je sais on va sans doute me parler des prêtres pédophiles ! Mais ceux-là s'ils s'étaient mariés n'auraient-ils pas été tout autant pédophiles, et peut-être même avec leurs propres enfants ? Allez savoir !

     

    Et puis on a monté en épingle les cas de pédophilie dans l'église catholique, parce qu'en ce moment, on veut éradiquer cette religion, au profit d'une autre religion, mais chez ceux-là, n'y-a-t-il pas aussi des cas similaires, dont on ne parle jamais, pour ne pas les «traumatiser», alors que les catholiques sont pris sous un feu roulant qui ne s'arrête jamais !

     

    Je connais beaucoup de saints hommes parmi nos prêtres et chez les fidèles, de ma connaissance, personne ne souhaite ce mariage-là ! Comment pourrions-nous aller nous confesser de nos fautes à un homme comme les autres, un homme « lambda » (pour reprendre l'expression courante du politiquement correct), qui aura peut-être narrer à sa femme sur l'oreiller, que Monsieur Untel ou Madame Unetelle qu'il a entendu à confesse, ont fait des choses sacrément moches, dont il ne les aurait pas cru capables ? Le sacrement de pénitence serait nulle et non avenu en cas de ce mariage-là !

     

    Et après le mariage, ne voudront-ils pas aussi le divorce ? Car aujourd'hui on veut : le beurre, l'argent du beurre et... aussi la crémière !

     

    Jésus Lui-même est pris à parti, comme on ne Le considère pas comme Dieu, mais comme un homme parmi d'autres, on lui prête allègrement : femme, maîtresse et enfants... (l'écrivain Dan Brown par exemple le marie à Marie-Madeleine, et plus tard sa fille Sarah va à la recherche de son ancêtre Jésus), c'est du grand délire, mais çà marche !

     

    Seule Jeanne d'Arc échappe au sexe, on l'appelle encore pour le moment : «La Pucelle d'Orléans» !

     

    Livia

     

    Je vous offre ci-dessous un extrait de cet article :

     

     

    Un mariage pas comme les autres...

    Ceci est mon Corps...

     

    Pourraient-ils prononcer encore cette phrase-là sereinement en ne pensant qu'à Dieu, si leur femme est en train d'accoucher, ou si un de leurs enfants est gravement malade ? Non ! Ils penseront à leur famille !

     

    (image internet)

     

    Pour accompagner cette image, écoutez le sublime Pie Jesus d'Andrew Llyod Weber chanté par Anna Netrebko, clic sur le lien ci-dessous :

     

    https://www.youtube.com/watch?v=S40hFYpcR5k

     

     

     

     

     

    « Le célibat, imposé aux prêtres dans l'église latine n'est pas une question d'efficacité et de disponibilité, même si ces aspects ont aussi leur importance. Le célibat, c'est pour le prêtre le signe de la mise en œuvre à la fois de la radicalité de son engagement au service du Christ et aussi des hommes. C'est la consécration, l'offrande ultime, à Dieu et aux hommes, de son affectivité dans une incorporation au Christ, que le prêtre est appelé à suivre et imiter jusqu'au sacrifice de soi, jusqu'au plus total oubli de ses passions immolés au service du prochain. Pour l'imitation de Jésus, le prêtre renonce au mariage comme à la fécondité physique et ne veut connaître que l'union mystique et la paternité spirituelle. Si la forme radicale de chasteté que la vocation sacerdotale implique est au-delà de ce qui semble naturel à un homme, c'est le signe que le prêtre n'est pas un homme qui compte sur ces propres forces pour atteindre un but humain qu'il s'est fixé, mais bien un envoyé de Dieu, qui répond avec confiance à l'appel de Celui-ci et sait en retour qu'il peut compter sur sa grâce, pour qu'il soi lui-même fidèle, pour aller au-delà de ses propres forces afin de collaborer à l'œuvre de Dieu. C'est, en définitive, le signe et la marque du caractère proprement surnaturel de la mission. Or c'est justement ce caractère surnaturel qui est odieux à tous ceux qui ne supportent pas la prétention de l'Eglise catholique à la transcendance et voudraient en faire une ONG parmi d'autres.... Un homme marié... Tout sauf quelqu'un qui nous rappelle que notre véritable destinée n'est pas de ce monde, que nous sommes appelés à un Amour infini, infiniment plus grand, infiniment plus riche, infiniment plus beau que cet amour humain qui n'en est que le reflet. »

     

    Laurent Dandrieu (extrait de V.A.)

     

     


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    Tous les jours pratiquement des chrétiens sont tués dans le monde, des églises incendiées, des croix démembrées, des cimetières profanés dans un silence tonitruant de la part des politiques et des médias. C’est ce qu’indique le rapport «persécutés et oubliés» publié par l’AED le 26 novembre. S’appuyant sur des centaines de témoignages recueillis sur le terrain, le rapport décrit la détresse des communautés chrétiennes les plus opprimées au monde en raison de leur foi, sur les deux dernières années (juillet 2017-juillet 2019).

    Le cardinal Joseph Coutts, archevêque de Karachi, au Pakistan, écrit dans l’introduction du rapport:

     

    «C’est un fait bien établi que la religion la plus persécutée au monde est aujourd’hui le christianisme, même si beaucoup de gens n’en sont pas conscients».

    Persécutions...

     
    Il gît, jeté et écartelé, dans la poussière
    (image internet)

     

    Extrait de La Confession d'un enfant du siècle

    « Eh bien ! Qu'il soit permis d'en baiser la poussière

    Au moins crédule enfant de ce siècle sans foi

    Et de pleurer, Ô Christ ! Sur cette froide terre

    Qui vivait de ta mort et qui mourra sans toi ! »

     

    « Et que nous reste-t-il, à nous, les déicides ?

    Pour qui travaillez-vous, démolisseurs stupides ?

    Lorsque vous disséquiez le Christ sur son autel ?

     

    Vous vouliez pétrir l'homme à votre fantaisie ;

    Vous vouliez faire un monde. Eh bien, vous l'avez fait.

    Votre monde est superbe, et votre homme est parfait !

    Les monts sont nivelés, la plaine est éclaircie ;

    Vous avez sagement taillé l'arbre de la vie ;

    Tout est bien balayé sur vos chemins de fer ;

    Tout est grand, tout est beau, mais on meurt dans votre air. »

    Alfred de Musset

     

     


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