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    VIE ET ŒUVRES DE MICHEL-ANGE BUONARROTI. (1475-1564)

    Sculpteur, peintre, architecte et poète.

     

    Né à Caprese (petit village de Toscane),  Michel-Ange se consacre aux Arts, contre la volonté paternelle.

    En 1488, il entre à l’école des frères Ghirlandaio, qu’il abandonne bien vite pour rentrer à l’Académie qui se tenait dans le jardin des Médicis, à Florence. Dans ce jardin Michel-Ange s’achemine vers l’art de type classique. Le jeune homme ne tarde pas à se faire remarquer au point, que Laurent Le Magnifique en personne l’appela dans son palais.

    Le cours de sa vie se déroula sur un long arc de temps qui va de la fin du Quattrocento (XVe siècle) à la première moitié du Cinquecento (XVIe siècle). C’est à juste raison que Buonarroti est communément considéré et défini par la critique comme l’initiateur du Maniérisme et du Baroque.

    La plupart des œuvres de jeunesse de l’artiste ont été placés dans la Maison Buonarroti (maison que Michel-Ange avait achetée pour ses parents).

     

     

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    Autoportrait.

     

     

    ETUDES  AVANT LA REALISATION DE SES ŒUVRES.

     

     

     

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    Deux silhouettes d’hommes vues de dos (Venise Galerie de l’Académie).

     

     

     

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    Etude de têtes (Galerie Buonarroti Florence)

     

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    Etude pour un Christ Ressuscité (Londres British Museum)

     

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    Cléopâtre (Galerie Buonarroti  Florence)

     

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    Etude pour la statue de l’Aurore (Londres British Museum)

     

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    Notre Dame allaitant l’Enfant (Galerie Buonarroti Florence)

     

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    Etude pour un Crucifix (Londres British Museum)

     

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    Etude pour deux figures viriles (Galerie Buonarroti Florence)

     

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    Etude de figure virile nue vue de dos (Galerie Buonarroti Florence)

     

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    La Vierge à l’Enfant (Musée du Louvre)

     

    La fortune

    La Fortune (Galerie des Offices Florence)

     

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    Crucifixion.

     

     


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    APOLLON, L’UN DES PLUS GRANDS DIEUX DU PANTHEON ROMAIN.

     

     

    Apollon du Belvedère (Musée du Vatican)

    Apollon du Belvédère (Musée du Vatican).

     

    IL est le Dieu de la prophétie et de la divination, le Dieu des arts, et tout particulièrement de la musique (les Muses dépendent directement de lui).

     

     

    Apollon Citharede (Musée du Capitole)

    Apollon citharede (Musée du Capitole)

     

    Il est le Dieu de la beauté pour les hommes ; il est aussi le Dieu archer. Il peut frapper les pays d’épidémies qu’il peut aussi guérir étant le patron des médecins. Il protège les bergers, bien qu’il soit aussi l’ami de leur ennemi le loup. On l’appelle Phoebus le brillant comme Dieu solaire.

     

    Apollon Sauroctone (Musée du Louvre)

    Apollon Sauroctone (Musée du Louvre).

     

    Il se manifeste aux romains par l’oracle de la grotte de Cumes, dont la Sybille accompagna Enée aux enfers selon la légende. Mais les romains se rendaient aussi à Delphes, lieu de l’oracle grec d’Apollon.

    Auguste l’adopta comme sont protecteur et comme le symbole de sa mission civilisatrice, lui dédiant un temple magnifique sur le mont Palatin en 28 après J.C.

     

     

    Frise du temple d'Apollon dédié par Auguste (Antiquarium

    Fragment de frise du temple dédié par Auguste sur le mont Palatin

    (Antiquarium du Palatin).

     

    Frise du temple d'Apollon dédié par Auguste (Ant-copie-1

    Fragment de frise du temple d’Apollon dédié par Auguste sur le mont Palatin

    (Antiquarium du Palatin).

     

     

    Apollon est le fils de Jupiter et de Léto la Titanide, et le frère jumeau de Diane.

    Il eut plusieurs fils, dont le plus célèbre est Esculape. Il aurait engendré encore Aristée, Orphée et Linos.

     

     

    Apollon (3) (Musée du Louvre)

    Apollon pythien (Musée du Louvre)

     

    Apollon (Musée du Louvre)

    Apollon pythien (Musée du Louvre)

     

    Apollon de Pompei (In Situ)

    Statue du temple d’Apollon à Pompéi.

     

    Apollon (Musée du Louvre) (2)

    Apollon (Musée du Louvre)

     

     


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    L'Amour et Psyché (Capitole)

    L’Amour et Psychée (Musée du Capitole)

     

     

    ODE A L’AMOUR.

     

     

    L’Amour est une symphonie,

    Un orchestre, une polyphonie,

    Des instants « lente »,

    Des moments « allégro »,

    Des temps « forte »,

    Des passages « pianissimo »,

    Des silences et des soupirs,

    Des arpèges et des sourires,

    Une mélodie et des frissons,

    Des paroles, de la passion,

    Toute une gamme de clefs de vie

    Sur une portée pleine d’harmonies.

     

    ANONYME.

     

     


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    BACCHUS : RENAISSANCE ET BAROQUE.

     

    Bacchus est un Dieu dont la célébrité a passé les âges.

    IL a continué à inspirer les artistes de la Renaissance au Baroque.

