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    Aujourd'hui, lundi 25 mars 2024

     

    C'est la journée Européenne de «L'enfant à naître » !

     

    Cependant, le 5 mars et en grandes pompes à Versailles, notre automedon* de président avec ses ministres, fêtaient l'assassinat des enfants à naître !

     

    Y comprenez-vous quelque chose ?

     

    Et en même temps, sous prétexte de liberté, voilà qu'après le droit de tuer les bébés, ce même automédon* annonce sans rire « un projet de loi, pour une aide à mourir autrement » dit il et qui donnera le droit de tuer aussi officiellement...

     

    *Automédon, dans la mythologie grec fut le cocher du grand guerrier Achille lors de la guerre de Troie, une guerre qui détruisit complètement la ville de Troie.

     

    *Automedon : Par plaisanterie, cocher, celui qui conduit une voiture. (Sens figuré) Guide, chef, coryphée.

     

     

    Un ange éploré, devant cette décision létale...

    (image pixabay)

     

    Vers le franchissement de l’ultime ligne rouge? Emmanuel Macron a annoncé ce dimanche 10 mars qu’un projet de loi ouvrant une « aide à mourir » sera présenté en avril en Conseil des ministres. Dans L'entretien accordé à Libération et à La Croix, le président de la République a refusé d’employer le terme de « suicide assisté » ou d’«euthanasie». « Le terme que nous avons retenu est celui d’aide à mourir parce qu’il est simple et humain et qu’il définit bien ce dont il s’agit », explique-t-il. « Le terme d’euthanasie désigne le fait de mettre fin aux jours de quelqu’un, avec ou même sans son consentement, ce qui n’est évidemment pas le cas ici. Ce n’est pas non plus un suicide assisté qui correspond au choix libre et inconditionnel d’une personne de disposer de sa vie. » Le gouvernement a donc privilégié une expression qui n’est autre qu’une coquille vidée de son sens mais qui n’enlève en rien la réalité glaçante qu’elle traduit. Ce projet de loi a pour objectif de permettre de donner la mort en toute légalité.

    Sur les conditions d’accès, le président l’annonce : « Cet accompagnement sera réservé aux personnes majeures. » Les personnes devront par ailleurs être capables d’un discernement plein et entier, « ce qui signifie que l’on exclut de cette aide à mourir les patients atteints de maladies psychiatriques ou de maladies neurodégénératives qui altèrent le discernement, comme Alzheimer ». Il faudra également avoir une maladie incurable et un pronostic vital engagé à court ou à moyen terme. Un dernier critère est celui des souffrance physiques ou psychologiques, c’est-à-dire que l’on ne peut pas soulager. « Si tous ces critères sont réunis, s’ouvre alors la possibilité pour la personne de demander à pouvoir être aidée afin de mourir. » …

    Le projet de loi prévoir enfin que les frais de « l’aide à mourir » soient pris en charge par l’assurance maladie. « C’est en effet ce que prévoit le projet de loi parce que, du diagnostic à la mort, c’est une manière d’attester que la société accompagne la personne malade et fragile, en reconnaissant la part de vie complète et absolue qu’il y a jusqu’à la dernière seconde », détaille ainsi Emmanuel Macron dans l’entretien.

    La sécurité sociale étant financée par les impôts, chacun contribuerait par ailleurs à aider son prochain à mettre un terme à sa vie. En toute légalité.

    Agnès Pinard Legry

    Et donc il compte faire la société payer la mort du prochain par le biais de la sécurité Sociale qui se porte déjà fort mal , on ne dira plus le trou de la sécu mais les abysses de la sécu ! 

    Livia

     



    Espoir en dieu

    Espère, enfant ! demain ! et puis demain encore !
    Et puis toujours demain ! croyons dans l'avenir.
    Espère ! et chaque fois que se lève l'aurore,
    Soyons là pour prier comme Dieu pour bénir !



    Nos fautes, mon pauvre ange, ont causé nos souffrances.
    Peut-être qu'en restant bien longtemps à genoux,
    Quand il aura béni toutes les innocences,
    Puis tous les repentirs, Dieu finira par nous !

