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    31 décembre 2018

     

     

     

    La Saint Sylvestre

     


    « 
    Un beau jour, l’avenir s’appelle le passé. C’est alors qu’on se retourne et qu’on voit sa jeunesse ».

     

    Louis Aragon

     

     

     

    La Saint Sylvestre...

    Cotillons et serpentins pour la fête...

    (image internet)

     

    Le temps a passé et la boucle est bouclée, nous disons adieu à l'année 2018 qui s'en va et qui se perd... Dieu seul sait où !

    Joyeux réveillon à vous tous

    Livia

     


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    Pause...

     

    Mon bouquet de houx

     

     

     

     

     

    Blog en pause pour la fête de Noël en famille

     

     Je vous souhaite un beau et joyeux Noël.

     

    A bientôt

     

    Liviaaugustae

     


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    Lundi 24 Décembre 2018      
    

    «Noël, c'est la veille, c'est l'attente »

     

    Georges Dor

     

     

     

    Ce soir, c'est  Noël.
    Dans la crèche, Joseph, Marie, l'âne et le bœuf, attendent,
    A minuit, Jésus naîtra.




     

    L'attente...

    
    Ma crèche cette année
    
    « Dans une étable obscure,
    Sous le ciel étoilé
    Et d'une Vierge pure,
    Un doux Sauveur est né.
    (Chant de Noël du XVII siècle)



     

    L'attente...

    
    Les anges musiciens sont là comme tous les ans 
    Dans le fond la famille de Jean Santon se rend à la crèche.



     

    L'attente...

    
     Le sapin, brille de toutes ses guirlandes et ses boules dorées.
    (pas de véritable malheureusement cette année) 



     

    L'attente...

    
    A ses pieds, les présents aux jolis papiers de couleur, 
    Ils seront mis en pièces par de petites mains impatientes.



     

    L'attente...

    
    Et la table dressée pour le festin de Noël attend les convives.
      Ce sont les deux aspects festifs... et un peu païen de la fête de Noël, mais les cadeaux entretiennent l'amitié et soudent l'amour des familles autour d'un bon repas. Livia   « J'aime Noël grâce aux anges ailés dans le ciel et, à l'âne et au bœuf, les pattes sur terre. Les uns claironnent la gloire de Dieu quand les autres admirent en silence, le Mystère de la Vie. J'aime Noël grâce à Marie, heureuse mère au milieu de la nuit. Elle contemple l'Enfant dans son berceau de terre et de foin. Il fallait être Dieu pour être aussi puissant et simple. Frère Thierry Hubert



     


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    Regard sur l'art chrétien...

     

    Aujourd'hui, nous avons allumé la quatrième et dernière bougie de l'Avent.

     

    (image internet)

     

     

     

     

     

     

     

    Comme Noël n'est plus que dans deux jours, je vous offre aujourd'hui, une Nativité splendide du Moyen-Âge, peinte par Guido da Siena et expliquée magistralement comme toujours par Marie-Gabrielle Leblanc.

     

    Livia

     

     

     

    Regard sur l'art chrétien...

    La nativité de Guido da Siena.

     

     

     

    Guido da Siena (Guy de Sienne) est le peintre le plus connu à Sienne au XIIIe siècle, ayant probablement vécu de 1230 à 1290 environ et très actif. Son nom en latinGuido de Senis figure sur la grande Vierge en Majesté « la Maestà » de l'église San Domenico de Sienne.

     

    Notre nativité, peinte, comme toujours à cette époque a tempera sur bois, est aujourd'hui au musée du Louvre, fit partie autrefois d'un retable réalisé entre 1275 et 1280 par Guido pour la Badia Ardenga, une abbaye romane du XIe siècle...

     

    Il existe deux grandes manières de représenter la naissance du Christ : l'orientale et l'occidentale.

     

    Guido, au tout début de la peinture italienne, est encore imprégné du schéma byzantin que l'on trouve non seulement en Orient jusque dans les monastères d'Egypte, mais surtout en Europe orthodoxe ainsi qu'en Italie au Moyen Âge.

