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    Et si nous relisions Victor Hugo ?

    Victor Hugo vers 1875.

     

    Hugo dans un discours de 1855 avait rêvé de l’Euro :

     « Une monnaie continentale ayant pour point d’appui le capital Europe tout entier et pour moteur l’activité libre de 200 millions d’hommes, cette monnaie une, remplacerait et résorberait toutes les absurdes variétés monétaires d’aujourd’hui, effigies de princes, figures des misères ; variétés qui sont autant de causes d’appauvrissement ; car, dans le va-et-vient monétaire, multiplier la variété, c’est multiplier le frottement ; multiplier le frottement ; c’est diminuer la circulation. En monnaie comme en toute chose, circulation, c’est l’unité »

     

    Dans un article, paru chez : http://obraska.over-blog.fr

     

    C’était donc déjà le rêve de Victor Hugo ! 

    Il nous faut voter dimanche, 25 mai, pour élire des français dans les instances européennes…

    Nous aimerions avoir des hommes et des femmes, qui travaillent à l’avenir de cette Europe, et ne se contentent pas comme beaucoup aujourd’hui, (toutes nationalités confondus) de « pointer » dix minutes avant 18h30, pour avoir droit aux prestations énormes, que leur confère leur titre de « député européen » !

    Et comment croire à la bonne foi, de ceux qui nous disent qu’il faut « sortir de l’Europe, de l’euro », mais osent quand même se présenter à la députation européenne… où donc est la logique ? Sinon : le fric facilement gagné ? le titre ?

     

     

     

    Et si nous relisions Victor Hugo ?

    Sir Winston Churchill

     

    Il faut construire l’Europe, mais avec conviction.

    Winston Churchill disait :

     « Construire peut être le fruit d’un travail long et acharné.  Détruire peut-être l’œuvre d’une seule journée ». 

    C’est beaucoup plus difficile de bâtir que de détruire, alors arrêtons les démolisseurs !

    Bâtissons l’Europe que nous voulons!

    Liviaaugustae

     


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    Humeur

    Embryon humain de six semaines.

    (Avant la naissance)

    Image wikipédia

     

    Bébé…

    Le soleil se levait à l’horizon,

    Moi, je n’étais qu’embryon.

    Le soleil était haut dans le ciel,

    Ma mère me donnait l’essentiel.

    Le vent réchauffait son cœur,

    Son sang réchauffait le mien.

    Elle et moi, n’étions qu’une vie,

    Fruit d’un amour passion,

    Nous allions porter le même nom,

    Dans l’attente du jour vie.

    Le vent la rendait belle et jolie,

    Car son cœur, vivait pour deux.

    Raphaël Romero

     

    N’est-il pas beau cet être en devenir que grâce à l’avortement on va supprimer sans vergogne et sans remords aucun ?

    Liviaaugustae


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    Humeur

    Le dernier chemin…

     

    LE DERNIER CHEMIN

    Il à neigé des ans sur leurs têtes qui branlent.

    La vie a buriné des sillons sur leurs fronts.

    Leurs gestes sont maladroits,

    Et leurs mains qui s’avancent ;

    Tremblent de ne pas rencontrer, une autre main amie.

    Ils s’en vont deux par deux,

    L’un soutenant l’autre,

    D’un pas qui hésite, et qui n’en finit pas,

    Qui a peur d’arriver, ou finissent les pas.

    Ce monde ne leur donne rien,

    Que la peur d’exister.

    Ils vont les petits vieux, isolés deux par deux.

    Sur la dernière route,

    La plus dure de toute !

    Liviaaugustae

    (Poème déjà publié en 2010)

     

     

    LA MINISTRE DE LA « SANTE »  CONCOCTE UNE LOI QUI PERMETTRA DE « TUER » A L’HÔPITAL  EN TOUTE LEGALITE !

    Est-ce vraiment un progrès ?

     

     Si je réédite ce poème, que j’ai écrit il y a longtemps, (après la mort de mes parents), c’est tout simplement que le scandale de l’EUTHANASIE, me choque, me bouleverse, car je me demande avec angoisse, si l’on ne « tuera » pas, dans un hôpital, de vieux parents, de vieux amis, ou moi-même, devenus aujourd’hui « trop chers » à soigner…

    Car, je crois que derrière le slogan : «MOURIR DANS LA DIGNITE », se cache beaucoup de choses peu avouables… 

    -      Un vieux père tarde à mourir, les enfants veulent hériter !

    -      Piquons-le !

    -      Un conjoint malade, handicapé, empêche de vivre librement !

    -      Piquons-le !

    -      Un enfant naît infirme, cela coûte cher et pourrit la vie !

    -      Piquons-le !

    Ce ne sont que quelques exemples, la liste est longue !

    Comment cela finira-t-il ?

    Finirons-nous tous « piqués » comme les chiens et les chats dont personne ne veut ???

    Liviaaugustae


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    Humeur

     

     

    (Immage internet) 

     

    Du haut de son triomphe

    En l’an de grâce 2012,

    François était content.

    Son rêve de toujours, était réalisé,

    Il avait l’Elysée !

