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Par Liviaaugustae le 20 Octobre 2010 à 17:13
Fin avril 1883, Claude Monnet et sa femme, Alice, acquièrent la maison de Giverny ils s’y installent définitivement avec leur huit enfants. Le peintre s’attachera toujours à créer dans cette demeure un cadre de vie, à l’image de ses toiles, et à offrir à ses hôtes des mets d’une grande qualité.
Ils instaurent là un certain art de vivre simple, on dirait aujourd’hui, un style !
Quelques irréductibles, ont réussi à maintenir, vaille que vaille, cette religion désormais impraticable du « fait maison ».
« Avec les débris du palais j’ai bâti ma chaumière. SULLY PRUDHOMME.
Dès l’entrée la maison est accueillante.
Les fameux nymphéas…Le jardin est la palette vivante de Monnet !
La porte sur le jardin, s’ouvre sur une profusion de fleurs de toutes les couleurs…
Le matin de bonne heure, Florimond apporte à Marguerite les légumes du jardin, commandés la veille.
Ainsi que des fleurs fraîchement coupées, qu’Alice transformera en bouquets pour garnir la maison.
Et c’est ici que Marguerite va concocter des bonnes recettes pour la famille et les très nombreux et illustres invités. Sacha Guitry, Dumas fils, Courbet et tant d'autres…
Les carnets de recettes de Monnet.
La table du dimanche, avec le couvert bleue de la Manufacture de Creil. Tous les jours, le repas est pris à 11 heures 30 précises.
Au centre de la table : une coupe bleue, pleine de jacinthes bleues…
Le jardin en hiver, la barque abandonnée…
La maison et le jardin au cœur de l’hiver. Au chaud à l’intérieur, tout le monde se prépare à la fête de Noël.
La table est parée pour la fête.
Le champagne Veuve Clicot est mis à rafraîchir dans des baquets plein de glace.
Puis, est servi dans des carafes de cristal.
Le jour de Noël est servi un célèbre foie gras truffé en croûte, commandé à Strasbourg.
Noël est la fête où l’art de Marguerite est mis à contribution : confiseries, chocolats et gâteaux « fait maison ».
Dès les beaux jours revenus, le thé est pris au jardin.
Les pâtisseries du goûter sont toujours très appréciées.
« S’enfuir dans un village pour en faire le centre du monde ! » JULES RENARD, journal.
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Par Liviaaugustae le 18 Août 2010 à 17:17
LA PROVENCE EST UN REVE BLEU… UN ROYAUME D’AROMES ET DE PIERRES CHAUDES.
Ambiance de Dimanche à la Campagne, à St-Rémy-de-Provence.
LA PROVENCE ET SES VIEILLES PIERRES.
Vestiges du Théâtre Romain Antique et son imposant Mur de Scène à Orange.
Vestiges de la cité Antique de Vaison-la-Romaine.
Les Arènes de Fréjus, pouvaient contenir jadis 10.000 spectateurs, servent aujourd’hui à d’autres jeux de cirque : corridas.
L’ancienne nécropole des Alyscamps en Arles.
Olivier dans un champ de lavandes.
Presque trop beau pour être vrai ce patchwork de teintes pastel, fait partie des miracles journaliers.
Un bonheur tranquille.
Le porche au rosier grimpant.
Une allée de platanes conduisant à un mas.
Et pour terminer, le moulin de Fontvieille tel que l’a immortalisé Daudet.
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