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    Au détour des pages d'une de mes revues d'art, j'ai découvert ce peintre roumain, ses tableaux m'ont tout de suite séduite.

     

    On le dit célèbre pour ses paysages et ses natures mortes, mais je trouve ses portraits très beaux également.

     

     

    Autoportrait

     

    Ștefan Luchian (1er février 1868 – 28 juin 1916) est un peintre roumain, célèbre pour ses paysages et ses natures mortes, l'un des principaux fondateurs de la peinture roumaine moderne.

     

     

    Lica avec l'orange

     

     

    Portrait de Dame

     

     

    Lorica avec les chrysanthèmes

     

     

    Les anémones

     

     

    La lavandière

     

     

     

    Stefan Luchian

    La petite bergère

     

     

    La prairie près de la rivière

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Vendredi 8 mars 2024

     

    Journée mondiale de la Femme !

     

     

     

    Femmes dans la bulle du 8 mars...

     

    (image pixabay)

     

     

     

     

     

    Comme tous les ans à cette date, c'est la journée consacrée à...la femme !

     

    Si on vous pose la question : la journée du 8 mars a-t-elle une importance pour vous qui êtes une femme ?

     

    Que répondrez-vous ?

     

    Les femmes ont-elles vraiment besoin d'une journée décidée à l'échelle mondiale, pour savoir qu'elles existent et qu'elles sont importantes ?

     

    Personnellement, je ne le pense pas, je ne me sens donc pas concernée par cette journée-là, étant femme à plein temps toute l'année !

     

    Pas plus d'ailleurs que par la journée des grands-mères, qui fait double emploi avec la fête des mères.

     

    Les femmes ont donc leur journée, comme les baleines ont la leur, mais comme le dit si bien Madame Cluzel : « Je ne voudrais pas que la femme, elle aussi, soit posée sur l'étagère des causes perdues » ! car malgré cette journée spéciale pour les baleines, les pauvres baleines ne se portent pas mieux, et les forêts qui ont aussi leur journée brûlent tous les ans.

     

    Quelques journées mondiales pour le mois de mars, un peu tout et n'importe quoi !

     

    Le 10 mars, journée mondiale du pyjama, tout le monde va pouvoir se balader en pyjama!

     

    Le 12 mars c'est la journée contre la censure sur internet, je suis pour cette journée là, si seulement elle changeait vraiment quelque chose !

     

    Le 20 mars c'est leur journée mondiale - on va faire la fête, pas à tous les oiseaux - seulement aux moineaux !

     

    Le 24 mars journée mondiale de la glace artisanale, youpi ! nous allons pouvoir nous empiffrer de glace !

     

    Le 25 mars, journée mondiale contre la publicité, j'aimerai que celle là marche aussi, on en a tellement marre de la pub, par ci de la pub par là !

     

    Mais le 25 mars c'est aussi la journée Européenne de «L'enfant à naître », là on se demande si on ne se fout pas de nous , puisque l'on vient d'inscrire dans la Constitution le droit de tuer les enfants à naître !!!

     

    Si vous avez envie de consulter la liste des journées mondiales clic sur le lien ci-dessous :

     

    https://www.journee-mondiale.com/les-journees-mondiales.htm

     

    J'avoue que j'ai été complètement abasourdie en découvrant toutes ces journées fêtant en continue tout au long des années, tout et n'importe quoi !

     

    Livia

     

     

     


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    Jeudi 7 mars 2024

     

    C'est la mi carême...

     

    Je ne sais si des festivités sont prévues à Nantes pour cette mi carême ?

     

    Mais comme pour le Mardi gras, je resterai tranquillement chez moi.

     

     

    La mi carême à Paris

     

    Camille Pissaro (1897)

     

    (image wilkipédia)

     

     

     

    La Mi-Carême est une fête liée au carnaval. Elle est célébrée selon la tradition chrétienne au vingtième des quarante jours du jeûne avant les fêtes de Pâques. On trouve des traces de cette pratique, qui se perpétue en France dans plusieurs villages, depuis le Moyen Âge. La Mi-Carême a également pris racine chez nous aux Antilles ( fêté avec des défilés que l'on appelle des « déboulés » mais également au Canada, au Québec et en Nouvelle-France.

     

     

    Cortège des blanchisseuses à Paris

     

    (image wikipédia)

     

    L'apparition de la Mi-Carême est postérieure à celle du Carnaval. Il semble qu'elle soit liée au besoin de couper la longue période de privations du Carême. Certains lient son existence à la coutume établie dans plusieurs villes françaises de la fête organisée par les jeunes filles le troisième jeudi de Carême. A Paris pour l'occasion les blanchisseuses avaient pris l'habitude de nommer une reine, de se déguiser et de donner un bal.

