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En balade sur le port de plaisance de Vannes le jeudi de l’Ascension, il faisait un temps magnifique !.
Il n’y avait pas de goélands, mais beaucoup de « goélettes » il y avait aussi beaucoup de monde profitant comme nous du beau temps retrouvé !
Mais hélas ! Depuis dimanche, le ciel est tout gris et... la pluie tombe… où donc a encore filé ce soleil ?
Photo prise dans l’après midi du 9 mai, au port de plaisance de Vannes…
Goélands et goélettes
Allons voir les goélettes
Dans le bassin de Paimpol :
Les goélands, les mouettes
Les caressent dans leur vol;
Puis, quand les Vagues s’élancent
À l’assaut du quai noirci,
Les goélands s’y balancent:
Les goélettes aussi!
Les grands oiseaux d’aventures
Vont se perdre dans les cieux;
Les bateaux et leurs mâtures
Tendent leurs longs bras vers eux;
Les jours et les mois s’envolent,
L’Hiver passe sans souci!…
Les goélands se désolent:
Les goélettes aussi!
Lorsque Février arrive
Les goélands sont joyeux;
Des voix pleurent sur la Rive
La Complainte des Adieux!— «Vos Paimpolaises sont belles,
Islandais! restez ici!…»
Les goélands ont des ailes:
Les goélettes aussi!…Théodore Botrel
8 commentaires -
Au cours d’une lecture j’ai découvert l’écologie chez les romains, ce n’est pas très ragoûtant, ils étaient complètement timbrés ces romains !
J’admire la civilisation romaine mais ,j’espère que les écolos/gauchos d’aujourd’hui, ne vont pas s’en inspirer pour nous fabriquer n’importe quoi !!!
S.P.Q.R. Sigle de Senatus Populusque Romanus
(« le sénat et le peuple romain »).
,Obélix n’avait pas tort ! Ils étaient fous ces romains : les citoyens de Rome avaient parfois des mœurs étranges.
Mais en matière de cosmétique ou de recyclage, ils étaient des champions d'écolos.
L'Empire romain, dont la grandeur et la décadence ont été maintes fois évoquées au fil des siècles, nous révèle sous son voile d’opulence, de combats acharnés et d'intrigues
politiques, une palette de faits curieux et d’anecdotes étonnantes.
Les romains ont fait preuve, en parallèle à leur ingéniosité et leur art de la gouvernance, d’une démesure et d’une originalité
déconcertantes. Les batailles navales reconstituées dans l’enceinte majestueuse du Colisée, les astuces cosmétiques des dames
romaines, avides de beauté et de jeunesse, ou encore l’étrange rituel entourant la naissance et la reconnaissance des nouveau-nés,
sont autant de témoignages d’une civilisation qui, sous ses airs de fermeté et d'organisation, n'a pas cessé de nous surprendre.
Ces anecdotes tracent les contours d'une Rome à la fois sombre et extravagante.
L’empereur Elagabal, emblème de la décadence romaine
L’empereur Elagabal (218-222) était un blagueur, mais à l’humour très particulier. Si l’on tenait à la vie, mieux valait éviter de se
retrouver à sa table. Il faisait peindre des pierres pour qu’elles ressemblent à de la nourriture et les offrait à ses convives. Il aurait
même servi des perroquets vivants. Pas question de rechigner. Quiconque ne finissait pas son assiette était exécuté. (Cet empereur
oriental était complètement tordu, il valait donc mieux rester loin de lui ! Livia)
Des hooligans à Pompéi
En l’an 59, à Pompéi, un spectacle de gladiateurs organisé par le sénateur Livineius Regulus tourne au pugilat. Les supporters de
Pompéi et ceux de la cité voisine s’affrontent violemment et les combats gagnent les rues. Néron s’en mêle : il fait fermer l’amphithéâtre pour dix ans et bannit les hooligans
de la ville. (Je dis bravo ! Pour une fois Néron a bien agit ! Livia)
Des batailles navales au Colisée
Le Colisée, à Rome, était le plus grand amphithéâtre de l’Empire. Il pouvait accueillir jusqu’à 50 000 spectateurs. Entre le Ier et le
VIe siècle, la foule s’y pressait pour assister à des combats de gladiateurs, d’animaux, voire à des exécutions. Parmi les spectacles
en vogue, des reconstitutions militaires. Y compris celles de batailles navales ! Pour organiser ces naumachies, l’arène, d’une
dimension de 80 mètres sur 54, était recouverte d’eau et transformée en bassin. Les navires, parfois de taille réelle, se déplaçaient
grâce à des roues. Certains étaient dotés de mécanismes permettant de faire tanguer l’engin et de simuler un naufrage.
Le top des cosmétiques pour les Romaines
Dans un combat au corps à corps, rien de tel que l'huile d'olives pour se transformer en savonnette entre les mains de l’adversaire.
Parole de gladiateur ! Les combattants se raclaient ensuite la peau pour récupérer le précieux mélange d’huile et de transpiration.
