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Par Liviaaugustae le 25 Juillet 2013 à 10:13
FINI LES REGIMES
C’est « la coach » de la grande « icône » médiatique qui nous le conseille…
C’est en l’écoutant qu’Angélina garde la ligne !
ALORS QU’ATTENDONS-NOUS POUR EN FAIRE AUTANT ?
La soupe est un excellent moyen de se caler avant de passer à la suite du repas.
Je conseille également de consommer une pomme 20 minutes avant le début du repas afin que sa pectine agisse comme un coupe-faim naturel tout en faisant le plein de vitamines.
Je préfère également conseiller des gaspachos qui sont des soupes froides et non-cuites, afin que la cuisson n'altère pas la teneur en antioxydants et vitamines de votre bol.Et après avoir bu notre soupe, mangé notre pomme (tient encore des pommes), nous pourrons nous régaler de ces délicieuses pâtisseries, et mangé du chocolat tout notre saoul, et nous resterons minces comme …Angélina !
C’est en me promenant sur le net que j’ai découvert le secret de : superwoman !
Miam ! Ce n’est pas génial çà ?
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Par Liviaaugustae le 25 Mars 2013 à 00:08
La mer caraïbe en robe de sirène…
FAMILLE, JE T'AIME…
Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs : il y a papa, maman, et toute ma fratrie, une grande fratrie, une entité, qui pour toutes les fêtes : mariages, naissances, baptêmes, Noëls, et anniversaires, se réunissait.
Les tables à tréteaux, étaient démesurément longues, parées de nappes brodées, ornées souvent d’hibiscus, que nous allions cueillir dans les haies autour de la maison, la vaisselle étincelait parfois sous les doigts d’un rayon de soleil curieux.
Sur ces joyeuses réunions, flottaient les senteurs de la campagne, une odeur sucrée de mangues mûres, ou de tartes aux fruits de la passion (appelés chez nous « pomme calebasse »), fragrances voluptueuses, décuplées encore par la chaleur ambiante.
Parfois, délaissant la campagne, nous nous transportions sur les plages de sable chauffées à blanc par le soleil tropical, nous emportions tables et chaises, afin de déguster confortablement, sous les ombrages des catalpas ou des (raisiniers-bord-de-mer) le colombo, que nous faisions réchauffer sur des feux de bois secs, dont l’odeur un peu iodée, se mêlait aux arômes de la viande qui mijotait, surveillée de près par nos cuistos attitrés, pendant que nous nagions dans une mer émeraude, devenant indigo tandis que nous nous éloignions du rivage.
Les liens entre nous étaient tissés serrés, liens de sang, liens complices, mais surtout liens d’amour, liens couleur azur, qui ont tenus à l’épreuve du temps.
La famille était ce refuge sûr où nous apprenions : le partage, la politesse ainsi que la morale. Entourés, encoconnés, nous vivions heureux, et pourtant, chez nous l’argent ne coulait pas à flot, nous en avions pour vivre, cela suffisait, l’amour faisant le reste…
Nous avons toujours nos codes, des mots qui nous appartiennent en propre, et qu’une personne non initiée ne peut guère comprendre, encore moins goûter, des histoires d’ancêtres, arrangées par chacun, à chaque génération, mille et mille fois répétées, mais qui nous font toujours rire.
J’ai traversé l’Atlantique, (7000 km, ce se n’est pas rien) ! Alors quand l’hiver est trop gris, trop froid et trop pluvieux, je ferme les yeux… pour retrouver tout cela !
C’est ma madeleine à moi !
A l’heure où la famille est menacée, ou le gouvernement veut abolir d’un coup de loi, l’ordre de la nature, et installer le « gender » chez nous, donner des autos aux petites filles, des poupées aux petits garçons, pour leur permettre de « choisir » leur sexe…
Je revendique la FAMILLE.
Liviaaugustae
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Par Liviaaugustae le 15 Mars 2013 à 14:26
Les petits fards bombés…
Ils ressemblent à des boules de glace !
Mais ils rendrent les femmes : belles à croquer…
BOURJOIS L’APPEL DES FARDS…
L’histoire de l’entreprise créatrice de ces boites rondes aux coloris pastel ou acidulés débute sous le second Empire sur les grands boulevards parisiens. C’est ici qu’un certain Monsieur Ponsin décide, en 1863, de se mettre à confectionner dans son appartement des produits de beauté pour les comédiennes des théâtres voisins. Cela le propulse avec succès dans l’industrie cosmétique. Il se voit contraint cinq ans plus tard de revendre son entreprise à son associé, Alexandre-Napoléon Bourjois, lequel lui laissera son nom. Financier, mais aussi inventeur, celui-ci lance en 1868 le premier fard sec qui s’affiche très vite comme une innovation majeure.