     

     

    Le menu du banquet de la mi carême le 7 mars 1911

     

    Le carême était totalement occulté ce jour là.

     

    (image wikipédia)

     

     

     

     


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    Au cours d'une lecture j'ai découvert comment les moines ont codifié la lecture d'un document, sans eux nous ne pourrions rien lire, car au début il n'y avait pas d'espace entre les mots pas plus d'ailleurs que de ponctuation.

     

     

     

    On ne se rend pas très bien compte de tout ce que l'on doit à l'église et en particulier aux moines qui ne cessèrent de recopier et traduire tous les écrits des antiques, en y incluant des espaces et des signes... afin que nous puissions mieux lire aujourd'hui, sans les moines il n'y aurait pas de lecture !

     

    Et dans la foulée ils inventèrent aussi les marques pages qui nous sont si utiles pour retrouver la page où nous nous étions arrêté !

     

    La culture occidentale leur doit beaucoup.

     

    C'est pour cela qu'il faut lutter pour sauver notre culture la destruction massive entreprise aujourd'hui !
    Livia

     

     

    Extrait des très riches heures du Duc de Berry

     

    (image wikipédia)

     

     

     

    L'espace entre les mots d'un texte écrit. Ce n’est qu’au VIIe siècle qu’est apparu ce signe invisible, dans le silence des monastères irlandais. Retour sur l’importance capitale de cette marque de l’invisible.

     

    Il est là, mais on ne le voit pas. L’espace entre les mots ne va pas de soi : qui aurait cru qu’il fallait l’inventer ? Si les premières traces écrites ont plus de 5.000 ans et nous parviennent du berceau de l’humanité, en Mésopotamie, l’écriture est une langue née plusieurs fois pour parvenir à transcrire à l’écrit l’oralité sur la glaise, la pierre, le parchemin ou le papier. Et si l’écriture n’a pas toujours existé, la ponctuation, quant à elle, s’est fait — longtemps — attendre, et la césure entre les mots a été progressive.

     

    Dans les manuscrits antiques, grecs ou latins, c’est ainsi la scriptio continua, l’écriture continue, qui domine : l’œil glisse le long de pavés opaques de lettres accolées les unes aux autres, organisés en paragraphes uniformes et rectangulaires. La lecture, alors, n’est réservée qu’à une poignée d’élus et la grande majorité de la population européenne est analphabète. Le grec et le latin ont un temps tenté l’emploi du point médian, sans, pourtant, que son usage ne persiste. Le texte, ainsi, ne délivre son sens que lors de la lecture à voix haute, tenant de son lecteur une tentative de ponctuation.

     

    Les prémices de l’écriture moderne

     

    Ce n’est qu’au VIIe siècle que des moines d'Irlande, habitués à l’alphabet du vieil irlandais, forme ancienne de la langue moderne, peinant à déchiffrer les textes latins, tentent d’en réformer la graphie. Ils commencent à séparer les mots les uns des autres grâce à l’usage de l’espace que l’on connaît aujourd’hui. C’est aussi à ce moment-là que s’amorce une ébauche de ponctuation, comme la virgule qui n’est alors qu’une barre oblique, ou les prémices du point d’interrogation. C’est ainsi qu’apparaît le pied-de-mouche, cette sorte de «P» inversé [ ¶ ], qui vient d’un «C» barré deux fois, comme abréviation du mot capitulum, chapitre, et qui indique la fin d’un paragraphe. L’usage se borne toutefois au monde celtique et anglo-saxon, puisqu’il faut attendre le règne de Charlemagne à la fin du VIIIe siècle pour qu’une réforme de la grammaire impose ses règles à l’écriture. La séparation des mots est encore balbutiante et les intervalles entre ceux-ci demeurent aléatoires jusqu’au XIIe siècle. C’est alors que les mots se distinguent enfin clairement les uns des autres pour lever les ambiguïtés d’interprétation, comme dans l’exemple célèbre du Godisnowhere, qui peut aussi bien se lire God is now here (Dieu est ici, maintenant), que God is nowhere (Dieu n’est nulle part).

