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    Pendant longtemps chez certains de mes hôtes, on m'a servi le foie gras accompagné de Sauternes, chez d'autres c'était le Porto qui était privilégié.

     

    J'arrivais de ma Guadeloupe natale et n'y connaissais pas grand chose en foie gras, j'ai suivi le mouvement et j'ai bu du Sauternes ou du Porto ici et là pour accompagner ce merveilleux foie gras.

     

    Et puis peu à peu, mes goûts se sont affirmés en ce qui concerne le foie gras et j'ai décidé de mettre le Sauternes et surtout le Porto de côté pour le déguster accompagné de champagne, c'est ce que je fais depuis pas mal d'années, je vais récidiver cette année encore.

     

    J'ai décidé aussi, (bien avant de lire cet article) de mettre de côté le pain d'épices et la brioche et de déguster le foie gras sur des toast de pain grillé.

     

    Et l'article ci-dessous me prouve que j'avais raison de suivre mes goûts

     

    Car comme disait ma grand-mère : « En amour comme en ragoût, les goûts et les couleurs, ne se discutent pas. » !

     

    Livia

     

    Foie gras, Sauternes, est-ce un mariage si heureux ?

     

     

    Prêt pour la dégustation...

     

    (image internet)

     

    Pourquoi sert-on généralement du foie gras avec des vins blancs sucrés ?

     

    C'est une question qui mérite d'être posée : pourquoi servir un vin aussi sucré que le Sauternes sur un mets aussi gras et sucré que le foie gras ?

     

    Tout simplement parce que pendant longtemps le foie gras était servi en entremets en fin de repas. Le repas commençait avec un vin blanc léger, se poursuivait avec un plus corsé, puis un vin rouge léger, rouge charpenté, vin moelleux et un liquoreux.
    On sert en effet généralement le vin léger avant le vin charpenté, le vin blanc sec avant le moelleux ou liquoreux.

     

    C'est pour cela qu'on a pris l'habitude de servir un vin moelleux ou liquoreux, comme le Sauternes, avec le foie gras. L'évolution du repas prévalait alors sur l'accord mets-vins. Sans compter la touche d'élégance, car servir un Sauternes sur un foie gras, c'était le feu d'artifice final de votre repas !

     

    Pourquoi ce n'est pas une si bonne idée ?

     

    Le problème c'est qu'il est devenu rarissime de servir le foie gras en fin de repas. En 2020 on déguste le foie gras à l'apéro ou en entrée. Attaquer le Sauternes dès l'entrée ? Une hérésie. Vos papilles gustatives seront tellement saturées de sucre que vous ne sentirez plus aucun goût de la suite du repas, et ne profiterez d'aucun des vins servis par la suite.

     

    D'autre part cet accord de gras et de sucre est un véritable coupe-faim, et la force de ce vin peut vous empêcher de savourer votre foie gras. Ajoutez à cela un pain d'épices pour accompagner votre foie gras ainsi qu'un confit de figues et vous remportez le bingo du sucré !

     

    Quel vin servir avec le foie gras ?

     

    Il n'en reste pas moins que les vins doux s'accordent très bien avec le foie gras. Si vous servez celui-ci en début de repas, partez sur un vin sec et fruité comme un Pinot Gris. Si vous le proposez en toast, accompagnez-le d'un grand vin de Bourgogne comme un Meursault ou un Pouilly Fuissé. Certains vins blancs d'Alsace ou de Loire seront aussi parfaits : un Sancerre fera des merveilles.

     

    Vous pouvez aussi sans sourciller servir le foie gras avec des bulles car certains champagnes font des merveilles. Un magnifique blanc de blanc bien frais viendra casser le gras du foie et pourra réveiller un peu vos papilles. Assurez-vous de choisir un champagne brut, toujours pour éviter le côté trop sucré.

     

    Vous préférez le vin rouge ? Vous pouvez tout à fait en trouver qui mettront parfaitement en valeur le foie gras, mais pour cela respectez ce principe : choisissez le vin tanique, mais pas trop ! Les tanins sont essentiels pour "digérer" le gras, mais un vin trop tanique risque d'étouffer le tout. Orientez-vous par exemple vers un Cabernet ou un Pomerol.

     

    Fan de l'accord foie gras -Sauternes ?

     

    Vous avez lu cet article et vous ne pouvez vous empêcher de penser que, tout de même, vous aimez votre foie gras avec un petit verre de Sauternes ? On ne vous jette pas la pierre, personne n'est parfait !

     

    Dans ce cas, une seule solution : faire un repas au foie gras. N'oubliez pas cependant de boire beaucoup d'eau pour laisser vos papilles gustatives respirer un peu...

     

     


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    Dans la revue « Patrimoine » de Stéphane Berne, je viens de lire une nouvelle qui m'afflige énormément.

