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    J'ai continué à piocher dans ma vidéothèque, et bien que ce ne soit pas un film amusant, j'ai revu avec plaisir « le Cardinal » un film d'Otto Preminger.

     

     

    e film, plein d'émotion et de péripétie – puisque nous somme à la veille de la Première Guerre Mondiale au début du film et pendant la Deuxième vers la moitié du film – retrace l'histoire d'un jeune homme américain d'origine irlandaise, qui devient prêtre.

     

    On va le suivre tout au long de sa vie.

     

    Depuis le prêtre dans une paroisse perdue d'un bled de l'Amérique très profonde, puis évêque et jusqu'à Rome lors de sa nomination comme cardinal.

     

    Un film passionnant.

     

     

     

     

     

    Puis j'ai revu « La Pourpre et le Noir », pas non plus une comédie, avec l'excellent Gregory Peck, qui incarne Monseigneur O'Flaherty, ce film raconte une histoire véridique, ce Monsignor a réellement existé et à sauvé beaucoup de juifs mais aussi beaucoup de résistant et de parachutistes anglais et américains dont les avions avaient été abattus, durant l'occupation allemande de Rome.

     

     

    Pendant la seconde guerre mondiale, Monseigneur O'Flaherty est un officiel au Vatican. Il cache des prisonniers de guerre évadés et des résistants.

     

    Grâce à son statut de Monsignor et à son immunité diplomatique, il est invité dans les réceptions officielles, ce qui lui permet de faire une collecte pour nourrir les gens qu'ils cache, mais quand le colonel Kappler arrive, les choses vont se compliquées, car le colonel SS est sûre que ce Monsignor qui lui tient tête fait de la résistance, cache et et sauve des juifs, il va interdire à ce Monsignor de sortir du Vatican et met la tête du prélat à prix, tout en essayant de le faire assassiner.

     

     

    « Les mirages de la vie », quand à lui nous décrit le racisme en Amérique. Et même traité en comédie- dramatique, comme on aime à dire aujourd'hui, il reste un film émouvant, durant la vision duquel on risque d'être très ému...

     

     

    Deux femmes fauchées, l'une blanche et blonde avec une petite fille, l'autre noire avec aussi une petite fille, se rencontrent sur une plage, les deux fillettes sympathisent et jouent ensembles, mais le soir arrive et tandis que l'une va rentrer chez elle avec sa petite fille, l'autre ne sait pas où dormir.

     

    La première va offrir un repas et un toit pour la nuit, mais finalement elles vont rester ensembles et une amitié va naître entre les deux femmes jusqu'à la mort...

     

     

     

     

     

    J'ai vu aussi un film prêté par ma fille, «Le mur invisible ».

     

    Là il est question d'antisémitisme, un film pas non plus comique mais bouleversant.

     

     

    Phil Grenn, grand journaliste reconnu, va pendant deux mois, se faire passer pour un juif, il va connaître les mêmes avanies, quolibets et représailles, destinés aux juifs, ce mur invisible dressé entre les bons américains et les les autres...

     

    Un film très dur, mais passionnant dans lequel à la suite du beau et l'excellent acteur Grégory Pecck, nous allons toucher du doigts les horreurs qui jalonnent la vie de certaines personnes.

     

     

     

     

     

    Et pour terminer ce tour de cinéma, j'ai revu avec beaucoup de plaisir «Les saisons » de Jacques Perrin, dans ce film, les images de la nature sont splendides.

     

     

    Le film retrace l'histoire de la forêt européenne depuis la fin de la dernière période glaciaire jusqu'à notre époque, en abordant la problématique des bouleversements occasionnés par les activités humaines.

     

    La nature est au centre du film, et l'homme n'y apparaît que rarement et très progressivement, ils sont successivement évoqués les premiers chasseurs cueilleurs, puis la domestication du loup, puis les défrichements qui réduisirent à néant la forêt primaire et le développement de l'agriculture...