    Certains étaient en liesse

    Au soir de ce 6 mai,

    Cueillant à pleines mains

    Les roses socialistes.

    L’hédonisme fleurissait.

    D’autres en secret pleuraient,

    Sur la France vendue.

    Car depuis, elle vit dans le mensonge,

    Le compromis, l’humiliation,

    A demie ruinée,

    Presque séquestrée.

    Et ceux-là même, qui ce soir de mai,

    La vendirent au tyran, nient leur forfaiture.

    Car la fête est finie,

     Les roses sont toutes fanées.

    Il n’en reste que ronciers.

    Il veut pourtant encore,

    Subsister quatre années !

    Après seulement un an et quelques mois,

    Qui mirent au grand jour,

    Son incapacité et son incompétence,

    François  rigole, moins.

    La France bat de l’aile,

    Des usines ferment,

    Les salauds de riches partis,

    Le chômage grimpe,

    Le train de vie baisse,

    Les vacances, pour beaucoup

    Ne sont qu’un joli rêve enfui.

    Couvertes de blessures

    Et baignée de larmes,

    Marianne, que l’on brade, crie et se fâche. 

    Il avait oublié,

    Qu’il existe en France,

    Un peuple de droite,

    Qui lui avait dit : NON !

    Liviaaugustae


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    Humeur

    Nicolas Bernard-Buss, victime de Valls/Taubira…

     

    2013…L’ETE DE TOUTES LES VIOLENCES !

     

    Il venait d’avoir 23 ans. Il était étudiant, hyperactif, bien inséré socialement. Sans être encarté nulle part, il militait comme de nombreux jeunes gens de sa génération, contre le projet de loi Taubira instaurant le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels. Le 14 avril, il avait fondé et développé très vite le mouvement des Veilleurs. Il s’apprêtait à passer ses examens de fin d’année. Nicolas est un garçon comme les autres. Jusqu’à ce 16 juin 2013.

    Ce soir-là Hollande creuse la tombe de sa popularité en plombant l’émission Capital sur M6. Le vrai spectacle est dans la rue. Plus d’un millier de manifestants brandissant des drapeaux bleu/blanc/rose, encadrés par des centaines de CRS l’attendent, pour lui manifester une énième fois leur opposition au mariage homosexuel. Le président s’esquive et emprunte une porte dérobée. La foule se disperse. Avec une vingtaine d’amis Nicolas remonte l’Avenue de la Grand Armée et débouche sur les Champs-Elysées. A la station de métro Franklin-Roosevelt, une masse de CRS fonce sur le petit groupe. Panique…

    La suite est Kafkaïenne. La machine politique/judiciaire/médiatique s’emballe. Pour la première fois un jeune homme de 23 ans au casier judiciaire vierge écopera d’une peine de prison ferme assortie d’un mandat de dépôt, qu’il ira purger le soir même sous la lettre d’écrou Z, classification réservée aux détenus les plus dangereux, dans la plus grande maison d’arrêt d’Europe ; sa cellule est voisine de celle de Redoine Faïd, ex-ennemi public n° 1.

    Pour la première fois depuis la loi Dati de 2009, une peine de moins de 2 ans de prison sera exécutée alors que le juge d’application des peines conclut systématiquement à la remise en liberté des condamnés. Pour la première fois, la justice de ce pays emprisonnera pour délit d’opinion un jeune innocent, alors que près de cent mille peines de prison ferme ne sont pas exécutées chaque année…

    Face à tant d’incohérence, de détournements et d’injustices qui sont les acteurs de la condamnation de Nicolas. Certaines langues se délient, tous ne sont pas fiers d’avoir permis qu’un tel « deux poids, deux mesures » déshonore l’institution qu’ils sont sensés servir. « Les ordres venaient d’en haut, entend-t-on souvent. De tout en haut. » et le slogan dictature socialiste scandé par les opposants aux mariage pour tous paraît moins folklorique…

    Pour la juge (du syndicat ?), ce jeune homme est : sic « compte tenu de la dangerosité de l’incriminé, nous assortissons cette peine à un mandat de dépôt à effets immédiats et exécutoire à l’instant. Il devra être conduit dès ce soir à la prison de Fleury-Mérogis.

    Cas unique dans l’histoire de la justice française : il faut libérer l’opposant pour éviter une invasion des Champs-Elysées le 14 juillet. Le libérer, mais le reconnaître coupable : Nicolas voit sa peine réduite à 3000 € d’amende, dont 1500 avec sursis, quitte à confirmer en appel des chefs d’accusation suréaliste…

    Extrait de : Valeurs Actuelles

     

     

    Taubira, sans états d’âme, donne l’ordre de relâcher, des délinquants, multirécidivistes et des assassins, en donnant comme raison : (sic) « le manque de places dans les prisons françaises » !

    Cependant, le jeune homme « veilleur », qui n’avait tué personne, ramassé par la police, subit, lui une descente aux enfers socialistes, et se retrouve, après un jugement très hâtif, enfermé pour 1 mois de prison (19 juin au 9 juillet) !

    Ce crime fut suivit d’un silence tonitruant des médias à la botte de « flamby ».

    Liviaaugustae


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