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    Découvert au cours d'une lecture, je vais vous parler aujourd'hui des bienfaits de la mandarine, dont la saison est déjà bien avancée.

     

    J'adore les clémentines, oranges et mandarines et dès que c'est la saison comme en ce moment, j'en déguste tous les jours, cependant, il ne faut pas prendre tout au pied de la lettre. Un fruits ne peut remplacer ni le médecin ni la pharmacie, hélas !

     

    Il paraît d'après cet article que la mandarine est très employée dans la médecine chinoise. Laissons-les donc à la médecine chinoise et goûtons-les au dessert...

     

    Un autre aspect des agrumes : ma grand-mère (encore elle), avait l'habitude de piquer une orange avec des clous de girofle qu'elle mettait dans son armoire, le parfum était délicieux, c'est une jolie idée parfumée que je pratique parfois et que je vous conseille, car en plus du parfum, cela éloigne aussi les mangeuses de tissus et de laine. Un bon-point pour les agrumes !

     

    Comme vous le constaterez en lisant cet article, ce fruit est quand même déconseillé à ceux qui ont l'estomac fragiles.

     

    Livia

     

    La mandarine...

    Déshabillage...

     

    (image internet)

     

     

     

    Avec sa belle couleur orange et ses parfums acidulés, la mandarine booste la morosité hivernale. Vitaminée, elle apaise différents maux tout au long de l'année.

     

     

    Originaire de Chine et du Vietnam, la mandarine appartient à la famille des rutacées. Cet agrume au goût sucré tiendrait son nom de sa couleur, proche de celle des robes en soie des mandarins qui aimaient la savourer. La médecine chinoise utilise depuis des millénaires sa peau séchée pour réguler l’énergie et la digestion.
    Apparu en Europe au XIXe siècle, ce fruit a trouvé sa place dans nos assiettes, dans des liqueurs comme la Mandarine Napoléon, des parfums comme l’Eau de Mandarine d’Hermès, et son essence est utilisée pour ses vertus thérapeutiques. Même si les deux dénominations sont utilisées, le terme d’essence - obtenue par une extraction à froid des particules de zestes - est plus approprié aux agrumes que celui d’huile essentielle - obtenue par distillation à la vapeur d’eau. 

     

    Les bienfaits de la mandarine 

     

    Modératrice du système nerveux central, elle aide à réduire les insomnies, nos angoisses ainsi que les troubles de la digestion. Riche en vitamine C, elle renforce le système immunitaire: une action précieuse pour faire face aux infections hivernales comme la grippe et le rhume. Cet agrume antioxydant et anti-inflammatoire pourrait jouer un rôle dans la prévention de certains cancers, notamment du colon, et des maladies cardio-vasculaires.

     

    Comment l’utiliser? 

     

    En cuisine: Elle enchante becs salés et sucrés en association avec des fruits de mer ou de la viande blanche aussi bien qu’en entremets, confitures, confiseries et salades de fruits. 

     

    En infusion: Pour améliorer la digestion, infuser dix minutes une cuillerée à café de peau séchée de mandarine dans une tasse d’eau frémissante. Filtrer et boire cette tisane à la fin du repas. 

     

    En aromathérapie 

     

    - 3 gouttes d’essence de mandarine sur l’oreiller ou un mouchoir améliorent le sommeil.  (On peut essayer ces trois gouttes sur l'oreiller, si le sommeil ne vient pas, l'oreiller et la chambre seront parfumés – Livia )

     

    - 3 gouttes d’essence de mandarine dans un gel lavant apaisent le stress. (Pourquoi pas cela doit sentir bon ! – Livia )

     

    - 1 goutte d’essence de mandarine sur un comprimé neutre à laisser fondre sous la langue calme les angoisses. Répéter quand nécessaire. (par contre là je ne m'y risquerai pas ! – Livia )

     

    Précautions d’emploi 

     

    Les agrumes sont déconseillés en cas de troubles gastriques (reflux gastro-œsophagien, hernies hiatales...) et ne doivent pas être associés à certains médicaments, comme les anti-inflammatoires et l’aspirine. Durant un traitement, notamment contre l’insuffisance rénale, bien lire les notices ou demander un avis médical avant de les consommer en fruit ou en essence. 

     

    L’huile essentielle de mandarine - photosensibilisante - est contre-indiquée pour la femme enceinte ou allaitante, l’enfant de moins de 3 ans, les personnes allergiques et asthmatiques, et avant une exposition au soleil. 

