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    Je viens de lire cette effarante nouvelle, cette année la mairie gauchiste de Nantes a décidé de boycotter carrément Noël, ils veulent en faire, « une fête païenne multiculturelle » envers et contre tous, une gay pride est aussi organisée, c'est le petit cadeau de Noël de la mairie!

     

    Ils nous invitent donc à faire un «Voyage en hiver » !

     

    Ils se foutent vraiment de nous car toutes ces extravagances sont payées avec l'argent du contribuable, (on sait bien que les multiculturels ne payent rien) il y a de quoi s'énerver !

     

    J'espère de tout cœur que des hardis défenseurs de nos traditions vont s'égayer dans la ville afin de gâcher cette fête-là !

     

    Cet horrible voyage commence aujourd'hui pour se terminer le 7 janvier, un long voyage donc !

     

    Quel Noël en perspective pour les nantais ?

     

    La ville des Ducs de Bretagne va souffrir !

     

    Livia

     

     

     

    « Oh ! Quel farouche bruit dans le crépuscule. Les chênes que l'on abat… »

     

    Victor Hugo 

     

     

    Un Noël multicolore...pour un Noël multiculturel !

     

     

     

    Plus de Noël ! Juste un voyage en hiver, signé par la mairie socialo de Nantes et payé avec les sous des contribuables !

     

    On remarquera, qu'ils n'ont pas osé balancer le marché de Noël qui perdure à côté de « l'autre marché » on ne sait pas trop ce que c'est !

     

    Je ne sais pas trop à quoi m'attendre en ce Noël 2023, c'est l'année de tous les dangers pour L'Occident !

     

     

     

    «It’s the most wonderful time of the year…» Comme le dit la chanson, Noël est le plus beau moment de l’année. C’est la saison des retrouvailles en famille, des soirées de fête, des dîners pantagruéliques, des cadeaux qu’on offre et qu’on reçoit. C’est aussi la période des illuminations, décorations et autres ornements scintillants installés dans l’espace public. À ce petit jeu, certaines municipalités ont su se distinguer par leur inventivité. On se souvient du «Fantastique décembre » inscrit en lettres d’or dans les rues de Besançon en 2021 pour éviter d'écrire Noël ou encore du fameux sapin en verre et acier au prix pharaonique de quatre tonnes disposé la même année sur la place de la cathédrale à Bordeaux.

     

    Cette année, c’est Nantes qui semble avoir pris une longueur d’avance avec son audacieux programme baptisé Le Voyage en hiver

     

    Voyage en Absurdie

     

    Les grandes lignes du programme ont été dévoilées par la mairie socialiste - Johanna Rolland a été réélue en 2020 à la tête d'une coalition PS, EELV, PCF - et, comme le détaillent nos confrères d’Actu Nantes, c'est du lourd. Exit, tous les codes classiques de Noël ! À Nantes, le mot d’ordre, c'est la « créativité » : « 35 façades seront illuminées, annonce Amélie Evrard, chargée de la production artistique du projet. Le registre chromatique est loin du rouge et du vert de Noël. On sera plutôt dans des tons pastel. Mais ce sera très aléatoire, il n'y aura pas de logique. On passera d'un bâtiment rose à une façade arc-en-ciel.» La Gay Pride en plein mois de décembre ? Créatif, en effet !

     

    Oubliez aussi les chants traditionnels ringards. La chorale Y Birds a été dépêchée pour proposer des « temps musicaux » modernes. « Il y aura seulement un ou deux morceaux liés à Noël, le reste sera "feel good" et pop », prévient-on. Et, puisqu’il ne faut jamais manquer une occasion de démonter nos satanés stéréotypes de genre, le vieux père Noël sera, cette année, remplacé par une mère Noël, autrement plus tendance, habillée en jogging et accrochée dans les hauteurs du quartier historique de Nantes. De quoi mettre des étoiles dans les yeux de vos enfants !

     

    Côté restauration, enfin, préparez-vous à un voyage gustatif loin, très loin des sommets français enneigés avec, au menu, de délicieuses spécialités afghanes et mongoles, ainsi qu’une halle à tapas éphémère. Tellement mieux que les sempiternels vins chauds et bretzels

     

    Objectif: déconstruction

     

    Il s’en trouve cependant pour critiquer ce programme alléchant. «Plein de choses horribles, moches, pas de magie de Noël!», se plaint un rabat-joie, sur X. Encore un zemmouriste, à coup sûr... « Mais pourquoi les décorations de Noël ont laissé place à des décors pour perchés à l'acide ? », ose un autre, manifestement insensible à toute forme d’art contemporain.

