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    Tandis que hier sur nos blogs, nous discutions gentiment  pour savoir quel était l'oiseau le plus adéquat pour nous représenter, les fous de dieu préparaient encore des meurtres...

     

    C'était fête au pays de France, une liesse populaire bon enfant avec feux d'artifices et bals...mais tandis que les flonflons de la musique s'égrenaient gaiement dans la nuit chaude de Nice, un « fou de dieu » tuait 84 de nos compatriotes sur la Promenade des Anglais au bord de la belle bleue !

     

    Et pourtant nous sommes averti, ces gens-là, ne nous aiment pas, ils veulent prendre notre place comme nous l'explique cette « folle de dieu », avec son torchon sur la tête, et sans ciller !

     

     

     

     

    Pleure ô France...

     

     

    Alors pourquoi, ces « indigènes » ont-ils pignon sur rue, et sont invité en permanence à la télé, puisque leur leur projet est de : nous éliminer ?

     

    Alors au diable la « tolérance et la solidarité » !

     

    Liviaaugustae

     

     


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    « Un livre est une fenêtre par laquelle on s'évade »

     

    Julien Green

     

     

     

    Au début de la vie...

    Augusta faisant la lecture à sa fille

     

    Mary Cassatt

     

     

     

     

     

     

     

    « Au début on ne lit pas. Au lever de la vie, à l'aurore des yeux. On avale la vie par la bouche, par les mains, mais on ne tache pas encore ses yeux avec de l'encre. Aux principes de la vie, aux sources premières, aux ruisselets de l'enfance on ne lit pas, on n'a pas l'idée de lire, de claquer derrière soi la page d'un livre, la porte d'une phrase. Non c'est plus simple au début. Plus fou peut-être. On est séparé de rien, par rien. On est dans un continent sans limites et ce continent, c'est vous, soi-même. Au début il y a les terres immenses du jeu, les grandes prairies de l'invention, les fleuves des premiers pas, et partout l'océan de la mère, les vagues battantes de la voix maternelle. Tout cela est en vous, sans rupture, sans déchirure. Un espace infini, mesurable. Pas de livre là-dedans. Pas de place pour une lecture. D'ailleurs les enfants ne supportent pas de voir leur mère en train de lire. Ils lui arrachent le livre des mains, réclament une présence entière, et non pas cette présence incertaine, corrompue par le songe. La lecture entre bien plus tard dans l'enfance. […]

     

     

     

     

     

    […] C'est un mystère la lecture. Comment on y parvient, on ne sait pas. Un jour on reconnaît le mot sur la page, on le dit à voix haute, et c'est un bout de Dieu qui s'en va, une première fracture du paradis. On continue avec le mot suivant, et l'univers qui faisait un tout ne fait plus rien que des phrases, des terres perdue dans le blanc de la page. […]

     

     

     

    Parfois il se passe quelque chose, pour quelques-uns, moins nombreux. Ceux-là sont les lecteurs. Ils commencent leur carrière à l'âge où les autres abandonnent : vers huit neuf ans. Ils se lancent dans la lecture et bientôt n'en finissent plus, découvrent avec joie que c'est sans fin... Ils liront jusqu'au soir de leur vie en s'en tenant toujours là, au bord de la première découverte […]

     

     

     

    Christian Bobin (Extrait de : La petite robe de fête)

     

     

     

     

     

     

     

    Les premiers pas en lecture, guidés par Christian Bobin.

     

    Si vous êtes des lecteurs assidus, ce dont je ne doute pas, car le plaisir d'écrire accompagne toujours le plaisir de lire, vous aimerez ce livre !

     

    Liviaaugustae

     

     


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    Quelques unes d'entre vous ont répondu à mon article sur le symbole de la France, à savoir : le coq !

     

    Symbole que je trouve dérisoire lui préférant l'aigle impérial de Napoléon.

     

    L'image du coq gentil est complètement erronée, le coq est combatif !

     

     

     

    Coq ou aigle ?

    Combats de coqs...

     

     

     

     

     

    […] Il ne fut pas accepté par les rois qui lui préféra la fleurs de lys mais il fut réinitialisé par les révolutionnaires, de nouveau abandonné par Napoléon qui choisit l'aigle pour représenter la France. Après une période d'éclipse, « les Trois glorieuses » de 1830 rétablirent l'image du coq français et Louis-Philippe, signera une ordonnance indiquant que le coq devait figurer sur les drapeaux et les boutons d'uniformes de la garde nationale.