    Victor Hugo

     


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    Ce dessin humoristique m'a inspiré la petite histoire ci-dessous :

     

     

    Va-t-il le faire ???

     

     

     

    Les apprentis sorciers et les Docteurs Follamour, ont fait foiré la Création et Dieu est perplexe, il se demande s'il doit débrancher tout ce bazar qu'Il a créé avec tant d'amour ?

     

    Les hommes méritent-ils vraiment de continuer à vivre ?

     

    L'archange Gabriel derrière, est aussi perplexe que Dieu !

     

    Il est venu plusieurs fois sur cette terre et Gabriel l'avait trouvé la si belle qu'il avait eut des velléités d'y rester – d'après ce que Jean D'Ormesson avait narré dans son Rapport Gabriel – aujourd'hui il ne veut plus y retourner, ces petits hommes on tellement défiguré cette belle création avec leur jalousie, leur haine et leur vices, qui entraînent des querelles mais aussi des guerres et beaucoup de tueries et cette magnifique œuvre de Dieu est devenue triste à pleurer, c'est aujourd'hui un monde plein de fureur qui tourne en rond armes aux poings... un monde dans lequel les petits, les sans grade, les sans dents, les gens qui ne sont rien, comme les ont dénommés deux présidents de chez nous – sont écrasés, tandis qu'une toute petite partie se pavane dans les ors des palais en tirant des ficelles comme on fait pour les marionnettes, ils dépensent sans compter, alors que certains meurent de faim dans la rue par tout les temps, non cette terre ne vaut plus tripette, Gabriel préfère se balader dans le ciel, c'est la que sont tous les hommes bons et généreux qu'il avait rencontrés autrefois lors de ces voyages sur terre.

     

    Dieu va-t-il débrancher ? Il y pense mais son Fils Lui, le voudra-t-il ? Lui qui est toujours enclin à pardonner aux hommes leurs errances ?

     

    Jésus viendra sûrement, une fois de plus demander grâce pour eux, bien qu'ils l'ont flagellé et cloué sur une croix jusqu'à ce que mort s'ensuive, ils ont donné à voir à cette occasion un spécimen de leur grande inhumaine méchanceté.

     

    Le Père se souvient encore, de la-haut c'était si pénible de voir agoniser son Fils, mais alors que ce dernier était cloué sur sa croix Il leur a pardonner, Il a même emmené un Larron avec Lui au Paradis !

     

    Il va donc falloir discuter avec Lui.

     

    Cependant il faut faire quelque chose, Dieu ne peut laisser sa belle Création aller à vau-l'eau entre les mains malhabiles de ces petits humains qui ne croient même plus en Lui et pensent qu'Il n'est qu'une entité !

     

    Débrancher et rebrancher ? Ou carrément annuler le tout ? Cela demande encore réflexion !

     

     

     

    Dans les années 70 France Gall chantait :

     

    Débranche
    Débranche
    Coupe la lumière et coupe le son
    Débranche
    Débranche tout, etc...

     

    Moi qui ne suis qu'une pauvre humaine, je n'ai bien sûr pas de conseils à donner à Dieu, mais si j'étais à sa place... j'annulerai tout, les hommes ne s'amenderont jamais, ils sont bien trop imbus de leurs petites personnes, ils continueront à se déchirer et la terre continuera à se déliter !

     

    Livia

     

     

     

     

     

     


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    Autrefois, les hommes priaient pour demander de l'aide à DIEU...

     

     

    Aujourd'hui, certains le somme de répondre !

     

     

    Et beaucoup d'autres se tournent vers la SCIENCE qui est devenue leur dieu...

     

     

    Tandis que certains pensent pouvoir faire et défaire le monde à leur gré...

     



     

    « La France va mieux. Pas mieux que l’année dernière, mais mieux que l’année prochaine ! » (Coluche)

     

    Cette phrase de Coluche peut résumer à merveille les bavardages de Macron à la Télé le mardi 16 janvier lors de sa conférence de presse.

     

    Il dit tout, sans rien dire, c'est la méthode en même temps qui est d'un illogisme imparable :

     

    La France n'a plus d'enfants et il veut réarmer la démographie, mais en même temps... il travaille à faire de l'IVG un droit !