     

    « Parce qu’au XXIe siècle, l’esprit de Noël est multiculturel, répond avec beaucoup d’à-propos le compte officiel de la ville de Nantes. Il n’est plus unique mais laisse la place à toutes les confessions ou non-confessions. Parce que ces moments féeriques devraient rassembler tout le monde sous le même drapeau de la créativité. » Une réponse tellement politisée et faisant fi de ce que les gens, même déchristianisés, attendent de Noël que, finalement, la mairie l'a rapidement supprimée ! La réponse aurait pu être « mal interprétée, voire instrumentalisée», à un moment « où nos concitoyens ont besoin d’apaisement et de rassemblement », explique la ville. Sur X, les Nantais ne se sont pas laissés prendre, dénonçant la volonté de « déconstruction » de la mairie socialiste.

     

    Jean Kast

     



     

    Ceci est l'œuvre d'un... multiculturel !

     

     

    Incendie de la Cathédrale de Nantes.

    (image internet)

     

     


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    Les chiens guides d’aveugles seraient – d'après une nouvelle que j'ai lue – bientôt remplacés par des robots ???

     

    On essai par tous les moyens de déshumaniser notre monde, voilà aujourd'hui dans la ligne de mire des docteurs Folamour des robots chiens pour les aveugles – qui parleraient et seraient à les entendre – d'une intelligence supérieure à nos braves toutous !

     

    Mais, ces robots-là, feront-ils des léchouilles et des câlins à leurs maîtres pour leur montrer leur attachement et leur fidélité ?

     

    Se coucheront-ils le soir sur les pieds fatigués de leurs maîtres afin de leur apporter la chaleur de leur corps et leur amour de toutou ?

     

    Je ne le pense pas et si j'étais aveugles je garderai mon toutou en chair et en os.

     

    Livia

     

     

    Un brave toutou, tout marri d'être abandonné...

     

    (image internet)

     

    Des chercheurs ont mis au point des robots qui pourraient détecter plus de choses que les chiens guides d’aveugles.

     

    Les chiens sont des animaux pleins de ressources et étonnant par l'aide qu'ils sont capables d'apporter à l'homme. L'une des plus belles preuves que ces compagnons sont bel et bien les "meilleurs amis de l'homme" reste peut-être leur capacité à guider les personnes malvoyantes. 

     

    Chaque année, ce sont 220 chiens guides qui sont remis aux déficients visuels selon la Fédération des associations de chiens de guides d'aveugles.

     

    Mais les chiens aidants pourraient bientôt être remplacés par... l'intelligence artificielle. Des chercheurs de l’université américaine de Binghamton ont mis en place des robots prenant la forme de quadrupèdes canins pouvant être tenus en laisse.

     

    Un chien parlant

     

    Surtout, le fait d'utiliser un chien robot permettrait de le doter... de la parole. C'est la prochaine étape visée par les scientifiques. "La désobéissance intelligente est également une capacité importante. Par exemple, si je suis malvoyant et que je dis au chien robot de traverser la route alors qu’il y a des voitures, nous voulons que le robot le comprenne. Nous devrions ignorer ce que l’utilisateur veut dans cette situation" explique le professeur.

     

    Le but ? Permettre au chien de prévenir son utilisateur lorsque ce dernier emprunte des chemins irréguliers mais aussi de lui indiquer plusieurs points importants, comme des lieux publics ou encore... son domicile.

     

    Hugo Romani

     


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    Connaissez-vous le "foodpairing" ?

    J'ai découvert cette horreur culinaire au cours d'une lecture, cette nouvelle mode culinaire me déconcerte, vont-ils servir des escargots au chocolat, des huîtres à la pâte d'amande ou d'autres petites gâteries du même acabit ?

    Après la musique, l'art, la littérature, le cinéma, la langue, voilà qu'aujourd'hui ils s'attaquent à la cuisine un des fleurons de la France !

    Pour ma part, je laisserai ce «foodpairing» aux iconoclastes et aux bobos toujours en quêtes de nouveautés, je garderai précieusement les recettes de ma grand-mère et de ma mère pour régaler ceux que j'aime.

    Décidément ils ne savent plus qu'inventer pour détruire tout ce qui fit notre pays !
    Livia

     

     

    Les plaisirs de la table...

    (une de mes tables lors d'un repas de Noël, avec les enfants)

     

    Chocolat et escargot : qu’est-ce que le foodpairing, cette nouvelle tendance gastronomique insolite ?

    Si vous êtes d'humeur aventureuse en cuisine, voici une tendance qui devrait vous plaire et que vous avez peut-être déjà testée... Mais peut-on vraiment associer n'importe quels aliments entre eux ? Découvrez les subtilités du "foodpairing".