     

    Et la question finale est : l'homme qui a beaucoup détruit, saura-t-il reconstruire et vivre de façon harmonieuse avec cette nature qui est pourtant cruciale pour sa vie ?

     

     

     

     

     

     


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    Tout au long de ce mois, j'ai pioché dans ma vidéothèque pour revoir de bons et beaux films, j'ai opté pour plusieurs films dont le premier visionné : « Avril enchanté ».

     

    Si vous voulez partir en vacances en Italie au soleil, dans ce petit château au bord de la mer, sis dans un parc merveilleusement fleuri, je vous conseille de regarder ce joli film vous serez enchantés de cet Avril-là !

     

    Cinéma...

     

    Le film commence à Londres sous la pluie comme de bien entendu.

     

    C'est juste l'après guerre et le moral n'est pas au beau fixe, la vie paraît morose et triste, quand soudain dans le bus, une femme, l'un des personnages découvre dans le Times une petite annonce proposant en location un petit château (pas en Espagne) en Italie.

     

    Complètement éblouie, cette femme n'a qu'une idée en tête le louer, mais la location est très onéreuse, avec une amie elles décident de le louer et vont passer une petite annonce à leur tour pour trouver d'autres personnes pour partager avec elles ce séjour qui leur semble idyllique.

     

    Deux autres femmes répondent à leur petite annonce.
    Et les voilà embarquées toutes deux vers l'aventure...

     

    Mais quand elles arrivent là-bas les deux autres colocataires les ont précédé et se sont arrogé les meilleurs chambres, un peu déçues elles font contre mauvaises fortune bon cœur et elles ont raisons, car le séjour va être vraiment idyllique comme elles l'ont rêvé, et comme nous le rêvons tout au long du film.

     

     

     

     

     

    J'ai aussi revu : «Sur la route de Madisson»

     

    Ici on part dans une ferme dans l'Amérique profonde, mais une belle histoire d'amour va nous faire rêver au milieu des maïs... sur les ponts couverts de la région.

     

     

    Cinéma...

     

     

    C'est l'histoire d'une brève rencontre entre un homme et une femme, Francesca, une femme au foyer d’origine italienne vit dans l'Iowa, et pendant que son mari et ses enfants adolescents sont partis à la foire agricole, elle va tomber amoureuse d'un photographe de Washington de passage dans la région, il est venu pour prendre des photos et écrire un article sur les ponts couverts,

     

    .Pour incarner ce couple incandescent bouleversé par quatre jours hors du temps, Meryl Streep et Clint Eastwood, sont réunis pour la première fois sur le grand écran.

     

     

     

     

     

    Puis j'ai revu aussi: «Elle et Lui »

     

    Beaucoup d'aucun vous diront que c'est un film « gnangnan, voir nanar », c'est ce que me dit mon fils à son propos...mais je n'en ai cure et l'apprécie beaucoup !

     

     

    Cinéma...

     

     

    Coup de foudre en croisière, cette histoire se passe à bord d’un paquebot.

     

    Cary Grant et Deborah Keer alors qu’ils regagnent New York, et bien qu'ils soient engagés chacun de son côté que déjà engagés ailleurs, ils vont tomber amoureux.

     

    Ils se donnent rendez-vous six mois plus tard en haut de l’Empire State Building de New-York…

     

    Mais elle ne sera pas au rendez-vous, en venant rejoindre l'homme qu'elle aime, elle est renversée par une voiture et se retrouve handicapée...

     

    Mais ils vont se retrouver quelques années plus tard et le couple va se reformer !

     

    J'ai beaucoup aimé l'escale à Ville-Franche et la journée dans la maison de la Grand-mère, c'est un vrai paradis.

     

     

     

     

     

    Puis ce fut le tour du merveilleux film : «Autant en emporte le vent», que la bien-pensance d'aujourd'hui trouve horriblement raciste, (alors que l'actrice noire qui tient le rôle de Mama, un rôle très important dans le déroulement de l'histoire, à obtenu un oscar) ce film suscite beaucoup de réactions de rejet, certains voulaient même l'interdire, mais «business is business», ils l'ont finalement autorisé.