     

    L'aigle impérial retrouve sa place avec Napoléon III signe de l'Empire.

     

    Après cela le coq ne retrouva jamais une véritable autorité au niveau politique, on ne peut trouver que des références éparses […]

     

     

     

    (Texte wikipédia)

     

     

     

     

     

     

     

    Petite fille, j'ai faillit être lacérée par un coq chez mes grands parents, il était énorme, aussi grand et gros que moi, il s'évadait souvent de sa cage, il fallut quatre hommes pour le maîtriser, après lui avoir assené un coup derrière la tête !

     

    Par contre je n'ai jamais rencontrer d'aigles qui voulaient me faire la peau !

     

    Beaucoup plus tard, (en Guadeloupe comme dans toutes les Antilles petites et grandes) les combats de coqs sont pratiqués, parti en balade avec des amis, ils ont voulu aller assister à un combat de coq, j'y ai été moi aussi forcément.

     

    Entre les vociférations des coqs, ceux de leurs propriétaires et les rugissements des spectateurs, l'odeur du sang, de sueur, et d'alcool, ce fut une rude épreuve de laquelle je ressortie complètement écœurée.

     

     

     

    Coq ou aigle ?

    Combats de coqs mosaïque romaine

     

     

     

     

     

    Je déteste les coqs !

     

    Et c'est sans doute pour ses velléités combatives et meurtrières que les révolutionnaires l'ont adopté !

     

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     


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    Jeudi 14 Juillet 2016...

     

     

     

    Les débuts du coq...

    Le coq tricolore

     

    (image internet)

     

     

     

    Le coq apparaît dès l’antiquité sur des monnaies gauloises.

     

    Il devient le symbole de la Gaulle et des gaulois à la suite d’un jeu de mot, le terme latin « gallus » signifiant à la fois coq et gaulois.

     

    Cependant le coq reste avec les rois un emblème mineur. C’est la révolution (encore elle) qui va en faire un symbole…

     

    Napoléon le refuse, et déclare : «le coq n’a point de force, il ne peut être l’image d’un empire tel que la France ! »

     

    Il choisit à la place « l’aigle impériale ».

     

    Mais lors de la révolution de 1830, l’imagerie populaire s’empara du coq à nouveau, et en fit un symbole.

     

    (Aujourd’hui le coq est le symbole de la France, principalement lors de rencontres sportives).

     

     

     

     

     

    Pourquoi la France n'a-t-elle pas garde l’aigle impériale de Napoléon ?

     

    C'est un oiseau qui a quand même plus d'allure que ce volatil que nous exhibons et dont la place à mon avis est à la basse-cour !

     

    Liviaaugustae

     

     


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    Le principe d'Archimède :

     

     

     

    « Tout corps plongé dans un fluide reçoit de la part de celui-ci une poussée verticale, dirigée de bas en haut, égale au poids du volume de fluide déplacé. »

     

     

     

     

     

    Ci-dessous de beau corps plongés dans un non moins beau fluide...

     

     

     

    Une coutume favorite (1909)

     

    Laurence Alma Tadema

     

     

     

     

     

     

     

    Eurêka !

     

    « J'ai trouve ! Est un exclamation marquant le moment d'une découverte ou d'une idée de génie. »

     

     

     

    Le mot « eurêka » a pénétré la langue français à travers une longue histoire qui est raconté à propos du philosophe et mathématicien Archimède.

     

    Et selon cette histoire, Archimède cherchait un moyen de mesurer le volume d'objets irrégulier parce que le roi Hieron de Syracuse suspectait son forgeron de rajouter secrètement, du métal ordinaire à sa nouvelle couronne en or.

     

    L'idée frappa Archimède lorsqu'il remarqua que le niveau de l'eau de son bain montait quand il y pénétrait,et descendait quand il en sortait. Le volume d'eau déplacé correspondait exactement au volume de quiconque, ou de quoi que ce soit, entrait dans le bain.

     

    Quand Archimède eut cette révélation , il s'exclama « heureka ! » (ce qui veut dire en grec ancien : « J'ai trouvé ! », il sauta hors de son bain et courut, nu et trempé, à travers les rues de la ville.

     

    En mettant la couronne suspecte dans un seau d'eau, il pouvait obtenir une mesure exacte de son volume, et ainsi du poids qu'elle devait faire si elle était en or massif.

     

    Depuis lors, les savants et les mathématiciens qui font des découvertes suivant l'exemple d'Archimède s'écrient : « Eurêka !» , mais ils ne courent heureusement pas nus dans les rues des villes !

     


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