     

    La cultiver 

     

    Le mandarinier pousse en pleine terre par climat doux, sans gel, avec une exposition ensoleillée mais protégée du vent, et un sol fertile et bien drainé. En pot, il pourra être rentré en véranda ou en serre durant l’hiver. (Autrefois mon mari m'avait offert un petit mandarinier que j'ai gardé longtemps dans un énorme pot, il produisait de tout petits fruits orangés qui égayaient et parfumaient mon entrée, mais lorsque j'ai déménagé il n'a pas résisté à la manutention très robuste des déménageurs.)

     


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    Je vous avais parlé, l'année dernière au moment de Noël, du livre d'art écrit par Madame Marie- Gabrielle Leblanc : L'enfance du Christ, qui est un livre magnifique.

     

    Aujourd'hui , je vous conseille le nouveau livre d'art « La vie publique du Christ dans l'art » écrit par la même Marie-Gabrielle Leblanc (ceux qui me lisent la connaissent bien maintenant).

     

    C'était en principe un cadeau de Noël pour ma fille, mais elle n'a pas voulu attendre et a préféré l'avoir tout de suite, nous l'avons donc découvert ensembles avec grand plaisir, ce livre est une pure merveille.

     

    Il est vendu partout au prix de 29€, c'est un joli cadeau pour Noël.

     

    Livia

     

     

     

    Reprenant le même principe que L'enfance du Christ dans l'art, ce beau livre propose cent œuvres pour traverser l'histoire de l'art et redécouvrir la vie publique de Jésus jusqu'à la résurrection. Le livre s'articule autour de grandes thématiques : les paraboles, les miracles, les Rameaux, etc., en s'attachant à chaque fois à retracer l'apport artistique du Moyen Âge au XXIe siècle. Son originalité, outre le dialogue entre l'art chrétien d'hier et celui d'aujourd'hui, est de convoquer et de comparer l'art chrétien d'Orient et celui d'Occident. Les photographies de John Pole et les textes de Marie-Gabrielle Leblanc nous ouvrent, à travers chaque détail et chaque explication, au mystère de l'Évangile, en suivant pas à pas le génie de l'artiste.

    Les œuvres redeviennent ainsi pour nous les catéchèses qu'elles furent pour leurs contemporains, l'art constituant certainement l'une des plus belles formes d'évangélisation et de témoignage.

     

     

     


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    Une pensée pour les militaires français morts au Mali.

     

    Je vous propose, une belle figure de notre histoire, un personnage héroïque, qui a été occulté de l'histoire de France ; qui se battit avec courage contre les révolutionnaires en Vendée.

     

    Livia

     

     

    Il aiguillonnait ses hommes avec la phrase ci-dessous :

     

    « Allons chercher l'ennemi : si j'avance, suivez-moi, si je recule, tuez-moi, si je meurs, vengez-moi. »

     

     

     

     

    Henri du Vergier comte de la Rochejaquelein

     

    Pierre-Nacisse Guérin

     

     

     

    Henri du Vergier, comte de La Rochejaquelein, né le 30 août 1772, au château de la Durbelière, près de Châtillon-sur-Sèvre (Poitou) et tué le 28 janvier 1794 à Naillé, est l'un des chefs de l'armé catholique et royale au cours de la guerre de Vendée, pendant la révolution française.

     

    « Henri de Larochejaquelein avait alors vingt ans. C'était un jeune homme assez timide, et qui avait peu vécu dans le monde ; ses manières et son langage laconique étaient remarquables par la simplicité et le naturel; il avait une physionomie douce et noble; ses yeux, malgré son air timide, paraissaient vifs et animés ; depuis, son regard devint fier et ardent. Il avait une taille élevée et svelte, des cheveux blonds, un visage un peu allongé, et une tournure plutôt anglaise que française. Il excellait dans tous les exercices du corps, surtout à monter à cheval. De La Rochejaquelein était chef des paroisses qui sont autour de Châtillon. Il avait un courage ardent et téméraire, qui le faisait surnommer l'Intrépide. Dans les combats, il avait le coup d'œil juste, et prenait des résolutions promptes et habiles. Il inspirait beaucoup d'ardeur et d'assurance aux soldats. On lui reprochait de s'exposer sans aucune nécessité, de se laisser emporter trop loin, d'aller faire le coup de sabre avec les ennemis. Dans les déroutes des républicains, il les poursuivait sans aucune prudence personnelle. On l'exhortait aussi à s'occuper davantage des discussions du conseil de guerre. »

     

    Il fait ses études à l'école royale militaire de Sorèze. À la sortie de l'école il entre dans le régiment Royal-Pologne cavalerie acheté par son père l'année précédente.