ET si Liane de Poujy, la Belle Otéro ou Sarah Bernard adoptent à la scène les fards Bourjois, les petites boîtes rondes alors en carton, commencent à conquérir le grand public. Pour le séduire, Alexandre-Napoléon multiplie les innovations. En 1898 le catalogue de la maison compte déjà plus de sept cent références. Le best-seller reste toutefois ces petits fards bombés, mélange de talc, de poudre de nacre, d’eau et de pigments, le tout délicatement moulé, séché au four et parfumé d’une larme de rose.
Jusque dans les années 70, à l’usine de Pantin, toujours en activité et désormais propriété de la Maison Channel, la recette était élaborée dans des pétrins de boulanger !
Il y a une autre chose qui semble immuable : on continue d’écorcher régulièrement le patronyme de cette séculaire maison de beauté en l’écrivant Bourgeois. Et ce n’est pas faute de l’avoir seriné sur tous les tons. Témoin, Charles Trénet qui dans les années 50, faisait déjà la publicité de « Bourjois, avec un J comme dans Joie ».
Guillaume CROUZET
Extrait de : Figaro Magasine
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Par Liviaaugustae le 13 Mars 2013 à 11:11
Jérôme BOSCH (détail du Jardin des délices 1500)
(Madrid Musée du Prado)
I HAD A DREAM
Sur fond d’actualité fortuite du 50e salon de l’agriculture, la presse s’est fait largement l’écho de l’apparition d’un nouveau spécimen de cochon, le cochon charcutier, à tête d’homme, à tête à claques.
Dans la Sarthe, pays de mon enfance, pays des rillettes pur porc, je jouais aux trois petits cochons avec mes frères et sœurs, et je pensais n’avoir que le grand méchant loup pour agresseur.
Le temps a passé, les races ont du se croiser, et voilà le cochon grand méchant loup. Ainsi vêtu, le cochon trouve chaussure à son sabot, il s’accouple à la sainte, femme libre de nos contrées démocratiques et laïcs, qui se soumet au cochon de façon irrésistible, irrépressible, archaïque, comme la belle à la bête (nouvelle version), la vierge au Minotaure… Il n’y a plus d’homme, mais ils restent des cochons…
Mais on va dire « elle est libre »… Libre de retourner de son plein gré dans la cage aux habitudes, aux contraintes, aux dégoûts, comme le déplorait déjà La Boétie âgé de 18 ans en 1549.
On s’amuse bien à Paris en 2013, on flirte avec le cochon haï, méprisé, on reluque la grenouille qui est sûrement la meilleure part du prince charmant (ou de ce qu’il en reste), on se fait griller les cils en entrouvrant les portes de l’enfer, on reconstitue la porcherie dans le salon, on reconstitue le petit théâtre des sinistres guerres dominants-dominés, armés-désarmés, riches-pauvres, hommes-femmes, bien au chaud dans son appartement, loin des misères qui accablent le monde et, c’est notre propos, les femmes, qui ont bien besoin qu’on continue le combat, qu’on ne relâche pas nos efforts.
Donc la femme du cochon n’est pas la cochonne mais la sainte.
J’avais déjà remarqué que la femme de Barbe-Bleue n’avait pas 7 maris.
J’avais déjà remarqué tous ces couples mal assortis :
- Le mari de la femme voilée n’est pas l’homme voilé.
- La femme promise au vieillard n’est pas une vieillarde mais une jeune vierge.
- La femme de l’alcoolique ne boit pas.
- Le mari de la femme battue n’est pas un homme battu.
- Le promis de la femme excisée n’a subit aucune mutilation.
Les femmes sont soumises dans le monde à des violences criminelles qui se transmettent de génération en génération, impunies, protégées par la loi des traditions diverses et variées qui autorisent toujours les hommes à agresser des femmes, à se rendre maître de leur destin, et jamais le contraire. « A had a dream » avec d’autres femmes, avec d’autres hommes, ensemble, différents mais unis. Que cela cesse maintenant !
Dominique ISSERMANN.
Extrait de : Figaro Madame
Il ne faut rien généraliser.
Il y des hommes avec des torchons sur la tête… J’en vois tous les jours.
On ne connaît pas il est vrai d’hommes excisés…
Mais il y de jeunes hommes mariés avec de vieilles femmes, (il est vrai : qu’elles ont la peau tirée, le nez refait, les seins remontés, les fesses et le ventre rabotés), mais elles ont toutes du fric ! Le sésame de notre époque.
Il y a des hommes qui ne boivent pas et qui ont une femme qui boit.
Il y a aussi des hommes sous la coupe de femmes, (soit qu’ils restent pour le fric, soit qu’ils restent pour le sexe !), mais ils obéissent comme des toutous…
Liviaaugustae
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