Exemplaire de Louis XIV : imprimerie royale (1670), gravure aquarellée et gouachée avec rehauts d’or, de Henri Gissey et Jacques Ier Bailly.

(Versailles Bibliothèque Municipale)

La Sœur d’Apollon, Diane et ses compagnes de Charles de la Fosse

(1688-1689).

(Musée du Louvre)

Apollon et Sybille, fille de Glauque, de Louis II de Boullogne.

(Château de Versailles)

Apollon enseigne à lire à Hyacinthe de Louis II de Boullogne.

(Château de Versailles)

Apollon et Téthys de Charles de la Fosse (1688-1689)

(Château de Versailles)

Apollon sur son char, se présente à Téthys de Jean Jouvenet (1700).

(Château de Versailles)

 

 

 

 

LOUIS XIV ET APOLLON…

 

La représentation de Louis XIV sous les traits du plus beau des Dieux antiques, fut l’une des allégories les plus utilisées par les peintres et les sculpteurs, durant les années 1670.

Apollon Divinité de la Paix et des Arts, incarne aussi le soleil, l’emblème du roi. Ce qui est à retenir dans la comparaison de Louis XIV au soleil, c’est l’image d’un roi, assurant la prospérité de son royaume. Le soleil exerce ses influences favorables en tout lieu, il est le principe de la fécondité du monde ; selon les mots même du roi : « il produit sans cesse de tout côté la vie, la joie et l’action ». Louis XIV ajoute que la plus parfaite image du souverain, est le mouvement sans relâche du soleil, « où il paraît néanmoins toujours tranquille, sa course constante et invariable dont il ne s’écarte et ne se détourne jamais. » C’est l’image d’un roi de paix, qui, par son travail quotidien et assidu au service de ses peuples, assure la félicité du royaume.

 

 

 

  

Portait de Louis XIV en protecteur des Arts, de Jean Garnier

 

(Château de Versailles)

 

 

 

  

Plafond du salon d’Apollon, peintures de Charles de la Fosse et Gabriel Blanchard, sculptures de Gaspard et Balthazar Marsy.

 

(Château de Versailles)

 

 

 

  

Apollon et Daphné, de Carlo Maratta (1681).

 

(Musées Royaux des Beaux-Arts Bruxelles)

 

 

 

  

Louis XIV accordant des audiences sous le regard d’Apollon, de Adam Frans Van Der Meulen et François Verdier vers (1672-1673).

 

(Musée des Beaux-Arts Budapest)

 

 

 

  

Clytie et Apollon : peint par Charles de la Fosse (1688-1689).

 

(Château de Versailles)

 

 

 

  

Louis XIV en Apollon triomphant du serpent Python de Joseph Werner (1664)

 

(Château de Versailles)