     

    Il s'agit de la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Pointe-à-Pitre, qui a été complètement laissée à l'abandon par les communistes qui gèrent la ville depuis de nombreuses années et qui menace ruine aujourd'hui.

     

    C'est dans cette cathédrale que mes parents se sont mariés, j'y ai été baptisée, et je m'y suis mariée à mon tour, je n'y retournerai sûrement pas pour mon dernier voyage, ma paroisse de Nantes s'en chargera.

     

     

    Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul...

    Avec une capacité de 3000 fidèles (Dans ma jeunesse elle était toujours pleine, beaucoup de personne restaient debout au fond et sur le parvis devant la porte...) c'est le plus vaste édifice religieux de Pointe-à-Pitre.

     

     

    Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul...

    A l'intérieur, la hauteur de la nef est impressionnante

     (Dans ma jeunesse il y avait de superbes vitraux au-dessus de l'autel qui semblent avoir disparus aujourd'hui)

     

     

     

     

     

     

    Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul...

    Des colonnes majestueuses aux chapiteaux néogothiques.

     

     

    Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul...

    Du XIXe siècle demeure un autel en marbre de carrare classé au même titre que le monument qui l'abrite

     

    Elle fut construite en 1807, la cathédrale a réussi à survivre aux multiples catastrophes naturelles qui ont ravagé les Antilles à plusieurs reprises.

     

    Le tremblement de terre qui fit près de 3000 morts en 1843, n'épargnera pas l'édifice. Partiellement détruite, la cathédrale bénéficia d'un ambitieux projet élaboré par l'architecte Alexandre Petit. Ce dernier préconisa l'emploi de fer afin d'assurer sa stabilité. Le projet ne sera réalisé qu'en partie, si bien qu'elle s'effondra en 1867.

     

    L'architecte Charles Trouillé, proposa alors de remplacer la maçonnerie des voûtes de la nef par une charpente métallique plus résistante pour la mettre à l'abri des séismes. La réalisation fut alors confié à Gustave Eiffel.

     

    Le 5 avril 2021, l'église est retenue dans la liste des sites emblématiques de l'édition annuelle du Loto du patrimoine pour bénéficier de financements de restauration, qui concernera prioritairement la toiture.

     

     

    Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul...

    Le clocher veille toujours sur la ville en égrenant les heures qui passent...

     

     

     

     

     


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    Le pélican du clocher de la cathédrale de Bourges

     

    (image wikipédia)

     

     

     

    Le coq trône fièrement au sommet des flèches de (très nombreuses) églises de France. Le coq est assurément l’animal phare de nos sanctuaires. Symbole solaire qui annonce le lever du soleil, le coq rappelle naturellement la Résurrection du Christ, ce passage de l’ombre à la lumière. Et pourtant, à Bourges, la cathédrale a décidé de déroger à la règle en apposant non pas un coq mais un pélican au sommet de sa tour nord !

     

    S'il n'est pas rare de voir des coqs au sommet des clochers des églises, la cathédrale de Bourges est sans doute la seule à être surmontée d'un pélican. Une statue en bronze représentant l'oiseau est placée en haut de la tour nord.

     

    Le pélican, un symbole chrétien mal connu

     

    Si ce choix peut paraître étonnant à première vue, le pélican est pourtant un animal doté d'une forte symbolique chrétienne ce qui explique, naturellement, sa présence sur un sanctuaire. Évoqué dans les Psaumes, la véritable renommée du pélican prend naissance à partir d’une légende insérée dans le Physiologus*, le premier des bestiaires chrétiens. Cette source rapporte que les petits du pélican, réclamant trop violemment leur nourriture à leurs parents, furent tués d’un violent coup de bec. Trois jours après, pris de remords, les parents se déchirèrent la poitrine pour arroser de leur sang les petits corps inertes et ces derniers retrouvèrent alors la vie.

     

     

    Une page du physiologus de Berne

     

    (image wilipédia)

     

    *Le Physiologos en grec Pysiologus en latin est un bestiaire chrétien du IIe ou IVe siècle après J.-C. qui a eu une influence considérable au Moyen Âge.

     

     


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    J'ai beaucoup apprécié la présentation de la Bretagne dans le Figaro hors série sur la Bretagne dans lequel Michel de Jaegher donne la parole à de grands écrivains français qui la décrivent à la perfection.

     

    Livia

     

     

    La Bretagne...

    Chapelle et calvaire en Côte d'Armor

     

    (photo de mon fils)

     

     

     

    La Bretagne vue par les écrivains...

     

     

     

    Dans la Bretagne de Chateaubriand, c'est toujours l'automne ou le printemps. Il faut de la rousseur et des bruyères pour nourrir la mélancolie du vicomte, tandis que le bourgeonnement de la nature annonce de singuliers recommencements. Il faut de la tempête et du vent, du désespoir sous un ciel d'encre. Dans les couloirs et les escaliers sombres de Combourg, la jambe de bois d'un spectre ne fait pas moins d'effet que, sur le pont de l'hispaniola, la béquille de Long John Silver.

