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    numérisation0004

     

     

     

     

    Un soir de mai,

    La malchance voulue que la France,

    Fut roulée dans la farine,

    Et qu’un « petit homme »,

    Entouré de méchantes gens,

    Se retrouva à la tête de l’Etat…

    Et savez-vous ce qui arriva ?

    Aujourd’hui Marianne …

    Est par  terre, battue, humiliée,

    Et se meurt !

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     



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    TEMPETE SUR OVERBLOG…

     

    (C’est Noël avant l’heure, OverBlog vous offre la fonction Repost) !

    Apparemment, ils sont contents d’eux, puisqu’ils nous offre ce « Repost » comme cadeau de Noël » !

     

    OverBlog a décidé, (sans demander à quiconque son avis), de permettre aux paresseux, qui ne veulent rien ficher d’aller faire leur marché sur les blogs des autres ! Bien sûr ils conseillent de mettre le lien du blog pillé, mais croyez-vous que les pilleurs, le feront ?

    Je publie parfois des articles pris « AVEC SA PERMISSION » sur le blog d’un ami, et je mets toujours son lien. Mais les autres le feront-ils ?

    L’honnêteté ne courant pas les rues de nos jours, j’ai de grands doutes sur cette fonction « Repost » !

    Car j’ai trouvé beaucoup de mes fables (cela leur évite de taper) sur un blog spécialisé dans les fables. Celles de Monsieur de la Fontaine, soit, cela fait partie du domaine public, mais celles que j’ai écrites « à la manière de…) sont aussi sur le blog de cette personne !

    Blog gratuit, ou blog premium, et c’est mon cas, que l’on paye, (environ 50 € par an), je trouve que la moindre des choses, serait de protéger le travail de chacun.

    Alors voilà ce que dit le dictionnaire ROBERT :

    Plagier : (verbe) Copier (un auteur) en s’attribuant indûment des passages de son œuvre. Imiter, piller, calquer, démarquer…

    Plagiat : n.m. Action du plagiaire, vol littéraire. Copie, emprunt, imitation. Et il ajoute « on peut être condamné pour plagiat ». Contraire : Création.

    Plagiaire : n. (du latin plagiarius « celui qui vole les esclaves d’autrui », (du grec plagios, oblique, fourbe). Personne qui pille ou démarque les ouvrages des auteurs. Contrefacteur, copiste, imitateur.

    Et OverBlog prend l’initiative de « donner la permission » de plagier !

    Décidément ce monde marche à l’envers, tous les nuls sont portés au pinacle, et les autres doivent faire profil bas, pour ne pas « froisser » tous les imbéciles, qui ne pourront jamais rien faire par eux-mêmes…

    Je quitterais donc cette confrérie !

    J’ai horreur de l’histoire « d’Ali baba et des quarante voleurs » !

    Liviaaugustae

     

     

    Michel Il y a 4 jours

    Génial, ce repost...en 3mn, j'ai piqué 9 articles qui paraissent maintenant sur mon blog d'essai ! Les jours de pluie, je pourrai remplir mon blog rien qu'avec le travail des autres ! Quant à mes articles, les miens, personnels à moi, je les mettrai sur une autre plateforme...pas fou le mec !

    Ci-dessus un commentaire d’un plagiaire ravi, que j’ai copié sur Over Blog…

     

     

     

     

     

     


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    LE MARIAGE POUR TOUS…

     

     

    Les politiques, ne cessent de nous rabattre les oreilles, avec « la parité » !

    Dans le « mariage pour tous », où est donc cette parité tant prônée ?

    Dans le code Napoléonien, le mariage : un homme, une femme, ça c’est la parité.

    Deux hommes, deux femmes, dans ce « mariage pour tous »… Où est la parité ?

     

     

     

     

     

     

    Mariage-GatLes beaux mariages…

     

     

     

     

     

    CE SIECLE AVAIT DEUX ANS

     

    (Extrait)

     

    « Oh ! l'amour d'une mère ! amour que nul n'oublie !
    Pain merveilleux qu'un dieu partage et multiplie !
    Table toujours servie au paternel foyer !
    Chacun en a sa part et tous l'ont tout entier !
    Je pourrai dire un jour, lorsque la nuit douteuse
    Fera parler les soirs ma vieillesse conteuse,
    Comment ce haut destin de gloire et de terreur
    Qui remuait le monde aux pas de l'empereur,
    Dans son souffle orageux m'emportant sans défense,
    A tous les vents de l'air fit flotter mon enfance. » […]

     

     

     

    « Après avoir chanté, j'écoute et je contemple,
    A l'empereur tombé dressant dans l'ombre un temple,
    Aimant la liberté pour ses fruits, pour ses fleurs,
    Le trône pour son droit, le roi pour ses malheurs ;
    Fidèle enfin au sang qu'ont versé dans ma veine
    Mon père, vieux soldat, ma mère vendéenne ! »

     

    Victor HUGO

     

     

     

    Notre grand Victor, prône lui aussi la parité !