Les Romaines achetaient à prix d’or cette mixture. Appliquée en masque, elle était réputée rendre la peau plus belle et plus jeune.
(Là, je dis Beurk ! Livia)
Chez les Romaines, la coquetterie est tout un art
Pour un teint parfait, pâle à souhait, rien ne valait la poudre de craie mêlée au plomb. Ajoutez à cela, une base de graisse animale
rehaussée d’argile rouge pour une jolie bouche, et le tour était joué. Mais un bon maquillage nécessite une peau saine. Une astuce
infaillible : le masque à la bouse de crocodile. Satisfaites ou remboursées. (Re-Beurk ! Livia)
La naissance du petit Romain
Pour les enfants romains, la venue au monde comportait deux étapes. Lorsqu’ils sortaient du ventre de leur mère, la sage-femme
les déposait à terre sans les laver ni les habiller. Symboliquement ils n’existaient pas encore. Pour être reconnus, il fallait que leur
père les prenne dans ses bras et les soulèvent. Sinon, ils étaient condamnés à mourir. (Les pauvres bébés, s’ils arrivaient à voir le jour ils ne vivaient pas forcément ! C’est
triste ! Livia)
Une taxe sur l'urine
Pourquoi gâcher l'urine alors que mélangée à la pierre ponce elle rend les dents plus blanches ? Les tanneurs y faisaient également tremper les peaux pour en détacher les poils tandis que les blanchisseurs y lavaient les textiles pour les rendre plus blancs que blanc.
Afin de récupérer le précieux liquide, ils plaçaient des seaux devant les échoppes pour que les passants s’y soulagent.
L'empereur Vespasien (9-79), flairant la bonne affaire, fit payer aux collecteurs une taxe sur l’urine. (J'espère qu'ils ne vont pas aujourd'hui nous faire ce genre de pâte dentifrice ? Là c'est carrément dégueux ! Cela donne la nausée ! Livia)
Petite pause
A lundi
Livia
9 commentaires -
Jeudi 9 mai 2024
Aujourd’hui, c’est la fête de l’Ascension
L’Ascension est une fête chrétienne célébrée le quarantième jour à
partir de Pâques .
Elle marque la dernière rencontre de Jésus avec ses disciples après
sa Résurrection.
Une des fresques de l’église de l’Arena de Padoue
Giotto
17 commentaires -
Mercredi 8 mai 2024
Commémoration de la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie et la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe.
Je ne suis pas un marin émérite, je n’ai même pas le pied marin, je me suis lancée sans filet dans ce quiz et... je n'ai pas trouvé grand chose !
Auriez-vous fait mieux ?
La biture sur le voilier…
(image pixabay)
"Je veille au grain, pars tranquille"… Mais que désigne le grain pour les marins?
La houle
Un coup de vent violent
La réserve de nourriture à bord
Cette expression datant du XIXe siècle trouve son origine dans la marine à voile. Le "grain" faisait référence à un vent violent qui se lève accompagné éventuellement de pluie et pouvant rendre les manœuvres difficiles. Le marin qui veillait au grain scrutait l’horizon pour anticiper les changements de météo. (Pas trouvé)
"À peine arrivé, il lui a mis le grappin dessus!" … Dans le milieu maritime, qu’est-ce qu’un grappin?
Un filet de pêche
Un crochet d'abordage
Une tige en bois permettant d'attraper une cordage tombé à l'eau
Mettre le grappin dessus, c’est jeter son dévolu sur quelqu’un, se l’accaparer.
À l’origine, sur les navires, un grappin (de "grappe", crochet) désignait un crochet d'abordage, une petite ancre de 4 ou 5 branches recourbées, au bout d’une corde qui, une fois lancée, permettait notamment aux pirates de rapprocher le bateau cible pour monter à bord plus facilement. D’où le sens aujourd’hui de "s’accaparer" quelqu’un ou quelque chose. (Trouvé)
Dans l’expression "être au taquet", à quoi fait référence le taquet?
Un objet bloquant
Le haut du mât
Un matelot qui restait éveillé la nuit
Au XVIIe siècle, le terme évolue. Dans le milieu marin, le taquet désigne une pièce en métal permettant de maintenir un cordage bien serré. Synonyme d’objet bloquant, le taquet signifie aujourd’hui par extension une limite à ne pas franchir.
"Je suis au taquet" signifie "être à fond, au maximum de ses possibilités, tout donner pour réussir une tâche". Au XVe siècle, le taquet est un morceau de bois qui permettait de fermer une porte (sorte de loquet). (Trouvé)
"Il ne reste que des pacotilles…" À bord d’un bateau, qu’étaient les pacotilles?