     

    La France doit retrouver ses spécificités françaises, mais en même temps... il fait venir des étrangers par plein bateaux ! (Et avec l'aide des gauchos du Conseil Constitutionnel, qui ont annulé beaucoup de texte dans le projet de loi, nous allons encore et encore recevoir des «migrants » !, est-ce vraiment la solution pour retrouver les spécificités françaises ?)

     

    Il a occupé plusieurs chaînes et fait sauter des programmes... mais après ces deux heures de bavardages non stop, que reste-t-il ? Rien de rien !

     

    Cette conférence de presse a endormi à peu près tous ceux qui ont eu le courage de l'affronter.

     



     

    Ci-dessous, voilà le résultat de ce mépris !

     

     

    Les syndicats d'agriculteurs ont confirmé vouloir entamer dès lundi 29 janvier un blocus de Paris, selon le Parisien. D'autres points de blocages sont prévus dans l'Hexagone.

     

    On ne peut pas se foutre du peuple éternellement !

     

    Ne pas oublier que c'est grâce au dur labeur de nos paysans que nous pouvons nous sustenter !

     

    Saviez-vous qu'au lieu d'acheter du blé français l'état a acheté du blé Ukrainien ?

     

    Livia

     

     

    Mardi 23 janvier, Bernard De Narda, maire de Raillencourt-Sainte-Olle dans les Hauts-de-France a publié un arrêté municipal inédit. "Article 1 : à compter de ce jour, la neige a l’interdiction de tomber sur le territoire de Raillencourt-Sainte-Olle", ont pu lire les habitants, explique La Voix du Nord. Un arrêté après les pluies verglaçantes et les chutes de neige survenues entre le 17 et le 21 janvier et les remarques des administrés de la commune.

     

    Le maire déplore le manque de respect et la colère injustifiée de certains de ses administrés, qui ont profité des réseaux sociaux pour écrire des messages peu aimables. Le maire indique d’ailleurs qu "il y a

     

    soixante ans, il y avait autrement de la neige et pas de déneigeuse" mais "les gens prenaient leurs dispositions pour aller bosser". Il prévoit d’autres arrêtés de ce genre à l’avenir, par

     

    exemple "pour interdire les lapins, les frelons", conclut-il.

     

    Tellement habitués à ce que l'Etat Providence les prennent par la main, et pensant qu'avec la science on peut tout, les imbéciles ont encore sévi ici !

     

    On félicite ce maire pour son humour.

     

    Livia

     

     

     

     

     


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    La mairesse écolo de Nantes, nous a enlevé cette année nos lumières de Noël, c'est un Noël tristounet qu'elle nous a concocté là, et voilà qu'au cours d'une lecture je découvre, complètement éberluée, voir stupéfiée – un nouvel interdit pour casser Noël comme tous les ans à cette époque – cet interdit me conforte encore plus dans mon désir de résister à l'air du temps et aux lois que des groupuscules ont décidé de créer pour nous empêcher de vivre !

     

    Il paraît que l'on ne doit plus dire Joyeux Noël, ce serait comme une sorte de crime contre la bienséance, contre les droits de l'homme, contre la libre pensée, contre la laïcité, enfin contre tout ces feux et contre feux qui jalonnent désormais notre vie et nous enserrent dans un carcan de non droit !

     

    Ignorant cet interdit je continuerais à souhaiter : Joyeux Noël autour de moi.

     

    Noël nous offre donc l'occasion de Résister : aux écolos, au wokisme, à la laïcité débridée, aux libres penseurs, enfin à tout les diktats proférés par des petits groupes totalitaires qui finiront par faire un véritable enfer de notre vie si nous n'y prenons garde !

     

    Je m'inscris donc à ce gang QFJN : Qui Fête Joyeux Noël ?

     

    Je vous souhaite donc  à tous un un très Joyeux Noël !

     

    Livia

     

     

    Vitrail de la Nativité

     

    Cathédrale Saint-Corentin à Quimper – Finistère

     

     

     

    Faites-vous partie de ce gang secret qui a frappé durant le mois de décembre dans tous les commerces de France et de Navarre, répondant au nom mystérieux de QFJN : Qui Fête Joyeux Noël ?