     

    La Bretagne de Renan a la couleur des tourterelles, avec ses chapelles en granit, ses calvaires tendus comme une prière vers le ciel, ses pardons où la piété d'un peuple lui fait ressortir des armoires ses costumes chamarrés, ses dentelles, ses bannières, ses binious, ses bombardes. Celle du Roi Arthur est pleine de mystères, de forêts et de sources, d'arbres creux, de diableries, de métamorphoses. On s'y retrouve sous la voûte d'ombre de Brocéliande devant des pierres levées depuis le commencement du monde.

     

    Il y a bien d'autres Bretagne encore.

     

    Celle de la mer et du vent. Des ostréiculteurs de Cancales et des langoustiers de Loctudy, des pêcheurs d'Islande et des terre neuvas.

     

    Celle des îles dispersées en chapelet dans le Golfe du Morbihan, celle de la Côte sauvage de Jean-René Huguenin, où les batteuses bourdonne dans l'air chaud tandis que les enfants s'ébattent sur la plage aux pieds de grandes villas aux volets blancs. Le charme a de quoi rendre ce pays inoubliable à qui peut y associer les couleurs de l'enfance. La magie de la Bretagne ne se résume pas à la richesse de ses monuments, à la douceur des paysages. Bien plutôt à la rugosité même d'un pays tendu comme une épée vers l'océan, à la beauté omniprésente d'une mer toujours en mouvement. A une dune balayée par le vent de galerne, où domine l'odeur d'iode ; un fracas de vagues et d'écumes sur des rochers géants ; le cri strident d'un cormoran perçant la brume ; un tapis de fleurs de bruyères, une maisonnette fouettée par les embruns, la silhouette d'un phare battu par un feu d'artifice de lames blanches ; quelques villages en pierres grises, ourlées par le lichens, aux toits d'ardoises sombres, où l'on tient la brume du matin pour la pitance du soleil, et les ressac de l'océan pour les chevaux de la mer. […]

     

    Miche de Jaeghere

     

     


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    Pour les balades de l'été, je vous offre «Les Jardins magnifiques», on y trouve des fleurs, mais aussi des légumes, des buissons taillés en boules, on se balade dans la nature – bien sûr c'est une nature civilisée par les jardiniers – mais ils sont d'une grande beauté et en s'y baladant on se rend compte, que contrairement aux dires des écolos, l'homme n'est pas toujours néfaste à la nature !

     

    Pensez à aller les visiter si vous passez dans le coin.

     

    Livia

     

     

    Les jardins magnifiques...

    (image internet)

     

    Des bosquets multicolores et un château rose. Pour ceux qui visitent le domaine de Trévarez, en centre Finistère, le dépaysement est assuré. Toute en briques, la bâtisse fut construite entre 1893 et 1907 par James Marie Antoine Monjaret de Kerjégu, diplomate français. Bombardé par l’aviation britannique en 1944, l’édifice connaît ensuite un lent déclin. À l’abandon, le domaine racheté par le Conseil général du Finistère revit petit à petit. Aujourd’hui, son parc mêle de multiples ambiances, entre ses camélias- à voir entre novembre et mars-, ses rhododendrons centenaires et ses azalées – d’avril à mai-, auxquels succèdent les têtes d'hortensias jusqu’en octobre. Prévoir de bonnes chaussures: le domaine fait 85 hectares!

     

    (Ouvert toute l'année)

     

     

    Les jardins magnifiques...

    (image internet)

     

    Fleurs et grosses légumes. En Essonne, dans la vallée de la Salmouille-, le château de Saint-Jean-de Beauregard s’épanouit entre forêt et champs. Toujours habité, ce château XVIIe a la particularité de présenter un jardin potager à la Française (clos de murs) de deux hectares. Composé de quatre carrés eux-mêmes subdivisés en quatre carrés, il mélange carrés de légumes et fleurs et s’orne en son centre d’un bassin rond qui rappelle l’importance symbolique de l’eau dans les jardins anciens. Les pourtours sont bordés de fruitiers (palissés à l'ancienne, en palmettes, cordeaux), de serres... Autre plaisir, celui d’une visite renouvelée de ce jardin labellisé jardin remarquable possible en toutes saisons. D’avril à novembre, les floraisons se succèdent. Au printemps, hellébores, bulbes et vergers fleuris succèdent à une période de creux (l’hiver). Viennent ensuite entre mai et juin les éclatantes clématites, iris, pivoines et roses. L’été voit la levée des annuelles et du jardin de simples tandis qu’octobre annonce les asters, les cardons ainsi que les fruits. Et les mordus de jardins peuvent aussi profiter des deux Fêtes des Plantes (28- 30 mai 2021 et 24-26 septembre 2021, sur le thème des plantes à longue floraison) pour découvrir des productions rares ou oubliées comme les petits pois carrés et les pommes de terre corne de gatte ou vitelotte !