    Du chocolat et de l'oignon réunis dans un même plat... une alliance de saveurs qui ne vous attire pas ? Vous avez tort si l'on en croit le "foodpairing". En effet, selon la science, les deux feraient "la paire". Quelle est donc cette nouvelle tendance qui semble relever davantage de l'expérimentation plutôt que de la gastronomie ?

    De surprenantes combinaisons gastronomiques

    Si deux ingrédients partagent une seule molécule d'arôme de base, ils peuvent alors parfaitement s'accorder, considère la science. Une curieuse association sur laquelle a décidé de miser Heston Blumenthal, ( ce monsieur est un cuisinier anglais, on comprend mieux tous ces mélanges antinomiques) précurseur de la cuisine moléculaire. Ce chef est l'une des superstars de la gastronomie britannique et s'est fait connaître pour ses combinaisons gastronomiques pour le moins surprenantes. Porridge à l'escargot, crème glacée au crabe... Voilà le type de mets que l'on peut découvrir dans son restaurant trois étoiles, le Fat Duck, implanté à Bray, dans le Berkshire, à l'ouest de Londres.

    "Le goût perçu s'explique par l'activation chimique de récepteurs gustatifs. Deux aliments, dont la composition moléculaire se ressemble, produiront donc des actions voisines de nos récepteurs", détaille Thierry Marx sur France Info. Le célèbre chef étoilé s'est d'ailleurs associé à Raphaël Haumont, directeur du Centre français d'innovation culinaire, à l'université de Paris-Saclay, pour en faire un livre de cuisine : L'Atlas des saveurs.

    Le foodpairing (presque) à portée de tous

    Si vous ne souhaitez pas vous plonger dans de longues études chimiques, il existe des logiciels d'intelligence artificielle qui peuvent vous aider à faire la parfaite combinaison de saveurs, rapporte Europe 1. Une plate forme analyse les molécules qui compose les ingrédients pour savoir si une association est possible. Il paraîtrait que de nombreux chefs y auraient recours afin de composer leurs cartes...

    Si vous pensez que cela suffira à faire de vous un grand chef, vous risquez d'être déçu... "La chimie est un outil supplémentaire. La science est là pour nous aider, mais seulement aider. Il faut garder le sensible, et parfois une part de mystère", souligne Thierry Marx. L'association de deux aliments nécessite un certain équilibre... C'est là qu'intervient le fameux savoir-faire du chef ! (on se passerait bien du savoir faire de celui-là ! Livia)

    Marine Girard


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    La Cancel culture et le wokisme ont  encore frappé !

     

    Je viens de lire deux effarantes nouvelles...

     

    Voilà que Saül, l'oratorio de Haendel, écrit en 1739, est interdit à Cambridge, sous prétexte que des faits similaires et frappants dans la crise à Gaza et en Israël apparaîtraient dans cet oratorio !

     

    On croit rêver !
    Mais quand on veut tuer son chien, ne l'accuse-t-on pas de rage ?

     

    Si Haendel revenait, il resterait sûrement sans voix devant la c......e qui règne de nos jours !

     

    Livia

     

     

    Georg Friedriche Haendel

     

    Blathazar Denner

     

     

     

    Les 26 et 28 octobre, la société d’opéra de l’université de Cambridge (CUOS), gérée par des étudiants en musique encadrés par des universitaires, avait programmé 2 représentations de Saül, un oratorio de Georg Friedrich Haendel, dans la chapelle du Collège Emmanuel.

     

    Mais à quelques jours des représentations, Beth Norman, la présidente de la CUOS, a annoncé leur annulation en raison de la « situation politique sensible actuelle au Proche-Orient et de l’escalade malheureuse de la crise humanitaire à Gaza et en Israël» et de parallèles « frappants » que suggère l’œuvre du grand compositeur allemand.

     

    L’oratorio, composé en 1739 par Haendel, raconte la fin de la vie de Saül, premier roi d’Israël, et l’ascension de son successeur, David. La pièce lyrique débute par la célébration de la victoire du futur roi d’Israël contre Goliath et les Philistins. Les Philistins qui, selon certaines études, composaient la majorité de la population qui vivait il y a 3000 ans dans la bande de Gaza. La Palestine serait donc le pays des Philistins.

     

    Une thèse contestée, notamment par David Albulafia, historien au Collège Gonville et Caius (un des 31 collèges de l’université de Cambridge), qui a déclaré au Telegraph que les Philistins étaient plus probablement des Grecs mycéniens qui ont peu de rapport avec les Palestiniens arabophones actuels.

