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    « Le but de l'art est presque divin : ressusciter, s'il fait de l'histoire ; créer s'il fait de la poésie »

     

    Victor Hugo

     

     

     

     

     

     

     

    Alors quand on détruit l'art créé par un autre, c'est un assassinat !

     

    C'est en écoutant tous les présentateurs de Radio Classique , dénonçant « les élucubrations florentines », de ce directeur de théâtre, qui pour expliquer son geste meurtrier envers Don José à déclaré sans peur et sans remords  :

     

    « A notre époque, marquée par le fléau des violences faites aux femmes, il est inconcevable qu'on applaudisse le meurtre de l'une d'entre elle. »

     

    Mais en décidant de changer la fin de Carmen, en faisant assassiner Don José par la « femme », le directeur de ce théâtre Florentin, entraîne la mort de « Carmen », puis de Bizet, mais aussi de Prosper Mérimée - Bizet s'étant inspiré d'une de ses nouvelles - et puis celui de Meilhac et Halévy qui on écrit le livret.

     

    En France l'assassinat de Don José a été très mal vécu et a fait des remous !

     

    Jacques Rougeot – Professeur de la langue française à l'université de Paris IV- Sorbonne et chercheur au Centre d'études et de recherches universitaires - nous explique pourquoi :

     

    « La volonté de réécrire les œuvres du passé pour les rendre conformes à l'esprit du temps est l'un des marqueurs les plus stupides du totalitarisme mou sous lequel nous vivons. Ce n'est pas un organe de complots, car il n'a ni siège, ni dirigeants patentés. Les juges au service de cette force se sont auto-désignés. Cette réalité fuyante a un nom : le tribunal de la bien-pensance (TBP). A ce titre, il prononce des sanctions, des condamnations qui poursuivent un objectif bien déterminé : imposer à ses justiciables, déclarés déviants, l'obligation de subir une opération de redressement idéologique... »

     

     

     

    Les Arts en danger...

    Célestine Galli-Marié, qui créa le rôle en 1875

     

    Henri-Lucien Doucet

     

     

     

    Nous conseillons donc à tous les directeurs de théâtre biens-pensants comme celui de Florence, qui penchent vers ce genre d'excès, de ne faire jouer dans leur théâtre, que des opéras où l'homme meurt à la fin.

     

    Par exemple du même Bizet, nous pouvons leur offrir « L'Arlésienne », (c'est une vraie femme comme on les aime aujourd'hui, une cougar comme on dit) qui s'en va en laissant un pauvre garçon si désespéré, qu'il va se jeter du toit à la fin et en mourir. Là on pourra applaudir à deux mains, sans arrières pensées, puisque ce n'est qu'un pauvre bougre d'homme qui meurt ! (moi j'avais pleuré)

     

    Il faut qu'ils évitent aussi de mettre en scène « Norma» et « Aïda », ces deux sottes préférant mourir avec leurs mecs :

     

    « Norma est la Grande prêtresse du temple druidique qui a eu (rompant ses vœux de chasteté) deux enfants du proconsul romain Pollione, elle découvre que son amant est amoureux d'une jeune prêtresse, son amie, Adalgisa, Norma tente de le convaincre de renoncer à Adalgisa, mais il refuse de lui revenir. Norma avoue alors publiquement sa faute, son amant elle sont tous deux condamnés à mort et vont monter au bûcher ensemble. Ils seront donc unis éternellement dans la mort. » (il eut été pourtant plus facile, comme font toutes les femmes aujourd'hui, de dire qu'elle avait été violentée par Pollione...)

     

    Le grand air de « Casta Diva » que chante Norma, - invocation mystique à la lune - est un air magnifique et magique, une pure merveille que j'adore écouter.

     

    Vous pourrez écouter cette invocation en un clic sur le lien ci-dessous : 

     

    https://www.youtube.com/watch?v=Rg4L5tcxFcA

     

    « Aïda », est aussi sotte que Norma, à la fin elle va rentrer en catimini, dans la tombe où est enfermé Ramadès, pour mourir avec lui.

     

    Et n'oublions pas la « Traviata », dans cet opéra, Violetta va mourir de consomption, tandis que l'homme qui l'a abandonné, est bien vivant et pleure à ses côtés...

     

    On ne sait vraiment pas où Bellini et Verdi avaient la tête, quand il écrivirent ces opéras ? De vrais machos ces deux-là !

     

    Mais ces bien-pensants, ne s'arrêtent pas aux opéras, car Virgile et Homère sont aussi montré du doigt. Vous ne voudriez tout de même pas que l'on plébiscite ces deux machos que sont Ulysse et Enée n'hésitant pas a abandonner leurs femmes sous prétexte de suivre le destin voulu par les dieux ?