     

    La Révolution l'ayant surpris dès l'âge de seize ans, il ne suit pas son père dans l'émigration vers l'Allemagne. Il refuse en 1791 de prêter le serment que l'assemblée constituante exige des officiers et démissionne. Il choisit de défendre le trône dans la Garde constitutionnelle du Roi Louis XVI où il est appelé en 1791. Lors de l'assaut du Palais des Tuileries par les révolutionnaires, il combat pour défendre le roi, en tant que deuxième lieutenant de la Garde. Cette journée du 10 août 1792 trompe ses espérances.

     

    Accompagné de son guide fidèle et armé de deux pistolets, La Rochejaquelein arrive sur le théâtre de la guerre et rejoint Charles de Bonchamps et Maurice d'Elbée. Il apprend qu'une division ennemie pénètre dans la Vendée, et, n'écoutant que son courage, il veut arrêter le mouvement offensif des républicains, II accourt à Châtillon, à Saint-Aubin-de-Baubigné, où sont les propriétés de sa famille. À peine a-t-il paru que des milliers de paysans des Aubiers, de Nueil, etc, le proclament comme chef.

     

    En mars 1793, il participe au soulèvement de la Vendée et devient un des chefs de l'armée vendéenne.

     

     

     

    Henri de la Rochejaquelein au combat de Cholet, 17 octobre 1793

     

    Paul-Emile Boutigny

     



     

    Cependant La Rochejaquelein, suivi de Stofflet, La Ville-Baugé, de Langerie et d'une vingtaine de soldats qui ont aussi gagné la rive gauche à Ancenis, est surpris par une patrouille, qui le chasse des bords du fleuve et disperse son détachement. Resté avec ses trois compagnons d'armes, il s'enfonce dans l'intérieur du pays, errant la journée entière dans une solitude complète, n'apercevant partout que des traces de dévastation et ne rencontrant sur ses pas aucun être vivant. Pendant deux jours, ils ne vécurent que du pain enlevé aux soldats qui tombent isolément sous leurs coups. À mesure qu'ils pénètrent vers Châtillon, La Rochejaquelein retrouve de ses partisans. Son unique désir est de combattre encore à leur tête.

     

    Les ruines du château de Durbière, que les républicains ont livré aux flammes, lui sert d'asile. Le bruit de son arrivée et quelques indices sur le lieu de sa retraite l'expose aux perquisitions d'un détachement qui vient fouiller ce château : il ne se dérobe qu'en se tenant couché sur l'entablement des murs encore debout de la façade principale.

     

    C'est ainsi que, bravant les dangers, il prépare tout pour reprendre les armes. Instruit que de Charette vient d'entrer dans le Haut-Poitou, il se porte à sa rencontre, voulant concerter avec lui les opérations qu'il méditer. C'est au moment même où les républicains répriment violemment les troubles dans la Vendée.

     

    Le général Etienne Jean-François Cordellier-Delanoüe, commandant l'une des colonnes, a trois engagements sérieux avec La Rochejaquelein, qu'il ne put entamer. Le chef vendéen, voyant grossir l'orage, se replie sur la forêt de Vezins pour s'assurer une retraite. Là, s'étant mis sur la défensive, il fait construire dans la forêt des baraques, où il se cantonne avec ses meilleures troupes, après avoir établi un poste sur la route de Cholet. Instruit de tous les mouvements de l'ennemi, il revient au même plan qu'on a suivi pendant son absence et se borne, pendant le reste de l'hiver, à couper les communications des républicains, à enlever leurs patrouilles, leurs escortes et surtout leurs munitions. Il s'empare ainsi de plusieurs convois. Dans une rencontre imprévue, il prend un adjudant-général sur lequel il trouve l'ordre de donner des sauf-conduits aux paysans vendéens, de se saisir ensuite de tous ceux qui en sont porteurs et de les fusiller indistinctement. La Rochejaquelein se hâte de faire afficher cet ordre barbare dans toutes les paroisses environnantes. Les paysans indignés, n'ayant plus aucune sûreté, se réunirent à lui en plus grand nombre. Se voyant en état de sortir de la forêt, il reparaît à la tête d'un rassemblement et menace tour à tour les divers cantonnements qui l'environnent. Serré de près par le général Cordellier, il élude d'abord le combat, assaille ensuite ce général à plusieurs reprises et obtient quelques succès. Bouillant et impétueux, il harcèle sans cesse son ennemi, qu'il tient en échec.

     

    Depuis sa rentrée dans la Vendée, il semble pressentir la chute de son parti et ne pas vouloir lui survivre. Le 4 mars, Nuaillé près de Cholet est témoin de sa dernière expédition. La garnison de Cholet étant sortie pour incendier ce bourg, La Rochejaquelein l'attaque au moment où elle y met le feu. Entourés par les Vendéens, plusieurs soldats périrent dans les flammes ; d'autres s'élancent à travers les rangs ennemis.