     

    Sur le plan purement culturel, Robert Tombs, professeur émérite d’histoire au St John’s College de Cambridge, se dit « triste et halluciné » par cette décision. Pour cet historien « Annuler une œuvre du XVIIIe siècle basée sur la Bible semble un exemple plutôt extrême de cancel culture, pour ne pas dire plus !».

     

    Philippe Gault

     

     

    Les oiseaux, quand à eux, de gré ou de force, et je penche pour le deuxième choix, vont changer de nom sous l'impulsion des wokistes.

     

    Ses oiseaux se sont-ils plaints de porter des noms de blancs ??? On le saura jamais !

     

    Toujours est-il que la société d'ornithologie (AOS), va les débaptiser car ceux dont ils portent le nom étaient de vilaines personnes à les entendre !

     

    J'ai un livre avec tous les dessins de Monsieur Audubon, ce sont de merveilleux dessins dont fait partie celui ci-dessous.

     

    Livia

     

     

    Le pauvre Audubon’s Shearwater...

    (dessin de John James Audubon)

     

    (image internet)

     

     

     

    Les wokistes américains, non seulement osent tout, mais, de plus, semblent ne jamais prendre de vacances. Ainsi, la Société américaine d’ornithologie (AOS), qui n’a sûrement que ça à faire pour occuper ses journées, vient-elle de décider, ce mercredi 1er novembre, de rebaptiser une centaine d'oiseaux. À raison de dix par an, voilà qui devrait prendre du temps.

     

    Pourtant, alors que la planète n’est pas au mieux de sa forme, entre conflit russo-ukrainien, menaces de guerre entre la Chine et Taïwan et Proche-Orient au bord de l’embrasement, il est vrai qu’urgence il y avait. D’ailleurs, même les principaux intéressés bouillaient d’impatience.

     

    Imaginez l’angoisse de l’Audubon’s Shearwater de porter le nom de John James Audubon, certes l’un des plus grands ornithologues yankee, mais farouchement opposé à l’abolition de l’esclavage: cet oiseau marin n’en dormait plus depuis des décennies.

     

    Idem pour le Gobe-mouche de Hammond, lui aussi au bord du « nervous breakdown », puisque tirant son patronyme pourtant élégant de la figure de William Alexander Hammond, chirurgien du XIXe siècle qui considérait alors que « les Noirs étaient des êtres inférieurs ». Même punition, même motif pour le Longpur de McCown, qui aurait bien eu besoin d’une cellule de soutien psychologique pour être condamné à porter le nom du général confédéré John Porter McCown.

     

    Une ornithologie trop blanche et patriarcale

     

    Heureusement pour eux, ces volatiles auront tout de même le droit de conserver leur appellation latine; ce qui tombe à point nommé pour un Audubon’s Shearwater, à condition toutefois que ce dernier soit polyglotte. Pour justifier sa démarche, l’AOS excipe du fait que la majeure partie des ornithologues concernés sont des «hommes blanc». Il est vrai qu’à l’époque, leurs confrères noirs devaient être rares.

     

    De même, l’ornithologie de l’époque semblait être assez patriarcale, au grand dam de cette association. À l’exception, toutefois, d’une certaine Lucy ayant donné son nom au Lucy’s Warbler - Paruline de Lucy, in French. On espère seulement pour cette dame qu’elle n’a pas fricoté de trop près avec le Ku Klux Klan dans sa jeunesse.

     

    Ces choses dites, on ne peut que déplorer le manque d’ambition de ces guerriers des temps modernes, tant il reste de choses à faire, encore plus importantes. Un seul exemple? Titi et Gros minet. Titi? Un canari. Mais pourquoi cette petite taille et ce teint jaune? La nanophobie n’est pas loin; l’appropriation culturelle non plus. Pour bien faire, un acteur asiatique à verticalité contrariée aurait été plus approprié. Mais la doublure en dessin animé de Jackie Chan n’était peut-être pas libre à l’époque. Quant à Sylvestre, le Gros minet en question, pourquoi cette grossophobie sournoise et ce poil si noir qu’il tend à nous rappeler les heures les moins lumineuses de notre Histoire? Là encore, un modèle idoine aurait été sûrement plus adapté: Fats Domino, pour ne citer que lui.

     

    Pour tout arranger, Friz Freleng, créateur de ce duo infernal, a longtemps travaillé pour un Walt Disney à la sulfureuse réputation conservatrice (pas l’ombre d’une seule drag-queen chez les sept nains) dont les œuvres sont en train d’être retravaillées pour plus de moralité: baiser non consenti de la Belle au bois dormant, administré de force par son prince, pour ne citer que ce seul exemple évidemment nuisible pour notre belle jeunesse.