     

     

     

    Les Arts en danger...

    Enée fuyant Troie

     

    Federico Barocci

     

     

     

    Les Arts en danger...

    Pénélope et les prétendants (1912)

     

    John William Waterhouse

     

     

     

     

     

    Va-t-il rester quelque chose de nos racines  culturelles qui semblent en danger  depuis ces (« élucubrations florentines » ?

     

    Va-t-il rester de la bonne lecture à ceux et à celles qui malgré tout ce fatras d'idioties environnantes, veulent quand même lire et pourquoi pas relire l'Eneide ou l'Odyssée ?

     

    Va-t-il nous rester de bons opéras à voir et a goûter sans arrière pensée ?

     

    Et va-t-il nous rester de beaux tableaux à admirer puisqu'une conservatrice de Manchester à fait enlever un tableau de J.W. Waterhouse sous un fallacieux prétexte, jugez par vous-même de l'imbécillité de ce geste :

     

    « Ce musée présente le corps des femmes en tant que ‘forme passive décorative’ ou en tant que ‘femme fatale’. Remettons en cause ce fantasme victorien! Bla, bla, bla […]

     

     

     

    Ci-dessous, le splendide tableau du litige.

     

     

     

    Les Arts en danger...

    Hylas et les nymphes (mythologie)

     

    J.W. Waterhouse

     

     

     

    Les anglais amateurs d'art furieux ont mis une pétition en ligne en faveur du raccrochage du tableau et ont déjà récolté beaucoup de signatures!

     

    Si la féminité est agréable, le féminisme est détestable et nuit aux femmes !

     

    *Féminité : (nom féminin) - Caractère féminin ; ensemble des caractères correspondant à une image biologique et sociale (charme, douceur…) de la femme ( contraire virilité).

     

    *Féminisme : (nom masculin) - Doctrine qui préconise l'égalité entre l'homme et la femme, et l'extension du rôle de la femme dans la société.

     

    (Dictionnaire Larousse)

     

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     


    16 commentaires
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    Il paraîtrait que : «  l'église aurait toujours maltraité les femmes » , c'est une idée reçue, arrivée on ne sait d'où envoyée par on ne sait qui, cependant entretenue avec autant de soin que la flamme sur la tombe du soldat inconnu... aujourd'hui « les femmes » font leur miel de cette idée !

     

    Pour en finir avec ce « mensonge », quelques éclaircissements ci-dessous :

     

    Liviaaugustae

     

     

     

    Les idées reçues ont la vie dure...

    Annonciation

     

    Botticelli

     

    C'est la principale femme dans l'église et pas la moindre, puisque c'est la mère de Dieu !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Aubrée David-Chapy, agrégée d’histoire et chargée de travaux dirigés en histoire moderne à l’Université Paris-IV Sorbonne, Aubrée Chapy s’est spécialisée dans l’histoire des femmes… il répond à cette question que se pose aujourd'hui le monde moderne !

     

    Pleinement consciente de la dignité intrinsèque des femmes, qu’elle reconnaît comme égales des hommes aux yeux de Dieu, l’Église leur a apporté une protection que la société n’était pas toujours en mesure de leur fournir, et elle s’est appuyée sur elles pour diffuser la foi, dès les origines du christianisme.

     

    - Dès les origines du christianisme les femmes ont été impliquées dans la transmission de la foi chrétienne. Très présentes autour du Christ, elles ont eu, dans la construction des premières communautés chrétiennes, un rôle éminent bien que différent de celui des apôtres de Jésus.

     

    - Contrairement à une légende tenace, l’Église médiévale n’a pas opprimé les femmes ni enseigné qu’elles étaient inférieures aux hommes. Le fameux concile de Mâcon n’a pas discuté de l’existence d’une âme chez les femmes : cette fable provient d’une déformation du témoignage de Grégoire de Tours, un évêque de la fin du VIe siècle. 

     

    - Au Moyen Âge, les femmes occupaient une place éminente parmi les grands modèles de sainteté. Seule à ne pas être marquée du péché originel, la Vierge Marie était reconnue comme l’idéal ultime de perfection pour les fidèles : la Mère de Dieu est aussi  celle de tous les membres du Corps de son Fils, qu’elle enfante et protège dans leur foi. 

     

    • Loin d’avoir été misogyne, l’Église du Moyen Âge a donné aux femmes une liberté qu’elles n’avaient pas auparavant et qu’elles ont en partie perdue par la suite. Sans être dénuée de préjugés à l’égard des femmes, l’Église médiévale a cherché par de nombreux moyens à les protéger, notamment en promouvant le mariage monogame et indissoluble. 