     

    C’est avec l’espace qu’apparaît une nouvelle pratique : la lecture silencieuse, tandis que jusqu’alors, les textes étaient destinés à être proclamés. On en trouve une trace lointaine dans les Confessions de saint Augustin, tout étonné de découvrir Ambroise de Milan lire un texte sans remuer les lèvres : «Quand il lisait, ses yeux parcouraient la page et son cœur examinait la signification, mais sa voix restait muette et sa langue immobile. […] Souvent, lorsque nous venions lui rendre visite, nous le trouvions occupé à lire ainsi en silence, car il ne lisait jamais à haute voix». Le rapport au texte, dès lors, change pour entrer dans l’intimité du «moi» : le lecteur peut désormais lire seul, pour son instruction, puis pour son plaisir, tandis que naît la littérature. Quatorze siècles plus tard, sourions en remerciant ces bienheureux moines irlandais à qui l’on doit, dans ce monde, un peu de silence et de répit.

     

    Morgane Afif

     



     

    Et dans la foulée ils inventèrent aussi le marque page.

     

     

    Un marque page pour de ne pas perdre le fil de la lecture...

     

    (image pixabay)

     

    L’évolution des manuscrits écrits, en particulier des codex, est étroitement liée au développement des marque-pages. L’étude de l’histoire de leur invention a mis en lumière le rôle central joué par les monastères dans leur développement et leur diffusion.

     

    Des recherches récentes ont montré que le plus ancien marque-page conservé de nos jours date du VIe siècle apr. J. C.Découvert sous les ruines du monastère Apa Jeremiah (Saint Jérémie), à Sakkara, en Égypte, il laisse à penser que les premiers marque-pages auraient été inventés précisément par des moines.

     

    Ce signet du VIe siècle se compose d’une lanière en cuir doublé de vélin sur le revers et attaché à la couverture d’un codex copte (Codex A, MS 813, Chester Beatty Library, Dublin). Tout au long de l’époque médiévale, les marque-pages étaient généralement fabriqués d’une petite bande en parchemin, ou d’un morceau d’une cordelette, et attachés au bord de la page comme dans les Bibles contemporaines. Les marque-pages détachés sont apparus des siècles plus tard, dans les années 1850.

     

    Ces marque-pages se seraient donc diffusés au Moyen-Âge, grâce aux moines. Dans les enceintes de leurs monastères, ces religieux consacraient leur vie à la prière, mais aussi à la transcription méticuleuse et à la conservation de textes inestimables. Alors qu’ils copiaient et étudiaient ces textes, ils ont été confrontés à la nécessité de parcourir efficacement de longs volumes et revenir facilement à des sections spécifiques, ce qui a déterminé la naissance des marque-pages.

     

    Un héritage durable

     

    L’utilité pragmatique de ces signets pour lire et parcourir les manuscrits de leurs vastes collections s’est renforcée également grâce aux pratiques religieuses de la vie monastique. En effet,la lecture régulière des Saintes Écritures et de l’Office divin, à des horaires précis et avec des textes spécifiques, nécessitait des moyens efficaces pour marquer et reprendre facilement la lecture à des endroits déterminés.

     

    La création des marque-pages témoigne de l’habileté et de l’ingéniosité des moines érudits du Moyen-Âge. L’héritage durable de ces humbles mais essentiels outils au cours des siècles a façonné l’histoire littéraire, et les marque-pages continuent d’être des compagnons indispensables des lecteurs contemporains.

     

    Daniel Esparza

     

     

     


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    J’ai fait un quiz historique, je suis contente de moi, j’ai pratiquement tout

     

    trouvé sauf une question, auriez-vous fait mieux ?

     

     

    Livia

     

     

     

    Quiz Histoire de France...

     

    Atlas d’Abraham Ortelius (1570)

     

     

     

    (image wikipédia)

     

     

     

     

     

    Le tombeau de Napoléon se trouve à...

     

     

    Paris

     

    Sainte-Hélène

     

     

    Ajaccio

     

     

    C'est bien à Paris, dans l'église Saint-Louis des Invalides que se trouve le tombeau de Napoléon Ier. (trouvé, je pense que tout le monde sait cela)

     



     

     

     

    Louis XV est mort...

     

     

    De la variole

     

     

    De la syphilis

     

     

    De la peste

     

    Louis XV meurt à 64 ans, le 10 mai 1774, à Versailles, après avoir contracté la petite vérole, autre nom de la variole, maladie qu'il n'a jamais attrapé jusque là et qui sera mortelle pour le souverain. (trouvé)

     



     

     

     

    Sous la Révolution, en 1793, qui sont les régicides?

     

     

    Les députés qui ont voté la mort du roi

     

     

    Les députés royaliste à l’assemblée

     

     

    Les députés qui ont voté contre la mort du roi

     

    Ce sont les députés régicides qui ont voté la mort du roi. (trouvé, cela allait de soi)

     



     

    La Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen a été adoptée...

