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    Il paraît que les jésuites dans leurs cloîtres racontent des blagues dont ils revendiquent la paternité !

     

    J'en ai relevé quelques unes qui m'ont fait sourire...

     

     

     

    Le cloître de l'abbaye du Mont-Saint-Michel

     

    (photo de ma petite fille)

     

     

     

    Automobile contre coupe de cheveux

     

    « Un jeune garçon demande au curé de sa paroisse, un jésuite, s’il peut lui prêter sa voiture. Le jésuite répond : “Je ne te la donnerai pas tant que tu n’auras pas coupé tes cheveux !”. “Mais mon père — lui répond le jeune garçon — Jésus, lui aussi, avait les cheveux longs…”. Et le jésuite : « En effet, il était toujours à pieds…».

     

     

     

    L'origine d'Adam et Eve

     

    « Un Anglais, un Français et un Russe, tous les trois jésuites, sont en admiration devant un tableau représentant Adam et Eve au paradis. L’Anglais dit : “Regardez leur calme, ils sont imperturbables, ça devait être des anglais…”. “Mais non, lui dit le Français, regardez leur beauté, leur nudité, c’était certainement des français !”. “Désolé, dit alors le Russe, ils étaient sans habits et sans logement, n’avaient qu’une pomme à manger et on leur a dit qu’ils étaient au paradis… c’étaient certainement des Russes !».

     

     

     

    Le vaniteux

     

    Un jésuite un peu vaniteux souffre de troubles cardiaques et doit se faire opérer. Sur la table d’opération il demande à Dieu : “Seigneur vous pensez que je m’en sortirai ou ma fin est-elle proche ?”. Dieu lui dit : “Non… tu vivras encore, au moins 40 ans !”. Guéri, le jésuite décide alors de se faire une petite greffe de cheveux, un lifting du visage et de se refaire les dents, le menton etc. Bref, il sort transformé, un autre homme. Mais dès sa sortie de l’hôpital, une voiture le renverse et il meurt… Quand il se présente devant Dieu, il Lui demande : “Seigneur vous m’aviez dit que j’aurai vécu encore 40 ans ! Et Dieu dit : « Oups, pardon, je ne t’avais pas reconnu…».

     

     

     

    Le dîner officiel

     

    Un jésuite et un rabbin sont assis à côté l’un de l’autre lors d’un dîner officiel. Alors qu’ils discutent ensemble, un superbe rôti de porc arrive sur la table. Le Jésuite dit au rabbin : “Goûtez, il est vraiment délicieux”. Le rabbin : “Je ne peux pas manger de viande de porc, ma religion me l’interdit”. Le Jésuite dit alors au rabbin : “Vous ne savez pas ce que vous perdez…”. Le dîner se poursuit et les convives se lèvent. En saluant le Jésuite, le rabbin dit : « Au revoir, et mes hommages à votre épouse ! ». Le Jésuite : « Mais je ne suis pas marié, ma religion ne me le permet pas ». Et le rabbin : « Vous ne savez pas ce que vous perdez… ».

     

     

     

     

     

    Les fumeurs

     

    « Un jésuite et un dominicain provenant de deux curies différentes se rencontrent dans le même couvent pour une retraite spirituelle. Tous deux sont deux gros fumeurs. Ils ne se connaissent pas. Le premier jour, en passant sous le cloître, bréviaire à la main, le dominicain voit le jésuite tirer sur sa cigarette pendant qu’il lit. Lui aussi prie et lit mais de l’autre côté du cloître. Le dominicain, qui s’était vu interdit de fumer par le prieur, se demande pourquoi le jésuite, lui, fume si tranquillement. Le deuxième jour, très nerveux et en manque de nicotine, le dominicain accélère le pas pour rejoindre le Jésuite. Il aspire à pleins poumons la fumée qui s’échappe de la cigarette du Jésuite et lui demande:

     

    Mais le prieur, t’a autorisé à fumer ?”
    Et le jésuite : “Bien sûr !”.
    Le dominicain: “Et alors pourquoi pas moi ?”
    le Jésuite : “Mais toi, que lui as-tu demandé ?”
    Le dominicain : “Et bien, je lui ai demandé si, pendant la prière je pouvais fumer… et il m’a dit non !!!”
    Et le jésuite : “C’est là l’erreur, en effet moi je lui ai demandé si pendant que je fumais je pouvais aussi prier…»

     

     

     

    Mort subite

     

    « Un dominicain, un salésien, un bénédictin, et un jésuite meurent dans une catastrophe aérienne. Lorsqu’ils se présenter au paradis, saint Pierre leur dit : “Chers pères, pardonnez-moi, mais vos chambres ne sont pas encore prêtes, je dois vous installer ailleurs temporairement”. Il a beau chercher, il ne trouve rien. Alors, il appelle Lucifer et lui demande s’il a encore des places. Lucifer est réticent mais il finit par accepter de les loger quelques temps. Or, le lendemain, Lucifer téléphone à Pierre et dit : “Pierre, on a le dominicain qui a commencé à prêcher et s’est mis à convertir les damnés, le Salésien qui leur apprend un métier et le bénédictin qui est en train d’organiser la schola cantorum. Tu dois venir tout de suite les reprendre, parce qu’ils troublent l’ordre de l’enfer !”. “Et le Jésuite ?”, demande Pierre. “Ah celui-là, répond Lucifer, il s’est mis à récolter des fonds et veut maintenant construire une piscine et installer la climatisation…».

     

     

     


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    Pour sourire, quelques pensées de ce grand humoriste qu'était Alphonse Allais.