     

     

     

     

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    Renaissance : Bacchus ivre de Michel-Ange (Musée du Bargello Florence)

     

    Bacchus (Leonardo da Vinci les Offices)

    Renaissance : Bacchus de Leonardo da Vinci (Galerie des Offices Florence)

     

    Bacchus (Sansovino Musée du Bargello)

    Renaissance : Bacchus de Sansovino (Musée du Bargello Florence)

     

    Bacchus XVIe siècle (Musée du Bargello)

    Renaissance : Bacchus XVIe siècle (Musée du Bargello Florence)

     

    Bacchus Guido Reni (Florence)

    Baroque : Bacchus de Guido Reni (Florence)

     

    Bacchus malade autoportrait du Caravage (Galerie Botghèse

    Baroque : Bacchus malade, autoportrait du Caravage (Galerie Borghèse Rome).

     

    Bacchus sur son char revient de l'Inde (Carrache, Palais Fa

    Baroque : Bacchus sur son char retour d’Indes (Carrache Palais Farnèse Rome)

     

     


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    BACCHUS DIEU DU VIN ET DE L’EXTASE LIBERATRICE.

     

    Les romains identifièrent Bacchus avec l’ancien Dieu rustique italique : Liber Pater. Ils suivront donc  avec enthousiasme le culte Dionysiaque, pourvu d’un cérémonial complexe, censé apporter le salut. Les romains ont peur de la mort et la religion Dionysiaque promet la vie éternelle que l’on atteint, après avoir assisté à des cérémonies secrètes : les Mystères, et avoir été initiés.

     

    Statue en bronze de Bacchus

    Statuette en bronze de Bacchus (Pompei).

     

    Bacchus (Musée des Offices) (2)

    Bacchus (Musée des Offices)

     

    Bacchus (Musée du Louvre)

    Bacchus (Musée du Louvre)

     

    Bacchus et un Satyre (Musée des Offices)

    Bacchus et un Satyre (Musée des Offices).

     

    Le culte de Bacchus étant très populaire, il touche toutes les classes de la société, y compris les Empereurs. Il est un des Dieux les plus représenté dans l’art statuaire, mosaïque et fresques. Comme dans la villa des Mystères à Pompéi. (Une des rares villas des Mystères qui est arrivée jusqu’à nous).

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    Peintures de la Villa des Mystères, représentant le dévoilement « de la Mistica Vannus », la Flagellante et la Bacchante, parmi les Silènes et les Satyres.

     

    Bacchus est suivi d’un cortège composé de Silènes, de Centaures, de Pan, de Nymphes et de Satyres, divinités protectrices de la fertilité.

     

    Centaure chevauché par l'Amour (Musée du Louvre)

     

     

     

     

    Centaure chevauché par l’Amour (Musée du Louvre).

    

    Satyre musicien (Musée du Louvre)

    Satyre musicien (Musée du Louvre).

     

    Silène ivre (Musée du Louvre)

    Silène ivre (Musée du Louvre).

     

    Petit Pan enlevant une épîne du pied d'un Satyre)

    Petit Pan enlevant une épine du pied d’un Satyre (Musée du Louvre)

     

    Bacchus et un jeune Satyre (Musée des Offices)

    Bacchus et un jeune Satyre (Les Offices)

     

     

    Ses adeptes, en général des femmes : les Bacchantes, c'est-à-dire les femmes possédées par le Dieu Bacchus, se livrent à des danses effrénées sur les collines, vêtues de peaux de faons, avec à la main un thyrse (Hampe ornée de feuilles de vigne ou de lierre, et couronnée de pommes de pin).

     

     

    Bacchantes (Campo Santo Pise)

    Bacchantes en transes. (Pise Campo Santo).

     

     

    Bacchus est le patron du théâtre, et les masques que portent les acteurs, le représentent.

     

     

     

    Frise du théâtre de Fiesole représentant Bacchus et une

    Frise du théâtre de Fiesole, Bacchus et une panthère.

     

    Frise du théâtre de Fiesole

    Frise du théâtre de Fiesole des thyrses.

     

     

    C’est aussi le Dieu qui sortit, enfant, de la cuisse de Jupiter, ce dernier le transforma  en chevreau, le donna aux Nymphes du mont Nysa afin qu’elles l’élèvent, Silène les aida dans leur tâche. Plus tard Bacchus, plaça les Nymphes au firmament sous forme d’étoiles.

     

     

     

    Une Nymphe Dionysiaque nourrissant Bacchus

    Nymphe nourrissant Bacchus enfant.

     

    C’est à Naxos que Bacchus recueillit Ariane, abandonnée par Thésée et l’épousa. Quand elle mourut, leur couronne nuptiale, devint la constellation de la couronne boréale.

     

    Bacchus découvrant Ariane (Musée du Louvre)

    Bacchus découvrant Ariane à Naxos. (Musée du Louvre)

     

    Bacchus et Ariane (Musée du Louvre)

    Bacchus et Ariane avec un masque de tragédie (Musée du Louvre)

     

    Les chrétiens furent très mal accueillis par les romains. Le Dieu Unique, Universel et exclusif des chrétiens, leur fût incompréhensible. De plus les chrétiens refusent de rendre un culte aux Dieux officiels de Rome et à l’Empereur. Considérés comme des dangers publics, ils sont persécutés. Bacchus, n’apporte-t-il pas lui aussi la vie éternelle ?

    Les premières persécutions, ont lieu en 64 après J.C. sous le règne de Néron après l’incendie qui ravagea Rome et qu’on leur attribua.

     

     


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