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    LE CHOCOLAT… UNE VRAIE PASSION !
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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    Un morceau de rêve… 
     
     
     
     
     
    « Je ne me souviens pas à quel âge j’ai donné le jour à mon premier gâteau au chocolat, mais je n’oublierai jamais l’excitation et la fierté avec lesquelles je l’ai présenté. »
     
    PAMELA ASQUITB : écrivain américain du XXe siècle.
     
     
     
    « Les bonbons au chocolat sont les meilleurs de tous.
     
    Noirs et sucrés, ils fondent sur la langue et nappent la bouche d’un velouté dont la volupté tient autant au goût qu’à la mémoire. »
     
    MARY GOODBODY : écrivain américain du XXe siècle.
     
     
     
    « Un péché affreusement nourrissant dont chaque cuillerée est une bénédiction : voilà la définition d’une bonne mousse au chocolat. »
     
    JULIA CHILD : chef cuisinier américain (née en 1912)
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LE CHOCOLAT… UNE VRAIE PASSION !
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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    Parlons truffes…
     
     
     
     
     
    « Les truffes sont les reines des confiseries »
     
    LORRAINE BODGER : écrivain américain du XXe siècle.
     
     
     
    « Les truffes allient la simplicité à la délicatesse la plus émouvante. »
     
    HILLARY WALDEN : écrivain américain du XXe siècle.
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LA CHOCOLATIERE…
     
     
     
     
     
     
    Si la qualité des fèves de cacao est un critère incontournable pour réussir un bon chocolat chaud, utiliser une véritable chocolatière pour le préparer permet sans nul doute d’atteindre le sommet de la volupté…
     
     
     
     
     
     
     
    
    
    
    
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    Une très jolie chocolatière, argent doré ciselé et manche en bois précieux…
     
    
     
     
     
     
    Quand on l’a essayée, on ne peut plus s’en passer !
    Il faut reconnaître qu’en plus de combler les papilles des gourmands, la chocolatière invite à un rituel de préparation qui, incitant à la patience, n’en procure que plus de plaisir.
    Au XVIIIe siècle, de superbes chocolatières en argent ciselé sont d’ailleurs réalisées par des artisans de grand talent pour orner les tables aristocratiques.
    Denrée rare et précieuse quand il arrive en Europe, le chocolat séduit les palais des princes avant de conquérir le peuple. Du coup dans les châteaux, il est parfois servi dans des chocolatières en or, véritables œuvres d’art !
    Puis, afin que cet ustensile très prisé devienne accessible à tous, sa fabrication se développe et se tourne vers des matériaux moins onéreux. On en trouve alors en porcelaine, en faïence, en étain, en cuivre ou en fer-blanc.
    Le récipient légèrement arrondi est toujours muni d’une poignée horizontale pour servir, d’un bec verseur et d’un couvercle percé dans lequel se glisse le moulinet. Ce dernier était souvent en bois, parfois en buis, d’une essence noble de préférence.
    Certaines chocolatières sont surélevées par trois pieds, ce qui permet de glisser un petit réchaud sous la base. Pour les autres, la cuisson au bain-marie est privilégiée puisqu’elle est souveraine pour exalter les saveurs du chocolat sans risquer de le brûler.
    Après que le chocolat chaud, généralement préparé la veille afin de le laisser reposer, ait été convenablement chauffé, on retire la chocolatière de sa source de chaleur afin de remuer la préparation. C’est là que réside le secret du véritable chocolat chaud : il faut faire tourner le moulinet rapidement entre ses mains afin de le faire « mousser ».
    Place maintenant à la dégustation !
    Fanny Courtiaud
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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    Chocolatière et son réchaud, ayant appartenu à l’épouse de Louis XV, la Reine Marie Leszczynska.
     
    Elle fut exécutée par Henri-Nicolas Cousinet en 1729 à l’occasion de la naissance du Dauphin.
     

     

     

     

     

    (Je possède une chocolatière, de plus modeste facture. Et c’est vrai ! Le chocolat préparé là-dedans, est tout simplement « merveilleux ». Je vais en refaire, quand les soirées seront trop froides… Et le chocolat, calme les nerfs, et aide à mieux dormir…)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    

     

     

     


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    L’ARRIVEE DU  CACAO EN EUROPE !
     