     

    Toute se passe au moment précis où, ayant remis le ticket, la vendeuse referme d’un coup sec sa caisse et congédie courtoisement le client pour passer au suivant : « Passez de bonnes fêtes ! » Saisissant son paquet doré par le bolduc, le gang dégaine aussi sec : « Joyeux Noël ! »

     

    Parler de « fêtes », c’est un peu bête car ça ne veut rien dire. On peut fêter tout et n’importe quoi : son bac, son permis, sa promotion, sa guérison, un nouvel emploi… On sent dans ce terme générique prudent un peu de cette inconsciente couardise qui, dans un climat de Laïcité exacerbée, noie le poisson - c’est le cas de le dire. Si on avait dit à nos grands-parents que, un jour, on se sentirait une âme de résistant, un courage ébouriffant à souhaiter Joyeux Noël ! À chaque génération ses (petits) combats et notre guerre de tranchées, à nous, est aussi sémantique.

     

    On peut remercier les cheminots cette année grâce auxquels l’expression un peu vintage « trêve de Noël », inventée par le clergé au Moyen Âge - et que l’on vit, en 14-18, apporter un peu de paix jusque dans les tranchées -, a retrouvé une nouvelle popularité et fait florès sur les réseaux sociaux. Grâce à Olivier Véran, qui fait des rimes et donne une leçon de christianisme : « À Noël, on ne fait pas la grève, on fait la trêve », a-t-il martelé sur France Info, mercredi.

     

    Notez que l’on peut claironner « Noël, Noël ! » à d’autres moments de l’année car, autrefois, il s’agissait d’un cri de réjouissance pour toutes sortes de circonstances. Le 31 décembre, par exemple ? Convenons que l’usage est plutôt, ce soir-là, de souhaiter « Bonne Année ! », mais cela non plus n’est pas étranger à la chrétienté : tous nos vœux pour 2023… sous-entendu « de notre ère », ma chère !

     

    On peut tournicoter l’affaire dans tous les sens, édulcorer, occulter, ignorer, contourner, éviter, ratiociner*… notre société et notre calendrier en sont tous imprégnés. Et c’est réjouissant : Noël, Noël !

     

    On n'aime rien tant que les pulls en laine véritable, les draps en fil de coton, le jus de fruit 100 % pressé, les purées « maison ». Tout cela a bien plus de prix que les succédanés au rabais fabriqués avec du synthétique, des additifs et autres composants n'ayant originellement rien à voir avec le produit affiché.

     

    Alors, pourquoi n’aurions-nous pas droit à un 25 décembre authentique et de qualité, avec de vrais morceaux de Noël dedans ?

     

    Gabrielle Cluzel

     

    *ratiociner : Se perdre en raisonnements trop subtils et interminables.

     

     


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    Marie, Joseph, l’âne, le bœuf, et le petit Jésus : la crèche est l’héritage de huit siècles d’histoire. Retour sur cette tradition chère à de nombreux foyers, catholiques… ou non.

     

    […] Greccio, Noël 1223. C’est dans cette petite ville du centre de l’Italie, à quelques kilomètres de Rome, au pied des montagnes qui découpent le ciel à l’horizon, que saint François d'Assise invente la crèche. Voilà déjà plusieurs siècles que les chrétiens se réunissent pour célébrer ensemble la naissance du petit Roi de gloire que raconte saint Luc dans son évangile, et les scènes de Nativité parent les catacombes romaines depuis les premiers temps de l’Église [....]

     

    La crèche demeure encore aujourd’hui un objet de piété populaire, parmi ces emblèmes attachants, avec le sapin et ses décorations auxquels les enfants d’autrefois songent avec émotion [....]

     

    Noël et la musique sous haute surveillance...

     

    Ma crèche...

     

     

     

    Voici venir Noël !

     

    Mais comme la fête de Noël est proche, les magasins en ce début de décembre offrent mille merveilles, près du « marché de Noël » le parfum de chocolat chaud se mêlent à celui de la cannelle et des marrons grillés... de petits sapins blancs (plantés par les commerçants) ornent les trottoirs.