     

    Si l'Occident, depuis le Moyen Âge, représente la Nativité dans un édifice ou une cabane en ruines qui figure la pauvreté de la naissance du Fils de Dieu, l'Orient, des premiers siècles à nos jours, la situe dans une grotte... En effet, le christianisme oriental considère que Jésus-Christ a successivement habité trois grottes, qui sont : le sein de sa Mère avant sa naissance, la grotte de Béthléem, et le sépulcre. Ici la grotte est en forme du sein maternel pour signifier l'Incarnation.

     

    Tout en haut apparaît un autre grand classique des icônes orientales : un demi-cercle bleu qui est la Lumière divine incréée, d'où se détachent un rayon de lumière et une étoile que nul n'avait encore jamais vue et qui s'arrête au-dessus de la mangeoire où est coché Jésus, enveloppé de bandelettes : Il est « Lumière, né de la Lumière, vrai Dieu, né du vrai Dieu ». Les bandelettes préfigurent le linceul du Christ, et la mangeoire de pierre son tombeau. Il est vrai Dieu et vrai homme. L'âne et le bœuf de la Tradition prophétisée par Isaïe, veillent sur Lui. Au-dessus de la Grotte, six anges adorent l'Enfant ; celui de droite parle aux deux bergers, habillés misérablement. Le troupeau est maigrelet ; deux brebis, une chèvre, gardées par un patit chien blanc famélique ? Ce sont vraiment des très pauvres qui vont adorer l'Enfant-Dieu les premiers.

     

    Zélémie et Salomé, les deux sages-femmes que Joseph est allé chercher à Bethléem, d'après l'évangile apocryphe dit Protévangile de Jacques – qui a tant inspiré l'art médiéval – procèdent au bain de l'Enfant.

     

    Joseph, assis à l'écart à gauche, est dans la position symbolique du sommeil, pour signifier qu'il n'a pas vu l'instant de la naissance virginale et qu'il n'est que la père nourricier...

     

    Marie-Gabrielle Leblanc

     

     

     

     


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    Et comme nous approchons de Noël, loin, très loin du commerce « bling-bling » qu'engendre la plus belle des fêtes chrétiennes, je vous propose cette belle histoire que j'ai lu avec beaucoup de plaisir, c'est le témoignage d'un combattant américain venu à Lourdes durant le pèlerinage international des militaires en mai 2018.

     

    Car les miracles à Lourdes ce n'est pas seulement la guérison des corps, mais aussi et surtout celle de l'âme, comme vous le verrez en lisant ce que dit cet homme blessé plusieurs fois au combat et resté handicapé avec l'âme en déroute.

     

    C'est vraiment une histoire magnifique digne de Noël !

     

    Livia

     

     

     

    Un miracle pour Noël...

    Vu sur KTO, la messe diffusée de cet événement.

     

     

     

     

     

     

     

    Des anciens combattants américains ayant participé au 60e pèlerinage militaire international annuel au sanctuaire marial de Lourdes en France, fin mai 2018, ont témoigné des grâces reçues lors de ce voyage. 

     

    Le major Jeremy Haynes, dont c’était la première visite à Lourdes, a expliqué : « Ce voyage a changé notre vie, à ma femme et à moi. Maintenant que la foi a été ajoutée à notre boussole, nous sommes déterminés à avancer. » Haynes a été blessé quatre fois en Afghanistan ; depuis il est paralysé. Ce fut  une période difficile pour lui. Il cherche également à guérir de blessures dans sa vie familiale.

     

    Il poursuit : « Comme la foi avait peu de place chez nous, ma vie de famille a été un désastre et le divorce était imminent. Après mes blessures j’ai sombré dans la dépression. Je suis un homme pécheur, mais Dieu m’a fait miséricorde en épargnant ma vie et en me permettant d'être présent à la naissance de mon fils. Ce pèlerinage m’a permis de purifier mon âme et de me rapprocher de ma femme. »

     

    Haynes s’était inscrit au voyage à Lourdes pour chercher la guérison « mentale, physique, spirituelle et émotionnelle ». Il se dit profondément honoré d’y être allé avec des militaires du monde entier : « Nous avons rompu le pain et prié, ensemble. Nous parlions des langues différentes, mais la foi nous a liés. »

     

    Un article de Zita Ballinger Fletcher le 28 mai 2018

     

     


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