     

    • À la Renaissance, le retour du droit romain, peu favorable aux femmes, entraîna un durcissement des institutions civiles à leur égard. Avec la Révolution, les femmes n’obtinrent aucune existence politique et le Code civil (1804) renforce l’autorité du père de famille, et son droit de propriété au détriment de la femme. Si les femmes ont pu être reléguées dans une position de subordination, elles ont gardé dans l’Église une place particulière, par exemple en tant que fondatrices de nouvelles formes de spiritualité.

      - Au niveau des principes, l’Église contemporaine n’a cessé de rappeler le rôle unique des femmes dans la tradition biblique puis chrétienne. Les derniers papes ont pris en compte de manière nouvelle la condition et la vocation des femmes. La réflexion anthropologique de saint Jean-Paul II a été poursuivie par la réflexion de Benoît XVI sur les responsabilités des femmes dans l’Église.

      infocatho

     

     

     


    12 commentaires
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    Cachez ces signes que je ne saurai voir...

     

    Les saints du ciel

     

    Fra Angelico

     

     

     

     

     

    Les chasseurs de bondieuseries, des croix, des crèches, etc... auront du boulot.

     

    J'ai répertorié ci-dessous, quelques « signes cathos » éparpillés dans toute France, ces derniers nous accompagnent dans notre vie quotidienne depuis toujours... vont-ils aussi demander de les dézinguer ?

     

    En revenant de la gare Saint-Lazarre, quand on entre chez soi en foulant la moquette il faut demander pardon à Saint-Maclou  de lui marchez dessus.

     

    Et puis quand on fait le ménage, quoi de mieux que la lessive Saint-Marc, tout en grignotant une délicieuse petite galette Saint-Michel.

     

    Ceux qui aiment le sport, regardent à la télé le Pari-Saint-Germain contre Saint-Etienne...

     

    Après le repas, sur le plateau de fromages, nous retrouvons avec plaisir le Saint-Nectaire et le Saint-Marcellin, arrosé de Saint-amour...

     

    Puis au dessert c'est la dégustation du délicieux Saint Honoré.

     

    Quand arrive l'été, on rêve de Saint-Tropez, mais nous irons à Saint-Nazaire, c'est plus près et moins cher.

     

    • Et puis, que ferons les chasseurs privé de saint Hubert ?

    • Les médecins de saint Luc ?

    • Les charpentiers et les ébénistes, de Saint Joseph ?

    • Les pompiers de sainte Barbe ?

    • Les voyageurs de saint Christophe (dont l'effigie se balance souvent dans les taxis que j'utilise ?

    • Et sans ce brave saint Antoine, comment retrouver les objets perdus ?

     

    Ces pauvres saints ont soufferts le martyr pour rester fidèles à leur Foi, pourra-t-on les imiter si un jour...il le fallait ?

     

    Car on n'a pas été de main morte avec eux !

     

    • Sainte Blandine fut livrée aux lions

    • Saint Pierre crucifié la tête en bas

    • Saint Paul décapité

    • Saint Sébastien transpercé de flèches

    • Saint Etienne lapidé

    • Saint Laurent quand à lui fut passé au gril comme les saucisses au barbecue l'été !

    • La liste des saints n'est pas exhaustive, car il faut compter aussi avec tous les saints anonymes, les modestes saints de tous les jours et puis tous ceux, que Daech martyrise aujourd'hui dans le monde !

     

    Avons-nous vraiment envie, sous la pression laïcarde, de balancer tous ces sympathiques saints à la poubelle de l'histoire qui est en déroute aujourd'hui ?

     

    Tandis que nos crèches et nos croix sont en danger de mort, considérés comme des signes religieux qui dérangent la « laïcité » et « les libres-penseurs », les foulards et les « prières dites de rues », qui provoquent des embouteillages, ne sont pas considérées comme des  signes religieux  et ne dérangent personne !

     

    L'Occident a-t-il perdu la tête !

     

    La retrouvera-t-il pour la remettre à l'endroit ?

     

    Liviaaugustae

     


    26 commentaires
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    Les féministes aujourd'hui, se démènent, soi disant pour promouvoir les femmes. Pour ce faire des actions d'éclats sont menées par elles :

     

    • Balades à demie nues dans la rues (femen)

    • Mimer un accouchement le soir de Noël dans les églises (femen)

    • Balancer les porcs (nouveauté made in USA) pour harcèlement sexuel (actrices, mannequins, mais aussi pêle-mêle, ministres et journalistes)

    • Refuser la galanterie prétendue sexiste et machiste, les femmes le paient très cher.

    • Et j'en passe !

     

    Les femmes d'aujourd'hui, auraient-elles moins de volonté, et moins de talent pour « faire quelque chose de leur vie » comme les parents nous disait autrefois ?