     

    Même Obama s'inquiétait

     

    Déjà, en 2021, l’ancien président Barack Obama s'était ému de l’énergie de ces vautours partis faire la chasse au coucou, regrettant que tout cela puisse se transformer en «injonctions», tout en rappelant «qu’on ne saurait être parfait en toutes choses et en toutes circonstances». On ne saurait mieux dire. En revanche, nos limiers en matière de noms d’oiseaux sont, eux au moins, « parfaits » en « toutes circonstances et toutes choses », dès lors qu’il s’agit d’apporter de plus en plus de ridicule en une période de moins en moins joviale.En attendant, il ne reste plus qu’à espérer que le coq gaulois puisse dire, haut et fort et une fois pour toutes, le mot de Cambronne à toute cette volaille qui, sous couvert de progressisme, renoue avec les grandes heures du puritanisme d’outre-Atlantique. Mais restons courtois : pas de noms d'oiseaux dans ces colonnes !

     

    Nicolas Gauthier

     

     

     

     


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    Au cours d'une lecture j'ai pris connaissance de cette nouvelle ahurissante !

     

    Après un long procès, les libres-penseurs ont finalement obtenu par décret du tribunal de Nantes le droit de déménager la statue de saint Michel sise aux Sables-d'Olonne, qui paraît-il était une provocation à la laïcité !

     

    Alors que nos statues, nos crèches et nos calvaires dérangent beaucoup de monde, les foulards, les mosquées, etc, qui pullulent sur notre territoire ne dérangent personne !

     

    Livia

     

    Après bien des péripéties et au prix d'une longue bataille judiciaire, la statue de saint Michel aux Sables-d'Olonne (Vendée) a finalement été déplacée jeudi 28 septembre (c'était justement la fête de saint Michel) pour atterrir quelques mètres plus loin, sur un espace privé appartenant à la paroisse.

     

     

     

     

    Elle est désormais encore plus visible. (mais sur un terrain privé, ils ne peuvent plus rien dire) La statue de l'archange saint Michel, installée en 2018 sur la place du même nom aux Sables-d’Olonne, a été déplacée ce jeudi 28 septembre. Une soixantaine de personnes étaient réunies pour assister à la levée de la statue, parmi lesquelles le maire et ses plus proches collaborateurs et quelques fidèles de la paroisse Sainte-Marie. Pour la retirer de son emplacement initial, des ouvriers ont pris les empreintes de la statue la veille, avant de la soulever au moyen d’un chariot de manutention. «C’était un moment joyeux et marquant pour nous tous, tout le monde a applaudi une fois la statue réinstallée», confie à Aleteia le père Nouwavi, prêtre de la paroisse Sainte-Marie des Sables.

     

    Saint Michel n’a pas dit son dernier mot

     

    Le choix de la date n’est pas anodin : vendredi 29 septembre, l’Église fête en effet saint Michel et les autres archanges. Une messe aura donc lieu à 18h30 en l’honneur du Prince des milices célestes à l’église Saint-Michel, et à l’issue de la messe anticipée du samedi soir, Mgr François Jacolin, évêque de Luçon, viendra bénir la statue. «C’est un véritable soulagement de savoir que la figure de saint Michel restera aux Sables-d’Olonne. C’est une solution qui tient compte de la volonté des Sablais de conserver ce symbole au cœur de leur ville et qui permet, en plus, de le rendre plus visible. Nous avons le sentiment d’avoir fait notre devoir», soutient encore le père Nouwavi, avant d’ajouter, l’air entendu : «Tout cela a sûrement été possible grâce à un petit coup de pouce de saint Michel.»

     

    Ladite statue était au cœur d’une polémique depuis 2021 quant à sa place dans l’espace public. La Fédération de la Libre-Pensée de Vendée avait en effet poursuivi la municipalité sur le motif de la violation de l’article 28 de la loi de 1905, qui interdit l’installation de signes et emblèmes religieux dans l’espace public. Elle exigeait ainsi le retrait de la statue, ce qu’elle avait obtenu par décision de justice : le 7 avril 2023, au terme d’une longue bataille judiciaire, le Conseil d’État avait ainsi statué en faveur d’un tel retrait, confirmant en dernière instance les arrêts du tribunal administratif et de la Cour d’appel de Nantes.

     

    C’est finalement la paroisse qui a trouvé la solution en offrant une parcelle privée pour y déplacer l’archange terrassant le dragon.

     

    Cécile Séveirac (Alétéia)

     


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