     

    Un papa, une maman !

     

    Et ce n’est qu’avec un homme et une femme que la race humaine, pourra perdurer ! A moins qu’ils n’aient trouvé une poudre de « perlinpinpin », pour fabriquer les enfants…

     

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    PHILIPPIQUE

    (Du grec philippikos : « discours de Démosthène, contre Philippe roi de Macédoine » « puis satire politique au XVIe siècle ».

    Dictionnaire Robert.

     

     

     

     

     

     

    Symbole républicainLe symbole de la République le 30 juin 1793.

    Le bonnet phrygien coiffe une pique émergeant d’un faisceau.

    Une plaque entourée de rameaux de chêne proclame l’unité et l’indivisibilité de la République dont la devise : Liberté, Egalité, Fraternité ou la Mort, apparait sur les flammes de drapeaux entrecroisés.

     

     

     

    MARIANNE…

     

    Je m’appelle Marianne

    Et suis courtisane.

    Tous les Rois ont partagé ma couche,

    Mais un jour de juillet,

    Au milieu de l’été,

    Le peuple en colère,

    Leur a coupé la tête.

    Fi ! de ces vilains Messieurs,

    Aux perruques poudrées,

    Habillés de satin, de dentelles enrubannées.

    La mode en est passée.

    Il me vêtir de rouge,

     Me coiffèrent d’un bonnet.

    C’était seyant et cela m’allait bien.

    Après qu’ils eurent tout cassé,

    Tout brûlé, et tué beaucoup de ci-devant,

     Bonaparte, s’empara du pouvoir

    Le calme enfin revint.

    Il se fit couronner Empereur des français !

     Il me séduit, je lui offris alors, tout ce que je possédais.

    Et pour mes beaux yeux, il conquit l’Europe.

    Mais las ! tout a une fin ici-bas…

    Un jour, lui aussi fut chassé.

    De l’île d’Elbe, il revint.

    Mais je l’avais oublié.

    Il mourut loin de moi,

    En Afrique, je crois.

    Et le temps a passé.

    Et les amants aussi…

    Il y en eut de bien,

    Il y en eut de moins bien.

    Et les Républiques défilèrent.

    La quatrième s’éteignit d’elle-même.

    Ses hommes n’étant pas à la hauteur,

    De ce que je désirais.

    La cinquième naquit.

    Et je fus éblouie !

    Cet homme là m’aimait.

    Comblée, heureuse,

    Je redevins belle.

    Nous avons ensemble,

    Vécus de longues et belles années.

    Mais il devint vieux.

    Et un jour, me quitta.

    Je fus une veuve  malheureuse…

    Quelques hommes,

    Lui succédèrent,

    Je n’allais pas trop mal,

    Mais ce n’était plus çà !

    Le cœur n’y était plus.

    Et je devenais las.

    Un soir de mai, un homme frappa à mon carreau,

    Il avait du bagout, et m’ « entourloupa* »,

    « Il te faut un lifting.

    Te remonter les seins,

    Un peu aussi les fesses.

    Quand au ventre, ce n’est rien,

    Nous avons de très bon chirurgiens ».

    Je me laissais faire,

    Et pour tromper mon ennui,

    Je le pris comme amant.

    Mais tout ce qu’il avait dit, ce n’était que du vent.

    Un mois après,

    J’avais la gueule de bois !

    Des inconnus envahissent ma maison.

    Le peuple n’est pas content

    Et gronde en sourdine.

    Alors je rêve ! Je rêve depuis !

    Je pense surtout à mon petit bonnet phrygien,

    Et qui m’allait si bien !

    C.F.

     

    « *Entourlouper » : (mot d’origine obscure), action qui suppose de la malice, de la ruse. Mauvais tour joué à quelqu’un.

    Dictionnaire Robert

     

     Heureusement que de ce symbole « Républicain » (révolutionnaire) de 1793, il n’est resté que les trois premiers mots : Liberté, Egalité et fraternité.

    La Mort qui avait raccourci tant de ci-devant… était vraiment de trop !

    Liviaaugustae.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    DANS L’EGLISE, POINT DE SALUT !

    (Point de vue sur la Série d’Arte)

     

     

     

    numérisation0010Une des photos de la série « Ainsi soient-ils »…

     

     

    Ainsi soient-ils, ou les mésaventures de cinq jeunes séminaristes confrontés au « monde réel » : tel est le pitch de la série évènement que nous propose Arte.