     

     

     

    Car au fil des siècles, toutes les femmes qui avaient de la volonté, ont exercé leur pouvoir et leur talent : d'écrivain, de peintre, de poétesse, de musicienne, comme le montre la liste, non exhaustive, ci-dessous :

     

     

     

     

    Les femmes...

    La marquise de Sévigné (1665)

     

    Claude Lefèbvre

     

    Madame de Sévigné (1626-1696) – Elle a elle aussi laissé une œuvre épistolière considérable dans laquelle elle excelle

     

     

     

    Les femmes...

    Madame de Lafayette

     

    Desrocher

     

     

     

    Madame de Lafayette (1634-1693) Elle a laissé une grande œuvre écrite, le plus célèbre de ses romans est « La princesse de Clèves » elle fut l'amie de Madame de Sévigné

     

     

     

    Les femmes...

    Autoportrait (1790)

     

    Elisabeth Vigée Le Brun

     

     

     

    Elisabeth Vigée Le Brun (1755-1843), Elle exerça ses talents de peintre à la cour de Louis XVI, à la cour du roi de Naples, à la cour d'Autriche, à la cour de Russie et de la Restauration, elle fut comparée à Quentin Latour et à Greuze.

     

     

     

    Les femmes...

    Anne-Louise-Germaine Necker baronne de Staël-Holstein (1766-1817)

     

    Marguerite Gérard

     

     

     

    Connue sous le nom de Madame de Staël, c'est une philosphe et une romancière française. Sa réputation littéraire et intellectuelle s'est affirmée grâce à trois essais philosophiques, elle popularise aussi les œuvres des auteurs de langues allemandes. Il faut dire qu'elle est élevée dans un milieu intellectuel, nombres de grands auteurs fréquentent le salon de sa mère tel que : Buffon, Marmontel, Grimm et Jean-François de la Harpe.

     

     

     

    Les femmes...

    La comtesse de Ségur

     

     

     

    La Comtesse de Ségur (1799-1874) : D'origine russe elle arrive à Paris où son père disgracié par le tsar s'est réfugié, elle va rencontrer Philippe de Ségur aide de camp de Napoléon. Elle a laissé aussi des romans merveilleux qui ont bercés notre enfance.

     

     

     

    Les femmes...

    Georges Sand (1838)

     

    Claude Auguste Carpentier

     

    Georges Sand (1804-1876) Elle fait scandale par sa vie amoureuse agitée et sa tenue masculine, mais elle n'en a cure , elle est un des écrivain les plus prolifiques de son époque.

    Sans pour autant juger les autres femmes menant une vie « normale ».

     

     

     

    Les femmes...

    Marie Curie (1900)

     

     

     

    Marie Curie (1867-1934) elle quitte la Pologne et arrive à Paris où elle s'inscrit à la faculté des sciences, c'est elle qui découvre le radium avec son mari Pierre.

     

     

     

     

     

    Vous pourrez avoir plus de renseignements sur toutes ces « vraies femmes », dans le Larousse des personnages célèbres ou plus simplement en vous rendant sur wikipédia...

     

    Aujourd'hui, au pays de Descartes, on marche sur la tête !

     

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     


    18 commentaires
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    Des loups et des hommes...

     

    Les loups...

     

    (image internet)

     

     

     

     

     

    Les loups n'abandonnent jamais les siens, et se déplacent en meute.

     

    La meute va au pas des plus faibles, car les loups savent que si on les laissent derrière ils serait distancés, se perdraient et seraient des proies faciles lors d'attaques.

     

    Devant, marchent les plus vieux, les plus faibles et les malades, suivit par cinq loups jeunes et forts, puis le reste de la meute mères et jeunes, puis encore cinq loups forts.

     

    Et enfin, le loup Alpha, le chef de meute, ferme la marche pour veiller sur la meute, et de sa position il contrôle le groupe, indique la direction et peut prévenir les attaques des adversaires. La meute avance donc au rythme des plus faibles, protégés par les plus forts sous la direction donné par le chef.

     

     

     

     

     

    Et tandis que chez nous, les vieux, les malades, les faibles, non seulement sont isolés, délaissés et parfois même rejetés, les dirigeants (oubliant qu'eux aussi deviendront vieux ou malades), sont en train de concocter des lois, pour euthanasier les vieux et les jeunes trop malades, sous prétexte que cela coûte trop cher à la sécurité sociale, sans penser une seule minute qu'ils pourraient plutôt restreindre les dépenses de l'Etat !

     

    Les humains, sont-ils plus cruels que les loups ?

     

    Il semblerait que oui !

     

    Mais Jésus n'a-t-il pas dit : « L'homme est un loup pour l'homme » ?

     

     

     

    Des loups et des hommes...

    Le diable veille !

     

    (image internet)

     

    Liviaaugustae

     

     


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