     

    On a sorti la crèche de l'armoire dans laquelle elle dormait depuis l'année passée, pour l'installer sur un papier de crèche dûment enneigé, saint Joseph, la Sainte Vierge, le petit âne gris ainsi que le bœuf, plus un ou deux moutons et quelques petits anges, attendent la venue du Petit Jésus, qui Lui ne sera installé que le 24 vers minuit, le sapin orné de boules et de babioles attirent les enfants, qui savent que bientôt à ses pieds, s'entasseront tout les trésors qu'ils ont commandé au Père Noël.

     

    Mais derrière tout ce clinquant d'or, de paillettes et de joie, se cachent mille misères que rien ne peut atténuer, cependant, le monde continuera de tourner au rythme de la fête.

     

    Mais, Noël ne plaît pas à tout le monde !

     

    Car déjà les « esprit libres, les gauchistes et les wokistes de tout poils » veillent à la laïcité et hurlent d'une seule voix en chœurs haineux, pleins d'aigreurs et de ressentiments : Cachez cette crèche que nous ne saurions voir » !

     

    Livia

     

     

     

    A bon entendeur salut !

     

    C'est ainsi qu'un député de l'Aude qui a osé installer une très belle crèche dans sa permanence, se fait remonter les bretelles par Adrien Quattenens – dont tout le monde connaît la probité morale – voilà donc ce qu'écrit ce brave homme dans un petit mot lapidaire, bien sûr il affirme ne penser qu'à défendre « LA LAÏCITE » : «Bonjour Monsieur le député, Ici c’est la France. Et la France est une République laïque. Comme parlementaire, vous représentez tous les Français. La crèche, c’est éventuellement dans le salon à la maison. Pas dans la permanence parlementaire.»

     

    Noël et la musique sous haute surveillance...

     

    La musique s'égrène pour nous faire rêver...

     

    (image pixabay)

     

     

     

    Mais les wokistes gauchos ne s'en tiennent pas seulement à Noël, ils attaquent tout !

     

    Dans leur collimateur, Radio Classique, se fait aussi remonter les bretelles par une chroniqueuse gauchiste de « France culture » (radio qui n'a de culture que le nom) !

     

    Et voilà ce qu'Arnaud Florac lui répond ci-dessous

     

    […] Alors, voilà : Radio Classique diffuse de la musique occidentale des années 1680 à 1890, écrite par des hommes blancs et, bien souvent, jouée par des musiciens blancs. Ce n’est pas tout: les voix qui interviennent sont des voix de «bon ton», c’est-à-dire possédant une diction précise, un accent « châtié » (quoi que veuille dire ce terme). Enfin, cerise sur le gâteau : les publicités, qui entrecoupent les morceaux de cette musique classique blanche présentée par des bourgeois, sont des pubs « de luxe ». Parce qu’il faut rappeler, pour finir, que Radio Classique est la propriété du groupe LVMH – peut-être le pire grief qu’un anthropologue et une journaliste du service public puissent avoir contre un quelconque média.

     

    Gauchistes, vous êtes devenus les vrais bourgeois, au sens bourdieusien du terme: vous avez l’argent, les lieux en vue, les accointances politiques, la culture «légitime» (même si elle est nulle et laide). Vous avez la reconnaissance médiatique et vous avez les codes de cette époque si misérable. Alors, si vous nous laissiez aimer la musique « bourgeoise », les morceaux écoutés cent fois ? Si vous nous laissiez être « clichés », aimer ce que vous trouvez « de bon ton »? Si vous écoutiez votre rap, si vous alliez contempler vos croûtes murales, si vous alliez voir vos films chiants… et si vous arrêtiez de nous emmerder ?

     

    Je partage bien sûr à 100% l'avis de Monsieur Florac, car j'adore écouter Radio Classique et la si belle musique blanche émise tous les jours, une musique harmonieuse qui fait rêver, et nous souhaitons que ces gauchistes qui aiment écouter le rap et le tam-tam, nous fichent la paix !

     

    Livia

     

     

     

     


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