     

    Cependant si vous achetez ce DVD aujourd'hui, un encart au début vous rappellera qu'il faut regarder ce film avec précaution car il véhicule des idées incorrectes !

     

    Heureusement j'ai acheté mon DVD avant qu'ils ne rajoutent toutes leurs imbécillités, j'aurai été trop énervée pour le visionner tranquillement.

     

    Moi je ne boude pas mon plaisir et c'est avec bonheur que je l'ai revu.

     

     

    Cinéma...

     

     

    Un amour flamboyant et contrarié, sur fond de guerre de Sécession et du crépuscule des plantations de coton dans le Sud.

     

    L’adaptation d’Autant en emporte le vent, le best-seller de Margaret Mitchell par King Vidor en 1939 a mobilisé des milliers de figurants et connu un triomphe dès sa sortie. C'est la belle Vivien Leigh qui interprète Scarlett O’Hara, l’héroïne de Margaret Mitchell, entière, cynique au tempérament de feu qui cherche coûte que coûte à sauver le domaine familial de Tara qui malheureusement ne résistera pas au vent de l’Histoire.

     

    Dix Oscars couronneront ce film en 1940.

     

     

     

    Et pour me faire un peu peur, j'ai visionné « La tour infernale », qui n'a pas pris une seule ride.

     

    Cinéma...

     

    Une grande réception est donnée dans le salon panoramique d'un immense building de plus de 180 étages et tout les grands de ce monde y est invité, malheureusement un incendie se déclare au 81 étage et très vite le feu grignote et grimpe, les pompiers sont très vite débordés et les deux héros Stveve Macqueen et Paul Nexman vont devoir affronter mille dangers pour sauver le plus de monde possible au cours de péripéties haletantes... je l'ai encore beaucoup apprécié.

     

    Avec « Thé et Sympathies », on se retrouve au cœur d'une grande école américaine.

    J'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir, la belle Deborah Kerr.

     

    Cinéma...

     

    Le film commence, sur la réunion d'anciens élèves d'une grande école américaine, et Tom Lee y assiste puisqu'il y a été étudiant.

    Mais plus attiré par la musique et la littérature que par les sports virils et rudes que pratiquent ses camarades, il est surnommé « la demoiselle » et subit les quolibets de ses camarades, à cet âge ils sont sans pitié, et Tom se retrouve marginalisé.

    .Heureusement, il sympathise bientôt avec Laura Reynolds, la femme du professeur responsable du bâtiment universitaire, qui éprouve elle-même quelques difficultés relationnelles avec un mari conformiste et rude refusant d'assumer les faiblesses. Elle retrouve en Tom son premier mari tué à la guerre. Un vrai dialogue s'instaure peu à peu entre Tom et Laura, et celle-ci va aider le tout jeune homme à assumer ses différences, lui démontrant que sensibilité et raffinement ne riment pas forcément avec homosexualité, orientation dont il est soupçonné dans ce milieu hautement machiste. Leur liaison d'une nuit va bouleverser la vie de Tom qui deviendra un écrivain célèbre et se mariera.

    Mais la vie de Laura va elle aussi être bouleversée.

     

     


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    Comme la TV n'offre pas grand chose d'intéressant, pour occuper deux soirées, j'ai pioché dans ma vidéothèque...

     

    J'ai pioché deux films que j'ai eu beaucoup de plaisir à revoir car ils sont réalisés à la perfection, ils narrent deux belles histoires avec de beaux sentiments et ce qui ne gâte rien, les acteurs sont excellents et très agréables à regarder !

     

    Le cinéma d'aujourd'hui, ne fait plus rêver, ce n'est plus qu'une fabrique d'idéologies en tous genres, comme le prouve la dernière cérémonie des Césars, tout y est passé, sauf peut-être le cinéma, car ils ont perdu le sens du beau, les films sont souvent englués dans le sexe, le sang et la violence, ou bien alors les héros sont en proie aux zombies, ou face à des êtres hideux, effrayants et malfaisants venus d'autres galaxies...

