• Patrimoine

     
     
     
     
     
     
    LE THEATRE GRASLIN  DE NANTES
     
     
     
     
     
     
    280px-Mathurin Crucy - BustBuste de Mathurin CRUCHY, par Jean de BAY fils.
     
     
     
     
     
    Le 23 mars  1788, Mathurin CRUCY, l’architecte du théâtre Graslin, réalise la place et l’édifice comme une mise en abyme, sans aucun obstacle. Ce bâtiment est inscrit à l’inventaire des monuments historiques depuis le 08 décembre 1998.
     
    Ravagé par un incendie en 1796, il est reconstruit à partir de 1811, à la suite de la visite de l’empereur Napoléon 1er, à nouveau par l'architecte CRUCY, (il eut la chance d’échapper à la « veuve noire » la guillotine) en collaboration avec le sculpteur Dominique Molknecht, et inauguré à nouveau en 1813
     
    Dès 1868, il est soumis à la concurrence du nouveau théâtre de la Renaissance possédant une capacité de plus de 3 000 places. Cette rivalité dure jusqu'en 1875, date à laquelle ce dernier sera racheté par la ville. Les deux théâtres désormais administrés par le même directeur, deviendront complémentaires. La salle de la Renaissance prendra même le relais lors de travaux de réfection à Graslin durant la saison 1870-1880 sous la direction de Jourdan-Blondel. Le théâtre de la Renaissance disparaîtra lors d'un incendie en 1912. []
     
     
     
     
     
     
     
    L’INTERIEUR DU THEATRE
     
     
     
     
     
     
    800px-Nantes - Graslin int 07Salle du théâtre à l'italienne
     
     
     
     
     
    600px-Nantes - Graslin int 11Médaillon du plafond.
     
     
     
     
     
    800px-Nantes - Graslin int 01Le dieu grec Momos : peinture du plafond (détail) par Hippolyte BERTEAUX
     
     
     
     
     
    120px-Nantes - Graslin int 04Oreste tourmenté par les furies, peintur du plafond (détail)
    Peinture par Hippolyte Berteaux
     
     
     
     
    800px-Nantes - Graslin int 06Détail de la décoration du deuxième balcon.
     
     
     
     
     
     
     
    612px-Nantes - Graslin int 02Vue de la scène depuis la salle.
     
     
     
     
     
     
     
    L’EXTERIEUR
     
    Douze marches mènent au vestibule, tandis que huit colonnes corinthiennes supportent le fronton.
    Les huit statues de style antique surplombant chaque colonne et représentant huit des neuf muses datent de l’époque de la reconstruction. Stendhal, visiblement peu conquis par l’harmonie de l’ensemble architectural se demande facétieusement « laquelle eut le bonheur d’être oubliée »…
     
     
     
     
     
    220px-Nantes 2008 PD 36Façade du théâtre Graslin
     
     
     

     

     

    numérisation0001Les huit Muses au-dessus de la façade, ces statues sont l’œuvre de Dominique Molknecht

     

     

     

     

     

    numérisation0003Le plafond du vestibule.

     

     

    

    Textes et images : source Wikipédia

     

    Ce théâtre est une splendeur !

    Malheureusement je n’ai pu le photographier, car il est en restauration et entouré d’échafaudages.

    Nantes regorge de beaux monuments, la prochaine fois je vous en ferais découvrir d’autres, qui ne sont pas encore entourés d’échafaudages !

    liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     


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