     

    (Ouvert le dimanche et jours fériés)

     

     

    Les jardins magnifiques...

    Les jardins de Marqueyssac

     

    (Photo de mon fils lors de nos vacances en Dordogne)

     

    Comme un air d'Italie, à deux pas de Sarlat, en plein Périgord. Une ambiance surprenante vous attend sur les hauteurs: les jardins du domaine du château de Marqueyssac. Leur particularité: des milliers de buis centenaires taillés à la main, tout en rondeur ou aériens! Une folie arboricole que l'on doit à Julien de Cerval, passionné d'Italie, où il découvre vers 1850 l'art des jardins. Ni une ni deux, il entreprend d'installer dès 1861 des cyclamens de Naples, des pins parasols, des cyprès, des buis... Remis en état par Kléber Roussillon dans les années 1997, le parc de 22 hectares est désormais un des joyaux de la vallée de la Dordogne. Points de vue renversants sur la vallée de la Dordogne et les villages, courbes délicates ou déliées, petites allées sinueuses, labyrinthe, 6 km de promenade ponctuée par les cris des paons vous attendent!

     

    (Ouvert toute l'année)

     

     

    Les jardins magnifiques...

    Les jardins du château de Villandry

     

    (image internet)

     

    Un décor à ciel ouvert, à la française. Édifié pour Jean le Breton, le ministre des Finances de François 1er, le château Renaissance de Villandry doit une fière chandelle à un couple de passionnés américano-espagnol, Joachim Carvallo et son épouse Ann Coleman, richissime fille d'un géant de la sidérurgie. Au début du XXe, ils rasent l'ancien jardin anglais et commencent à le réorganiser en différents jardins, dans l'esprit Renaissance. Nous sommes en 1906. Aujourd'hui, ce sont ces fabuleux jardins qui font le succès de la visite. Divisés en quatre parties, ils déclinent le principe esthétique de Joachim Carvallo: "Un vrai jardinier doit avoir les yeux d'un peintre et d'un décorateur. Il ne suffit pas de cultiver des légumes avec soin. On a le devoir de les ordonner selon les couleurs et de les encadrer de fleurs". Le potager décoratif décline en tout point ce propos: ici le bleu du poireau répond au rouge de la betterave, et au vert des fanes de carottes, le tout délicatement ourlé de buis. Autres plaisirs visuels: le labyrinthe, les jardins des simples, d’Eau et d’Ornement -divisé en chambres de verdure dédiées à l'amour. Autant de merveilles à admirer en prenant de la hauteur et en grimpant sur le belvédère ou des fenêtres du château. La vue est à couper le souffle.

     

    (Ouvert à partir du 1er mai)

     

     

    Les jardins magnifiques...

    Les jardins du château de Chenonceau

     

    (image internet)

     

    L'écrivain Gustave Flaubert décrivait Chenonceau comme un lieu "paisible et doux, élégant et robuste. Son calme n’a rien d’ennuyeux et sa mélancolie n’a pas d’amertume". Tout n'est en effet que quiétude à Chenonceau. Ses arches enjambant le lit du Cher et ses tourelles font de ce blanc château d'Indre-et-Loire un de plus beaux de la région. Édifié par Thomas Bohier et sa femme Katherine Briçonnet en 1513, amélioré par Diane de Poitiers, agrandi sous Catherine de Médicis qui ajoute les fameuses arches, le "château des Dames" appartient désormais à la famille Meunier (créatrice du chocolat en plaquette).

     

    Si d'étourdissantes compositions florales créées par l'atelier floral et son meilleur ouvrier de France Jean François Boucher trônent dans chacune des pièces de la demeure historique, les jardins ravissent tous les sens. Leur harmonie repose le promeneur, de la longue allée de platanes à la rigueur des jardins à la française de Catherine de Médicis ou de Diane. Ne manquez pas le labyrinthe d'ifs et le potager fleuri aux 400 rosiers. Le parc du château s'inscrit aussi dans le présent grâce au jardin Russell Page (1906-1985), du nom du grand paysagiste britannique. Élaboré en 2018 par le directeur botanique Nicholas Tomlan à partir des dessins conçus dans les années 1950, ce jardin clos accueille petits et grands visiteurs qui auront la surprise d'y voir quelques moutons de François-Xavier Lalanne. (Je trouve ces faux moutons dérangeants, ils n'apporte rien au jardin Livia)

     

    (Ouverture à vérifier pour le moment, à cause de la pandémie)

     

     

     

     

     

     


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