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    Je vous invite à faire une balade au soleil de l'été en compagnie de plusieurs de nos grands peintres qui l'ont immortalisé.

     

     

    C'est l'été, partons en « Vacances » avec James Tissot...

     

     

    Toujours avec James Tissot, laissons-nous aller à la rêverie « En Bord de mer »...

     

     

    « Saint-Servan-sur-Mer l'église Sainte-Croix »

     

    Cette petite cité balnéaire d'Alexandre Miniac près de Saint-Malo nous offre le calme de son clocher et son air iodé

     

     

    L'été

     

    Une petite pause à l'ombre avec Monet

     

     

    Avant d'aller « déjeuner sur l'herbe » toujours en compagnie de Monet

     

     

    Au bord de l'étang à Giverny chez Monet pour admirer « Les Nénuphars »

     

     

    On peut aussi aller taquiner le poisson avec les «Trois bateaux de pêche » de Monet

     

     

    Ou encore aller se balader sur l'eau à « La Grenouillère » avec Auguste Renoir

     

     

    Mais on peut préférer avec Nicolas Poussin, se balader dans les champs en «Eté » dans lesquels les travaux vont bon train...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Regard sur l'art...

     

    Autoportrait

     

    Issue d’une famille bourgeoise de Montbéliard, Geneviève Gallois, née en 1888, est ballottée dès son plus jeune âge entre une mère très pieuse et un père anti-clérical. Adolescente sensible, elle se passionne rapidement pour l’art et le dessin et décide d’entrer à l’École des Beaux-arts de Montpellier. Elle poursuit son cursus à Paris et c’est là-bas, inspirée par l’effervescence de la capitale, que son talent va s’épanouir.

     

    Il s’avère, en effet, que la jeune fille est très douée et ses aptitudes se font vite remarquer. Attirée par le portrait satirique, elle commence à croquer ses premiers dessins humoristiques et s’applique à rechercher son propre style tout en s’inspirant de l’un des plus célèbres satiristes de l’époque, Toulouse-Lautrec.

     

    De 1911 à 1917, elle expose au Salon des dessinateurs humoristes et dans de nombreuses villes européennes. Mais celle qui était promise à un bel avenir voit sa vie changer radicalement du jour au lendemain. En proie à une crise spirituelle soudaine, Geneviève se convertit au catholicisme. Se sentant appelée à la vie monastique, elle délaisse sa carrière prometteuse et rentre au couvent. Elle rejoint en 1917 les bénédictines de la rue Monsieur à Paris. Elle a alors 29 ans.

     

    Décédée en 1962, Mère Geneviève Gallois laisse derrière elle une œuvre qui aura marqué son époque. Son succès était tel que de nombreux artistes venaient jusqu’au couvent pour la rencontrer, à l’image de l’artiste française Marie Laurencin, subjuguée par sa série d’eaux fortes, Via Crucis, relatant les dernières heures du Christ. Plus de cinquante après sa disparition, sa figure et ses œuvres continuent toujours de fasciner le milieu artistique comme en témoigne les nombreuses expositions qui lui sont consacrées. Si son entrée au couvent laissait imaginer la fin d’une grande carrière artistique et un retour à l’anonymat, force est de constater qu’elle aura eu, au contraire, tout l’effet inverse.

     

    Regard sur l'art...

     

    Chants

     

    Regard sur l'art...

     

    Ecritures

     

    Regard sur l'art...

     

    Lavage de patates

     

    Regard sur l'art...

     

    Portage de seaux

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Autoportrait

     

     

     

    Cecilia Beaux, née le 1er mai 1855 à Philadelphie, et morte le 7 septembre 1942 à Glouster (Massachusetts) est une artiste peintre portraitiste américaine, de style impressionniste.

     

    Son père est un peintre français et sa mère est américaine.

     

    D'abord élève de William Sartain, elle vient à Paris en 1889, où elle fréquente l'Académie Julian. Si, en 1891, elle retourne à New York où elle devient membre de la National Academy, elle n'en reste pas moins en contact avec la France puisqu'en 1902 elle est membre associée de la Société nationale des beaux-arts de Paris, où elle expose en 1913 et 1923.

     

     

    Twilight confidence

     

    (Confidence au crépuscule)

     

     

    Breton Girl

     

    (Fille bretonne)

     

     

    Sarita

     

     

    Dreamer

     

    (Rêveuse)

     

     

    Madame Robert Chapin et sa fille

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Après Europe enlevée par Zeus, je vous propose Clytie qui fut amoureuse du soleil.

     

    Le 5 février dernier je vous avais présenté les tableaux de Clytie amoureuse du soleil plusieurs peintres l'ont immortalisé, aujourd'hui je vous propose de splendides sculpture de cette même Clytie, dont l'histoire est raconté par Ovide dans ses Métamorphoses, c'est grâce à Clytie nous dit-il qu'est né le tournesol.

     

     

     

    Elle fut aimée du dieu Soleil – Hélios/apollon – mais fut supplantée par Leucothoé. Elle en référa alors au père de cette dernière, Orchamos, qui punit sa fille pour l'avoir déshonorée en l'enterrant vivante. Le dieu du soleil essaie de la secourir, mais en vain. Il arrose la terre et le corps de son amante d'un nectar parfumé : il en naît l'encens. Mais au lieu de permettre à Clytie de regagner l'amour d'Hélios, la mort de Leucothoé ne lui rapporta que le ressentiment de celui-ci.

     

    Désespérée, elle s'assit nue sur les rochers et y demeura durant neuf jours, sans eau ni nourriture, tournée vers le soleil, suivant du regard la course du char de son bien-aimé.

     

    Jaunie et brunie par son éclat, elle est changée en tournesol.

     

    Et c'est ainsi que le tournesol devint le symbole du soleil et de l'amour !

     

     

    Buste de Clytie

     

    Hiram Powers

     

     

    Clytie

     

    Johannes Benkum (1888)

     

     

    Clytie

     

    Joseph Stanisla Lescorné

     

     

    Clytie

     

    Villa Durazzo (Italie)

     

     

     

     

    Sculpture à Neue Kammern (Potsdam)

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Léon Jean Bazille Perrault est un peintre français, né le le 16 juin 1832 à Poitiers et mort le 6 août 1908 à Royan.

     

     

    Dehors dans le froid

     

     

    Mère et enfant

     

     

    La fille du bûcheron

     

     

    Cueilleuse de fruits

     

     

    Vendeuse de fleurs

     

     

    Petit ange dormant

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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