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    LE PAIN…

    UN PATRIMOINE QUI NOUS VIENT DE LA NUIT DES TEMPS !

     

    LE PAIN.

     

    Je n’ai pas semé,

    Je n’ai rien récolté.

    Mais j’ai pétri le pain…

    Comme autrefois, ma grand-mère l’a fait.

    La pâte, s’enroule,

    Et se déroule entre mes doigts laborieux.

    J’y ai mis des noix, et puis des noisettes,

    Des raisins aussi pour le « doucir » un peu.

    Devant le four, en grande admiration,

    J’ai vu gonfler la pâte, et puis brunir la pâte,

    Et se former une croûte toute dorée,

    Alors, la maison embaume,

    Comme autrefois, de l’odeur du pain chaud.

    Il est cuit, et refroidi sur la planche,

    Posée sur la nappe à carreaux rouges.

    C.F.

     

     

     

     

     DSCF0527

    Et voici mon pain, qui refroidi sur la planche, posé sur la nappe à carreaux rouges… Et quel régal !

     

    (doucir : mot créole, qui signifie sucrer)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    De Gaulle 1961Le Général De Gaulle en 1961.

     

    DE GAULLE ET LES JOURNALISTES…

     

     Un mur de méfiance et d’hostilité s’est élevé entre lui et ceux qu’il appelle les « scribouillards »…

     « Ces équipes professionnelles de l’objection » et leur « bruyant concert de doute, de critiques et de persiflages »…

     

    « Ces plumitifs soucieux à tout moment de suer le fiel et de cracher le vinaigre»…

     

     

    DE GAULLE EN MAI 1968…

     

    Mai 1968 arrive avec son cortège de grèves…

    « Parce que l’on a cru que le néant allait tout à coup engendrer le renouveau, que les canards sauvages étaient les enfants du Bon Dieu.

    Des canards qui… n’ont pas fini de cancaner dans la mare où barbotent les français »…

     

     

     

    DE GAULLE ET LES PARTIS POITIQUE…

     

     « Le voici aux prises avec les « politichiens » du régime, et avec le jeu stérile des partis, avec ces trotte-menu de l’abandon, ces pisse-vinaigre, ces démons du désespoir, ces flanchards, ces faiblards, ces fuyards professionnels, ces cloportes, ces coureurs de maroquins, ces veaux qui se mangent la laine sur le dos, président couche-toi-là »…

     

    « Vomis soient ces partis qui ne cherchent qu’à prolonger le système selon lequel chacun cuit sa petite soupe à petit feu, ces gredins qui ont regagné leur clientèle, aidés par les féodalités, les affaires, la radio de l’abaissement et les stylos de la décadence….  Les communistes ? Tout au plus, des roseaux peints en fer. Quand aux « socialos »… toujours les mêmes… Ils trichent, mais ils coupent à cœur »…

     

    « On peut regretter la douceur des lampes à huile, la splendeur de la marine à voile, le charme du temps des équipages. Mais les faits sont là avec leur rigueur et ce n’est pas la politique de la guitare qui pourra changer quelque chose. »…

     

    Ce régime finira à la trappe. La France est vacharde. Seule la trouille peut la réveiller…

     

    « L’intégration est une entourloupe. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri »...

     

    Extrait de : Dictionnaire amoureux de De Gaulle de Michel Tauriac.

     

     

     

    Note de liviaugustae : Quand le général De Gaulle était président de la République, j’étais trop jeune et la politique ne me préoccupait guère. Aujourd’hui, avec le recul, je me rends compte combien  la France était grande et belle et combien elle avait de « la gueule » !

    C’était hier…

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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