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LES FLEURS DU MAL…
Lys et tulipes sur fond noir, pétales ouverts sur les ténèbres, ne vous fiez pas à l’apparente innocence de ce bouquet d’images.
Ces fleurs vous sont offertes par : Robert Mapplethorpe, l’homme qui, dans les années 90, a fait frémir l’Amérique avec des autoportraits et des nus masculins d’une telle crudité érotique, qu’encore aujourd’hui, bien des Musées hésitent à les exposer.
Ange et démon, disparu à l’âge de 43 ans, il n’aimait que les fleurs du mal dont les poisons l’enivraient…
Nulle essence de rose dans ses fragrances, mais l’odeur entêtante des pavots et des tubéreuses. Essences empoisonnées, senteurs vénéneuses R. Mapplethorpe distille le parfum du scandale.
Calla Lily (1987)
Calla lilies (1985)
Tulip (1984)
Calla Lily (1986)
Poppy (1988)
Double Jack in the pulpit (1988)
Tulip (1988)
Lily (1984)
Avec une imagination débordante…
Les noms des fleurs sont données par : R. Mapplethorpe.
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L’ART… ET LE THE !De nombreux peintres ont immortalisés le thé.Femmes prenant le thé : de Alain Lynch (XIXe)(Lima, Musée d’Art)
La table au soleil, au jardin : de Henri Le Sidaner (1911)
(Musée des Beaux-Arts Nantes)
Le petit Déjeuner : de Henri Matisse (1921)
(Museum of Art Philadelphia)
Le The dans l’atelier : de G.D. De Monfreid (1907)
(Musée d’Orsay)
Le Déjeuner : de Pierre Bonnard (1932).
(Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris)
La Fontaine de cuivre : de J.B.S Chardin (1734).
(Musée du Louvre)
La Vie au harem (détail) : de J.F. Lewis XIXe siècle.
(Victoria & Albert Museum Londres)
Scène d’intérieur : de J.L. Drykmans (1867)
(Victoria & Albert Museum Londres)
Portrait de Femme, la tasse de thé : de G.D. de Monfreid (1893)
(Musée d’Orsay)
Le Thé dans le jardin : de Léon Carré (1910)
(Musée d’Orsay)
La Table blanche : de Henri Le Sidaner (1921)
(Musée d’Art moderne de la ville de Paris)
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NAISSANCE DU THE…Le thé après l’eau, est la plus ancienne boisson du monde et son berceau est chinois.On rapporte qu’un jour de l’an 2737 avant J.C., l’Empereur Chen Nung, surnommé le « Divin Moissonneur », buvant de l’eau bouillie à l’ombre d’un arbre, vit tomber dans sa tasse deux ou trois feuilles. Stupéfait, il s’aperçut que l’eau changeait de couleur. Il ôta les feuilles et porta la tasse à ses lèvres.Ce nouveau parfum inconnu jusqu’alors fit son délice. Ce Dieu vivant de la Chine impériale comprit que rien, désormais, ne serait plus comme avant pour lui-même et pour son peuple. L’arbre duquel était tombé ces feuilles sauvages fut baptisé théier.Cueilleuse de thé.
Haniste et son aide.
Chine début du XIXe siècle
(Musée Dobrée Nantes)
Cérémonie du thé, estampe de : Toshikata
(Japon fin du XIXe siècle)
Cérémonie du thé, estampe de : Toshikata
(Japon fin du XIXe siècle)
(Victoria & Albert Museum Londres)
Etiquette de thé début XIXe siècle.
(Bibliothèque des Arts décoratifs Paris)
Serveuse de thé. Utamaro, Japon.
Juko, maître de cérémonie du thé de : Tomioko Tessai (1836-1924)
(Musée Guimet)
Estampe de : Shunman (1757-1820)
(Musée Guimet)
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Visionnaire, Saint Augustin prédit la chute de l’Empire romain…
Aujourd’hui, cet apogthème toujours d’actualité ; nous prédit la chute de notre civilisation occidentale !
« A force de tout voir, on fini par tout admettre ; à force de tout admettre, on finit par tout approuver »
SAINT AUGUSTIN.
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L’AMPHITHEATRE DE SUTRI.La porte qui permettait d’accéder aux gradins et au promenoir faisant le tour de la cavea.
Après avoir passé la porte on suivait le déambulatoire.
(Bien plus tard à l’Ere Chrétienne, une église de la Madonna del Parto, occupe les lieux.
L’amphithéâtre de Sutri est situé à l’extérieur de la ville. Creusé dans la roche, il se confond avec le paysage.
Après avoir soumis Véies, Rome s’empara de la région de Sutri et se servit de la ville comme d’un avant-poste stratégique.
La région accueillit de nouveaux habitants à partir de 210 avant J.C.
Au premier siècle avant J.C. la ville fut érigée en colonie et reçu le nom de Colonia Coniuncta Julia Sutrina. A cette époque, elle abritait une population nombreuse et prospère, comme le prouve la présence d’un grand Amphithéâtre. Entièrement creusé dans le tuf, l’amphithéâtre date du premier siècle après J.C. : s’étendant sur quarante neuf mètres de long, et quarante mètres de large, il était équipé de toutes les infrastructures nécessaires à l’organisation de spectacles qui réunissait des milliers de spectateurs. Les eaux qui remplissaient l’amphithéâtre, à l’occasion des naumachies étaient acheminées par des canalisations depuis le sommet de la colline.
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