     

     

     

    Alphonse Allais

     

     

     

     

    «La vie est un pont morne, morne pont qui réunit deux néants, celui d'avant, celui d'après. Or que faire sur un pont, à moins que l'on y danse tous en rond, ainsi que cela se pratique notoirement sur le pont d'Avignon ? »

     

     

     

     

     

    « Il est toujours avantageux de porter un titre nobiliaire. Etre de quelque chose, çà pose un homme, comme être de garenne, çà pose un lapin. »

     

     

     

     

     

    «Dieu a sagement agi en plaçant la naissance avant la mort, sans cela, que saurait-on de la vie ? »

     

     

     

     

     

    «Quoi de plus inhumain, qu'un sacrifice humain ? »

     

     

     

     

     

    «La misère a cela de bon qu'elle supprime la crainte des voleurs. »

     

     

     

     

     

     

     

    «Le rire est à l'homme, ce que la bière est à la pression. »

     

     

     

     

     

    « Dans la vie, il ne faut compter que sur soi-même, et encore pas beaucoup. »

     

     

     


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    Pour penser à autre chose qu'aux bla-bla des journaleux sur le temps – chaleur – pluie – orage – et surtout ne plus penser à ce morne paysage politique, que les dernières élections tonitruantes ont laissé en vrac...

     

    Je vous offre un petit sourire.

     

     

    Le clown

    Auguste Renoir





    « Cinéma : lieu dangereux en raison des risques de projection de navets. »
    Marc Escayrol





    Diplomatie : milieu où l’on trouve énormément de planqués, sur leur diplôme assis.
    Marc Escayrol



    Gardons nous de donner la parole aux cons, ils ne veulent jamais la rendre.

    Anonyme

     

    On est gouverné par des lascar qui fixent le prix de la betterave et ne seraient pas foutus de faire pousser un radis !

    Anonyme

     

    « Quand on n'a pas d'enfants, on est jaloux de ceux qui en ont et quand on en a, ils vous font devenir chèvre !

    La Sainte Vierge, peuchère, elle n'en a eu qu'un et regarder un peu les ennuis qu'il lui a faits. »

    Marcel Pagnol



    « Faire parler un homme politique sur ses projets et son programme, c'est comme demander à un garçon de restaurant si le menu est bon. »

    Jean Dutour



    « A force d'être dans le vent, on finit par attraper des rhumes. »

    Jean Dutour

     

     


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    Je vous invite à poursuivre la découverte des bons mots de Jules Renard :

     

     

    Pierre-Jules Renard (1900)

     

     

     

     

     

    Pour arriver, il faut mettre de l'eau dans son vin, jusqu'à ce qu'il l'y ait plus de vin. (on voit cela tous les jours en politique)

     

     

     

    Rêve de grandes choses, cela te permettra d'en faire au moins de toutes petites.

     

     

     

    Pour détruire les mouches, se mettre tout nu et s'enduire de glu liquide, mélangée d'un peu de miel ou saupoudrée de sucre, et se promener dans sa chambre. Les mouches attirées viennent se coller sur votre peau. Vous les prenez comme vous voulez. Le procédé manque d'élégance, mais il est infaillible. (C'est une recette que je n'ai pas envie d'essayer)

     

     

     

    Le soleil ne s'est pas levé aujourd'hui. Il a sucé un peu de neige et s'est recouché, bien affaibli.

     


     

    Le travail pense, la paresse songe.

     

     

     

    Quand on n'a plus à compter sur rien, il faut compter sur tout.

     

     


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    Pour passer le temps confiné agréablement et en bonne compagnie, j'ai rouvert le livre avec les pensées de Jules Renard, réalisé un peu comme les dictionnaires amoureux, d'aujourd'hui, les pensées sont classées par lettre alphabétiques de A à Z. Ce livre m'a fait passer de bon moment avec ce grand écrivain humoriste.

     

    Je vous invite à faire un petit tour chez Jules Renard qui nous propose avec beaucoup de poésie et d'humour, de sages conseils...

     

    Livia

     

    Les bons mots de Jules Renard...

    Les bons mots de Jules Renard...

     

    Pierre-Jules Renard

     

     

    C'est un moraliste aux réflexions percutantes. Un portraitiste aux traits acérés. Un peintre de la nature aux touches impressionnistes, un ami des bêtes dont il a bien su restituer toutes les facettes, sans oublier l'humoriste aux comparaisons cocasses. Ces 42 citations tirées de son œuvre reflètent ici l'éclectisme d'inspiration et la parfaite maîtrise de style d'un écrivain parmi les plus grands.

     

    « Qu'il te suffise, disait-il à sa femme, qu'en réalité je te sois fidèle ; mais permets-moi au moins les apparences d'un mari qui trompe sa femme. »

     

     

     

    « La marguerite, belle dame en robe blanche à longs plis, avec un petit canotier doré sur la tête. »

     

     

     

     

     

    « Le véritable courage consiste à être courageux précisément quand on ne l'est pas ».

     


    « Un pédant est un homme qui digère mal intellectuellement ».

     

     

     

    S'évanouir, c'est se noyer à l'air libre ; se noyer, c'est s'évanouir dans l'eau.

     

     

     

    Venise, oui, je sais. Le soir, c'est presque aussi bien illuminé que la gare de Lyon.

     

    La pluie pose à terre des miroirs à étoiles.

     

     

     

    Vous pleurez, madame ? Ah ! prenez garde à votre peinture !

     

     

     

    Maintenant, il faut lire entre les lignes du téléphone.

     

    (S'il revenait aujourd'hui il aurait été complètement effaré de voir tous ces gens qui vivent avec des portables collés à leurs oreilles)

     

     

     


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