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    « C'est triste la vie quand elle redevient quotidienne »

     

    Denis Tillinac

     

     

     

    (image internet)

     

     

     

     

     

    Noël est loin, c'est le cœur un peu gros que j'ai vu les enfants partir.

     

    L'appartement aujourd'hui est silencieux ; plus de rires ni de courses , leur joie et leur gaieté me manque et le silence me pèse, il faut reprendre maintenant le train-train des jours ordinaires...

     

    Dans le salon, le sapin perd ses aiguilles et malgré ses boules et ses guirlandes il a un air triste et penché, sait-il lui aussi que la fête est finie, qu'il va être dépouillé de ses brillants atours et finir sa vie dans un sac en plastique dans le local à poubelle ?

     

    Peut-être que les sapins de Noël savent ces choses-là, que les grands sapins immarcescibles leur ont conté le soir sous la lune d'hiver ?

     

    Liviaaugustae

     

     


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