     
     
     
     
     
     
     
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    Cabosse sur un sac de fèves…
     

     

     

     

    En 1500, c’est le navigateur Fernand Cortez qui l’introduit à la cour d’Espagne. Pionnière en France, la Reine Marie-Thérèse, épouse de Louis XIV, essuya en son temps quelques moqueries des courtisans alors qu’elle dégustait son chocolat chaud, importé de sa patrie natale.

    A cette époque, la recette, bien différente de celle que nous connaissons, était complexe, à la fois très épicée et très sucrée. Aux grains de cacao, on mélangeait savamment de la rose, de l’anis, de la cannelle,  des amandes et des noisettes avant d’assaisonner au poivre mexicain. Et peu à peu, le cacao séduit toutes les cours européennes.

    Pour confectionner le chocolat, on exploite toutes les richesses produites par ses fèves, en extrayant la pâte et le beurre de cacao.

    Si les recettes sucrées sont les plus fameuses, le cacao exalte aussi les plats salés, grâce à son amertume subtile !

     

    Connu pour être l’ingrédient principal du chocolat, le cacao peut se targuer d’être l’épice la plus gourmande de la création !

    Grâce notamment au Hollandais Van Houtten qui fut le premier à le réduire en poudre, c’est aujourd’hui un incontournable…

    Fruit du cacaoyer, la cabosse peut contenir jusqu’à 75 fèves de cacao liées entre elles par une pulpe blanche. Sachant que chaque arbre produit une centaine de cabosses par saison, la récolté est généreuse ! De la famille des sterculiacées, le cacaoyer est originaire d’Amérique Centrale. Les Mayas et les Aztèques, qui dégustaient le cacao bien avant nous, le consommaient déjà en boisson en le mélangeant avec de l’eau et des épices.

    Les cabosses et les fèves servaient d’ailleurs de monnaie d’échange contre d’autres denrées.

    Après la fermentation des graines, ces dernières doivent sécher avant d’être décortiquées puis de nouveau séchées et enfin broyées au pilon. Tout est question de nuance puisque si elles sont trop sèches, elles s’émietteront et perdront une part de leur arôme. On les pilait autrefois dans un mortier en bois et en métal avant de les faire cuire dans des marmites en fonte.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    HYMNE A L’AUTOMNE !
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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    Dans un ancien pot en terre… Chrysanthèmes, Alkékenges, Piments, Sorbier, Lierre Dryandras et Protées…
     
     
     
     
     
    « Voici l’automne et ses matins clairs et frais. Les brillantes couleurs de l’été se sont ternies pour faire place aux tons dorés et chauds des feuilles qui tomberont bientôt en tourbillonnant […]
     
    L’air embaume de mille parfums : odeur de feuilles écrasées par les promeneurs, odeur du bois de premières flambées, parfum musqué des chrysanthèmes… […]
     
    Les sous-bois et les jardins sauvages proposent des feuillages d’une grande variété de couleurs chaudes où s’accrochent souvent des grappes de fruits très colorés. Comme le Sorbier avec des baies d’un rouges éclatant, le bouleau aux feuilles dorées la fougère grand aigle d’un beau jaune paille et les quelques dernières fleurs sauvages comme les Digitales, les primevères…
     
    MALCOM HILLIER : extrait de Les Quatre saisons des Bouquets.
     
     
     
     
     
    « Faites un bouquet ce matin pour parer votre journée.
     
    Faites-le avec les fleurs du jardin. Il n’a pas gelé jusqu’ici, il y en a encore et des plus magnifiques de l’année : les anémones blanches et mauves, les dahlias, les chrysanthèmes, des petits soleils d’or, les capucines, la dernière rose…
     
    Ou bien rapportez des champs quelques beaux feuillages en feu, les branches couvertes de baies des buissons d’automne. Un bouquet est une œuvre d’art. Composez-le avec joie de quelques menus gestes inspirés par votre grâce, votre élégance. »
     
    HOUVILLE : extrait de l’Almanach d’une jeune fille triste de Marie Noël.
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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