    Après « Inquisitio », série évènement de l’été dernier sur France 2, voilà une confirmation de l’intérêt nouveau porté par la télévision publique à ma religion privée – qui pourtant ne date pas d’hier.

    Faut-il s’en réjouir ? Oui, répondent d’une seule voix la « bonne presse », couvrant le feuilleton d’éloges aussi unanimes que variés.

    « Sacré sérié !» s’emballe le Monde, pour lequel cette « plongée réussie dans le monde de la foi […] ne manque pas de grâce ». Tout aussi enthousiaste le Nouvel Obs a plutôt vu le côté obscur de la farce. Nulle trace de grâce, à l’en croire, dans ces crises de foi » à répétition, aux termes des quelles « une question se pose : pourquoi ces jeunes gens restent-ils ? »

    A cause du suspense, comme nous tranche Télérama, applaudissant à deux pages à ce thriller en soutane où «  les tourments d’aspirants prêtres sont aussi palpitants que les tribulations de Jack Bauer dans 24 heures chrono » !

    En vrai, au début, ce serait plutôt « 240 heures », tant les premiers épisodes traînent en longueur. Mais c’est qu’il faut le temps d’installer les personnages, surtout quand ils sont aussi archétypiques.

    Bienvenue dans le « catho-spaghetti» : ici le « bon » est forcément un catho-de-gauche, ex-prêtre-ouvrier mais toujours ouvert à tous et compassionnel comme il n’est pas permis. Surtout pas dans sa hiérarchie, où le vieux cardinal-archevêque cumule harmonieusement les rôles de « brute » et de « truand ». Ce prélat-là, qui, bien sûr, ne croît qu’en lui-même, est capable de toutes les vilenies pour préserver sa pourpre, voire la charger en blanc.

    Entre les deux se retrouve coincé une sorte de Club des cinq séminaristes. Au fil des épisodes on voit, sans surprise excessive, ces idéalistes tomber l’un après l’autre du côté où le scénario les faisait pencher.

    Les voilà donc, « les rebondissements » tant prisés par Télérama : le fils de bourge couche avec la femme de son meilleur ami, figurez-vous ; l’ex-meurtrier converti finit avec deux balles dans la peau ; et le puceau angélique crève d’une overdose dans les bras d’une rockeuse. Les plus raisonnables, en somme, ne sont-ils pas les deux derniers de la bande, qui finissent ensemble ?

    Et Dieu dans tout çà ? Eh bien, il est aux abonnés absents, comme on pouvait s’y attendre de la part d’auteurs qui revendiquent « un regard athée sur le fait religieux » ; autrement dit, un regard aveugle à ce qu’il est censé nous montrer.

    Mais si c’est juste pour raconter ça, les gars, pas besoin de 8 multiplié par 52 minutes !

    Léon Bloy avait fait plus court et mieux en évoquant « l’infernale disgrâce de subsister, sans groin, dans un monde sans Dieu ».

    Basile de KOCH

    Extrait de : Valeurs Actuelles.

     

     

    Nous les cathos, nous sommes toujours pris pour cible, !

    Pourquoi, me demanderez-vous ? Eh bien, parce que nous avons une religion pacifique, « Heureux les doux », c’est le Christ lui-même qui nous le dit. Et puis il nous faut tendre l’autre joue si on nous frappe ! Mais dans ce monde de violence, nous n’avons pas le temps de tendre l’autre joue, nous sommes frappés simultanément sur les deux à la fois, à coups de couteaux qui  nous envoi rejoindre notre Père qui est au Ciel !

    C’est pourtant une religion apaisante, qui ne cherche pas la bagarre, (mais vous me parlerez certainement des fameuse « Croisades » !

    Mais qui a commencé ?

    Si le Roi de France Louis IX (qui est un Saint), a pris les armes contre les musulmans, c’est tout simplement que ces derniers avaient interdits aux chrétiens de venir prier sur le tombeau du Christ ! Plus tard, au cours des Croisades, ils iront même jusqu’à le détruire. Les chrétiens ont heureusement retrouvé l’emplacement, et aujourd’hui, grâce à Israël, les chrétiens peuvent se recueillir à nouveau au Saint Sépulcre.

    Donc nous n’avons fait que nous défendre. Mais comme on nous décrit  indéfiniment, et depuis toujours, comme des va-t-en-guerre, tout le monde y croit, même « certains cathos ». On raconte que nous sommes allés convertir avec l’épée… Convertir qui ? Les musulmans ? C’est tout simplement grotesque !

    Ce sont ceux-là même qui veulent  nous convertir, chez nous, par les armes, (kalachnikov etc) et nous imposer leur « religion politisée et passéiste »…

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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