     

    La Rochejaquelein, qui s'avance à cheval, veut les interroger, malgré les mises en garde des officiers de sa suite, qu'il laisse derrière lui. L'un des deux grenadiers, qui vient d'entendre prononcer le nom du général royaliste, décide d'agir ; et, tandis que La Rochejaquelein se penche pour lui prendre son arme, le grenadier l'ajuste et tire à bout portant, avant d'être lui-même tué quasi-instantanément par des officiers.

     

    La balle frappe le front de La Rochejaquelein, qui tombe et expire aussitôt, le 28 janvier 1794 à 21 ans.

     

     

    La mort de Henri de la Rochejaquelein

     

    Alexandre Bloch

     

     

     


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    L'Avent est une préparation à Noël, pas à la confiserie, bières, parfums, etc...

     

    Avec Corneille essayons de vivre cet Avent dans les pas du Christ.

     

    Livia

     

    La vraie liberté...

    La liberté au bout des ailes...

     

    (image internet)

     

     

     

     

     

     

     

    « De la vraie liberté »

     

     

     

    Ceux qui pensent ici posséder quelque chose
    Le possèdent bien moins qu'ils n'en sont possédés ;
    Et ceux dont l'amour-propre en leur faveur dispose
    Sont autant de captifs par eux-mêmes gardés.

     



     

    Les appétits des sens ne font que des esclaves ;
    La curiosité comme eux a ses liens :
    Et les plus grands coureurs ne courent qu'aux entraves
    Qui jettent sous leurs pas les charmes des faux biens.

     



     

    Ils cherchent partout les douceurs passagères,
    Plus que ce qui conduit à l'éternité ;
    Et souvent pour tout but ils se font des chimères
    Qui n'ont pour fondement que l'instabilité.

     



     

    Hors ce qui vient de Dieu, tout passe, tout s'envole,
    Tout en son vrai néant aussitôt se résout ;
    Et, pour te dire tout d'une seule parole,
    Quitte tout, mon enfant, et tu trouveras tout.

     

    Corneille

     

     


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    Les petites fenêtres sur Noël...

     

    Le calendrier de l'Avent, avec chocolats.

     

    (image internet)

     



     

    Origine du calendrier de l'Avent :

     

    Des petites fenêtres sur un calendrier de carton, des petites chaussettes numérotées suspendues, des lumignons à allumer… Le calendrier de l’Avent peut se présenter sous des formes multiples ! Il réjouit petits et grands et aide à avancer vers la fête de Noël.

     

    La tradition du calendrier de Noël ou calendrier de l’Avent prend sa source en Allemagne au 19e siècle. Certaines familles protestantes avaient coutume de mettre, chaque matin, une image pieuse au mur et cela du premier dimanche de l’Avent au jour de Noël. Créé par un père de famille pour faire patienter ses enfants, le premier calendrier de l’Avent avec ses petites portes ou fenêtres à ouvrir qui cachent une image ou un objet est apparu au début du 20e siècle.

     

    Le calendrier de l’Avent sous toutes ses formes !

     

    Le calendrier peut être composé de fenêtres, dont le nombre correspond aux jours de l’Avent, que l’on ouvre chaque jour. Certains calendriers sont également numériques et interactifs. D’autres encore choisissent des calendriers décoratifs, plaçant des petits cadeaux à l’intérieur de chaussettes suspendues…Souvent placé à côté de la crèche, il permet aux enfants d’attendre le jour de Noël. Pour l’enfant attendre n’est en effet pas toujours facile… Le calendrier lui permet de se préparer, jour après jour, à accueillir Jésus. L’ouverture attendue d’une case permet de rythmer et de rendre active cette attente de Noël dans une attitude de découverte, de confiance et de patience.

     

    Avec le calendrier de l’Avent, entrer dans la paix de Noël

     

    Au travers des propositions faites dans chaque fenêtre les grands symboles de Noël sont présents : cadeaux, lumière, paix, donner, recevoir… La phrase ou le petit texte proposé facilite la prière en famille et fait entrer petits et grands dans la joie de Noël.

     

    Portail de l'église catholique de France

     



     

    Les calendriers de l'Avent ont été, eux aussi capturés par les marques de chocolats et ne voilà-t-il pas que depuis deux ou trois ans, peut-être même plus, on trouve aussi des calendrier de l'Avent avec...de la bière !

     

    C'est dire si le commerce est florissant avec toutes nos fêtes cathos !

     

    Livia

     



     


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