     

     

    Le 14 juillet 1789

     

     

    Le 26 août 1789

     

     

    Le 20 novembre 1959

     

    La Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen date bien d'août 1789, et non du 14 juillet, date de la prise de la Bastille. La Déclaration des droits de l’Enfant a été adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 20 novembre 1959. (trouvé)

     



     

    Les jardins du château de Versailles ont été réalisés par :

     

     

    André Le Nôtre

     

    Jules Hardouin-Mansart

     

     

    François Vatel

     

    En 1661, Louis XIV charge André Le Nôtre de créer de magnifiques jardins pour son Château de Versailles. Jules Hardouin-Mansart est l'architecte favori de Louis XIV, on lui doit notamment la galerie des Glaces, la grande et la petite écurie, l'Orangerie à Versailles. Quant à François Vatel, il était cuisinier et organisateur de grandes réceptions pour Nicolas Fourquet, surintendant des Finances, mais n'a pas été au service du roi. (trouvé, tout le monde, en principe sait, que c’est Le Nôtre qui a dessiné les jardins de Versailles)

     



     

     

     

    Après la mort de Louis XIII, de graves troubles éclatent, comment les a-t-on

     

    appelés?

     

     

    La Fronde

     

     

    La gronde

     

    La grogne

     

     

    La Fronde est une période de troubles multiples en France, qui s'étend de1648 à 1653, alors que Louis XIV (1638-1715) n'est encore qu'un enfant. Après la mort du cardinal de Richelieu (1642) et celle de Louis XIII (1643), c'est Anne d'Autriche qui devient régente, avec à ses côtés le cardinal Mazarin. Mais le Parlement s'oppose à la montée de l'autoritarisme monarchique et les Princes s'agacent de l'emprise de Mazarin sur la reine. (trouvé,)

     



     

    Je suis un impôt sur le sel très impopulaire sous l’Ancien Régime :

     

     

    La gabelle

     

     

    La taille

     

     

    La capitation

     

    La gabelle est un impôt indirect sur le sel ayant existé en France au Moyen-Âge et à l'époque moderne. Le principe est le suivant: le sel fait l'objet d'un monopole royal. Voilà pourquoi la population française doit l'acheter taxé et au détail. (trouvé, nous avons tous appris cet impôt sur le sel à l’école )

     



     

    Quel est le légume, à l’époque rare et délicat, dont raffolait Louis XIV ?

     

     

    L’asperge

     

     

    Le chou chinois

     

     

    Le radis japonais

     

    Louis XIV raffolait tant des asperges, un met raffiné et rare à l'époque, qu'il voulait en manger même l'hiver. Alors son jardinier et créateur du potager du roi eut l'idée de les faire pousser sous serre... Pour le plus grand plaisir du souverain! (trouvé, j’avais déjà lu cette histoire d’asperge dans plusieurs bouquins )

     



     

    Jeanne-Antoinette Poisson devint une grande dame très appréciée de Louis XV,

     

    quel est son titre?

     

    La marquise de Pompadour

     

     

    Madame de Montespan

     

     

    La marquise de Maintenon

     

    Jeanne-Antoinette Poisson est bien la marquise de Pompadour, maîtresse de Louis XV de 1745 à 1751. En revanche, Madame de Maintenon et Madame de Montespan furent les maîtresses de Louis XIV, son arrière-grand-père. (trouvé, c’était bien la Poisson qui était la maîtresse attitrée de Louis XV et à l'époque des pamphlets couraient dans Paris disant que le château sentait la marée... )

     



     

     

     

    Complétez la citation de Mirabeau: «allez dire à votre maître que nous sommes

     

    ici par la volonté du peuple et qu’on ne nous en arrachera que…

     

     

    Par la volonté du peuple

     

     

    Par la puissance des baïonnettes

     

     

    Par la puissance des urnes

     

    Le 23 juin 1789, Louis XVI convoque les élus aux Etats généraux (clergé, noblesse, tiers état) pour mater la rébellion. Après son départ, les gardes ont ordre de disperser les députés. La mémoire collective retiendra de cette scène la célèbre phrase de Mirabeau, un noble député du Tiers Etat, journaliste et grand orateur: "Nous sommes ici par la volonté du peuple et nous n’en sortirons que par la force des baïonnettes!" (pas trouvé, la révolution n'étant pas ma tasse de thé, je ne connais pas grand chose sur les phrases, dites célèbres de ces gens là !)

     


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