Les marchandises de l'équipage
Les dernières provisions dans le garde manger
De la petite monnaie
Au XVIIIe siècle, les pacotilles désignaient le petit ballot de marchandises que chaque marin embarqué avait le droit de prendre avec lui, sans en payer le fret à l'armateur, en vue d’en faire commerce. Aujourd’hui, le terme "pacotilles" est utilisé pour parler d’objets quelconques, qui ont peu de valeur. (pas trouvé)
Lorsqu’une personne a trop bu, il arrive de dire dans le langage familier qu’il a pris "une biture". De quoi s’agit-il à bord?
D'une corde
D'un poteau sur le pont
D'une forte vague
La biture (ou bitture) désigne la corde disposée en forme de S sur le pont d’un navire de sorte qu’au moment de jeter l’ancre, celle-ci puisse rapidement aller au fond. Sa disposition en zigzag évoque la démarche d’une personne ivre. Au début du XIXe siècle, une bonne biture évoquait plutôt un repas copieux. (Pas trouvé)
"Il a le vent en poupe"! Mais c’est quoi, la poupe?
La grande voile déployée
L'arrière du navire
Une bonne prise à la pèche
La poupe d’un voilier, c’est son arrière! Avoir "le vent en poupe", c’est lorsque le vent souffle à l’arrière, l’assurance d’une navigation facile et rapide.
Cette expression remonte au XIVe siècle et aux bateaux de la marine à voile. Elle est aujourd’hui employée dans la vie courante lorsqu’une personne est à l’honneur ou connaît une période fructueuse. (Trouvé)
"Je l’ai vu rôder dans les parages…" Dans le langage maritime, que désignent "les parages"?
Une partie de mer proche de la côte
De mauvaises conditions météo à venir
La salle des machines
Les parages désignent la mer proche des côtes, d’une île, d’un cap. Aujourd’hui, cette expression est employée pour évoquer les environs, le voisinage. (Pas trouvé)
10 commentaires -
Brigitte, allias écureuilbleu à édité sur son blog des photos de mouette sur la plage de Lacanaux…
Vous pourrez voir son blog sur ce lien : https://www.unebonnenouvelleparjour.com
Avec son aimable permission, je vous offre aujourd'hui, les photos de la mouette et de ses signes ainsi que le petit conte que lesdites photos m'ont inspiré.
Photo de la mouette de Brigitte
En me baladant sur la plage à marée basse, je vis une mouette qui avait l'air de faire les cent pas et il me semblais l'entendre parler ? mais...il n'y avait personne d'autre que
moi en vue, je me dis que c'était le vent et le bruit des vagues qui mêlés ensembles m'avaient trompé, comme cette mouette m'intriguait, je m'en approchais doucement car je
ne voulais pas l'effrayer.
Je l'observais depuis un moment déjà, quand je vis sur le sol des tas de petits signes qui s'entrecroisaient, alignés semblait-il dans un ordre défini…
(photo de Brigitte, les signes dessinés par la mouette dans le sable…)
Les dessins étaient soignés et apparemment bien pensés.
Je dis tout haut pensant que j'étais seule sur la plage : « Mais que veulent dire ces signes cabalistiques ? »
Alors la mouette, furibonde me vola dans les plumes en criant comme une perdue : « Voulez-vous dégager de là, vous allez effacer mes calculs et c'est très important vous ne
voyez que je travaille ?
Immobile, debout sur la plage je restais sans voix ! Une mouette qui travaille et qui parle, jamais entendu parler de ce phénomène, je dégainais mon APN et la mitraillais, elle
continuait ses allées et venues, inscrivant de plus en plus de signes dans le sable.
Mais, quand elle s'aperçut que je lui tirais le portrait, elle vola vers moi et cette fois, se posa carrément sur ma tête enfonçant ses griffes dans mon cuir chevelu, elle me
commanda d'une voix qui n'acceptait aucune réplique : « Effacez moi toutes ces photos, ceci est un secret qu'il serait dangereux pour vous de divulguer...
J'obtempérais en omettant les premières que j'avais prises à son insu et que je partage avec vous.
« Et maintenant, allez vous-en je vous ai assez vu ! »
Je ne me le fis pas dire deux fois, car en passant la main sur ma tête, je constatais que cette folle m'avait écorché le cuir chevelu et que je saignais, je m'éloignais donc et m'assis
sur le sable en l'observant du coin de l'œil, elle continuait a marquer le sable et marmonnait toujours... Puis elle battit des ailes avec force en criant dans une langue que je ne
reconnue pas.
Mais quelle ne fut ma surprise quand, brusquement sans bruit, arrivant de nulle part, un engin volant se tint au-dessus des signes, il y eut plusieurs éclairs de flash me
sembla-t-il, avant que la mouette n'embarque dans l'engin. Puis aussi vite qu'il était apparu, il disparu à mes yeux, me laissant là sur cette plage, avec une impression
indéfinissable...
Je ne savais que penser à propos de cette mouette et me demandais si je n'avais pas rêver toute cette histoire ?
Et tandis que la mer montait doucement et effaçait les signes sur le sable, ces derniers restaient bien visibles dans mon APN…
Livia
18 commentaires
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