     

    Mais les plus indigestes à mon avis, ce sont ceux dit : «réalistes » qui nous narrent le train-train de la vie quotidienne – style boulot-dodo dans des cadres sinistres – épicés de scènes de sexe douteuses et tristes à pleurer... ceux-là sont les plus durs à avaler, ils sont aussi amers que la quinine !

     

    Le cinéma serait-il en voie de disparition ?

     

    Livia

     

     

     

    Le cinéma...

     

     

     

    «Quelque part dans le temps»

     

    C'est l'histoire d'un amour merveilleux et éternelle.

     

    Le film commence alors que Richard Collier, écrivain de pièces de théâtre à succès fête la consécration d'une de ses pièces.

     

    Une vielle Dame se fraie un passage parmi les invités de la fête et lui met dans la main un magnifique oignon en or en lui disant : «reviens-moi»...

     

    Cet intermède le trouble, quelque chose en lui s'émeut chaque fois qu'il contemple cette montre et cela l'empêche de travailler.

     

    Il décide donc de partir en vacances pour quelques jours et s'arrête «Au grand Hôtel» et là, dans le salon de l'hôtel il est subjugué par un portrait de femme, il va partir à la recherche de renseignements concernant cette Dame qu'il a l'impression de bien connaître...

     

    C'est une magnifique histoire d'amour, le héros va remonter le temps pour retrouver la femme du portrait qui le hante. Il ne la quittera plus jamais.

     

    Ce film est joué par le très beau Christopher Reeve – qui nous a malheureusement quitté bien trop tôt – et la très belle Jane Seymour.

     

    Les décors et la mise en scène sont soignés, le film est tourné dans les ors d'un hôtel de 1900.

     

    Le cinéma...

     

    J'ai aussi visionné «Dieu seul le sait».

    C'est un film tout en pudeur et émotion,

    L'histoire se déroule sur une île du Pacifique durant la dernière guerre, les habitants doivent partir pour fuir les japonais qui risquent de débarquer, une religieuse et un prêtre sont partis à la recherche de quelqu'un dans l'île et alors qu'ils sont en haut d'une colline ils voient le bateau s'en aller sans eux.

    Cependant le prêtre étant très âgé succombe à une crise cardiaque, sœur Angela (interprété par la belle et talentueuse Deborah Keer) se retrouve seule sur l'île

    C'est à ce moment qu'arrive le GI américain, (interprété par le non moins talentueux Robert Mitchum) sur un canot de sauvetage, son bateau ayant été torpillé.

    Les deux rescapés peuvent survivre dans l'île grâce aux noix de cocos, poisson, fruits, mais... les japonais, bombardent l'île avant de venir s'y installer, la vie des deux rescapés, réfugiés dans une grotte, devient alors très difficile, mais c'est alors que les troupes américaines débarquent enfin et les soldats sont ahuris de découvrir les deux héros au fond de leur grotte.

    Il faut ajouter que ce film est signé par John Huston qui est un fabuleux réalisateur.

     

     


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    Le mot du général…

     

     

    Spectacle

    Détail de la statue du général, située au centre du cours Cambronne à Nantes.

    (image wikipédia)

     

    Un peu d’histoire.

    Pierre, Jacques, Etienne, vicomte de Cambronne (Nantes 1770-1842), Est un général français, engagé comme volontaire en 1792, il prit part aux campagnes de la Révolution et de l’Empire, fut nommé général de brigade puis, major général de la garde impériale. Ayant accompagné Napoléon 1er à l’île d’Elbe (1814), il revint avec lui en 1815, et fut fait comte et pair de France pendant les Cent-Jours. Lors de la bataille de Waterloo (juin 1815), il fit partie du « dernier carré » de la Vielle Garde et, sommé de se rendre aurait répondu, selon la tradition, « La garde se meurt, mais ne se rend pas » ou encore (aurait adressé aux anglais le mot de Cambronne, anecdote repris par Victor Hugo, dans les Misérables).

