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Le poème du lundi...
Ces rouages qui nous broient dans leurs rets...
(image pixabay)
Les machines
Les machines avaient commencé
Par rire comme des enfants
Qui semblaient vouloir amuser
Les gens de tous les continents.Puis elles avaient tant grandi
Qu'elles étaient devenues comme
Des adolescents, puis des hommes
Précieusement munis d'outils.Enfin, se fiant au silence
Et à la morne indifférence
De ceux qui en usaient,Elles se mirent lentement
A devenir ces lourds géants
Qui nous broient dans leurs rets.Maurice Carême
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Commentaires
... et maintenant, si le "progrès" continue, elles vont diriger notre vie...
Un poème d'avant-garde très réaliste !
Bisous et bonne journée
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Lundi 25 Septembre 2023 à 10:06
Bonjour Lucky
En effet avec ce poème Maurice Carême nous offre, une vision avant gardiste de ce soi-disant progrès qui déconstruit nos vies.
Bisous et bonne journée
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J'adore ce sonnet de Maurice Carême, merci !
Bises et bon début de semaine - Zaza
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Lundi 25 Septembre 2023 à 10:07
Bonjour Zaza,
Maurice Carême avait vu en avance ce soi-disant progrès qui déconstuit nos vies aujourd'hui !
Bises et belle journée
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J'adore Maurice Carême!
Je ne connaissais pas ce poème ! Une belle personnalisation et symbolisme des rouages des machines qui grandissent et prennent de l'importance.
Belle semaine , bises Livia
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Lundi 25 Septembre 2023 à 10:09
Bonjour Andrée,
Avec quelques mots simples M. Carême nous décrit déjà ce que nous connaissons aujourd'hui !
J'avoue que cette IA, me fait un peu peur, si les machines se détraquent un jour qu'arrivera-t-il ?
Bises et belle journée
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J'aime beaucoup Maurice Carême mais ne connaissais pas ce poème très visionnaire. Bientôt l'IA pourrait tout diriger. Bonne journée et bisous
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Lundi 25 Septembre 2023 à 10:10
Bonjour Brigitte,
Oui mais, dans quel sens cette IA nous dirigera-t-elle ??? Là est toute la question !
Bisous et bonne journée
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Oui elles finissent par nous broyer, elle nous broient parce qu'elle nous remplacent! Bisous bonne semaine
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Vendredi 29 Septembre 2023 à 16:34
Bonjour Renée,
Et ce n'est pas fini, ces malades s'attaquent aux cerveaux !
Bisous
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Je découvre ce poème
Merci
Bon lundi Livia
Merci Rose et bonne journée