    Blessé, il fut emmené comme prisonnier en Angleterre. A son retour en France, il fut traduit devant un conseil de guerre. Défendu par l’avocat Berryer, il fut acquitté, et fut peu après chargé du commandement de la place de Lille (1820-1822).

    (Dictionnaire Robert de noms propres)

     

    « Son mot » resté célèbre grâce à Hugo et beaucoup plus tard à Sacha Guitry, a toujours cours  en France bien que l’on ne soit pas sûr qu’il l’ait jamais prononcé…

     

    Comme hier soir, il n’y avait rien d’intéressant à la télévision. TF1 élections, France 2 : élections,  France 3 : élections !  

    Je me sui offert la pièce de Guitry : « Le mot de Cambronne » !

     

    QUAND L’HISTOIRE ET LE PATRIMOINE S’ENTRELACENT…

     

     

     

    Spectacle

    Les trois coups ont raisonné, le rideau va se lever…

     

    Le mot de Cambronne.

     Mme Cambronne, d’origine britannique, à qui l’on a beaucoup parlé du « Mot de son mari », le presse de questions afin d’en connaître la signification. Mais le général se refuse à toute explication et persiste à se taire.

    Jusqu’au moment, où la soubrette, laissant tomber le plateau avec les tasses du goûter, laisse échapper un sonore « Merde » !

    Cette pièce, interprétée avec brio par Guitry campant le général Cambronne.

    Marguerite Moreno l’épouse du général à l’accent anglais à couper au couteau (Birkin en serait jalouse).

    Pauline Carton, la femme du préfet de Nantes.

    Et la jolie soubrette, Jacqueline Delubac (épouse du moment de Guitry), qui n’a qu’un mot à dire : celui de Cambronne !

    Une pièce exquise, pleine d’esprit, et d’humour savoureux, bien français et en vers…

    Pour écouter le texte de la pièce, lien ci-dessous :

    http://www.youtube.com/watch?v=vQhA4eTyQ-o

     


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    LES GRAND REALISATEURS
     
    HITCHCOCK :
    La foi du silence.
     
    Le réalisateur mythique de « Sueurs froides » pleura à chaudes larmes en communiant au corps du Christ, pour la première fois depuis bien longtemps à la fin de sa vie.
    Cette confidence, révélée récemment par le Wall Street Journal et relayée par le Catholic Herald (14 décembre 2012), est due au prêtre américain Mark Henninger.
    Ce jésuite y rappelle qu’Alfred Hitchcok revint à la foi catholique dans sa 80e année. Il demanda au prêtre de venir célébrer la messe dans sa demeure de Los Angeles. « Je n’oublierai jamais, confie le Père Henninger. Après la communion, il pleura silencieusement. Et je voyais des larmes énormes  rouler sur ses joues toutes rondes. »
    Quelques mois plus tard, Hitchcok mourut.
    Eut-il à gravir « les 39 marches » pour rejoindre Celui qu’il avait reçu avec des larmes d’enfant ? Une chose est sûre : Dieu est, pour chacun de nous, l’amour aux trousses.
    Luc Adrian
    Extrait de : Famille Chrétienne
     
    En ce temps-là, il y avait de grands réalisateurs, qui faisaient de bons films, avec une bonne histoire, d’excellents acteurs, de somptueux décors ! Ils nous sortaient de notre petit train-train, et nous embarquaient sur les ailes du rêve…
    Hitchcok était l’un d’eux, ses films étaient à la fois : policiers, humoristiques et pleins d’aventures, cependant j’ignorais qu’il était catholique. Et comme beaucoup de non pratiquants, au soir de la vie ils reviennent retrouver Dieu, pour le grand voyage.
    L’un de mes préférés est : « Sueurs froides », je vous en offre un passage.
    Liviaaugustae
     
     
     
     
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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