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    CET HIVER,
    LE DIABLE SE CHAUSSE HAUT DE GAMME…
     
     
    Cette année, de la France à l’Italie en passant par l’Amérique, les concepteurs de chaussures n’ont tenu compte : ni des chevilles, ni des pieds des pauvres femmes, qui bêtement, et pour être « dans le vent », vont se martyriser les pieds…
    En toute connaissance de cause, vous pourrez donc « assassiner » vos pieds !
     
    Beaucoup de choix… à prix ? On ne le précise pas !
    Quand vous en serez lassée… Les talons étant conséquents, vous pourrez allumer du feu dans la cheminée.
     
     
     
    numérisation0003Ici bottines, ornées de « vrai fourrure » !
     
    Même le chien n’en revient pas !
     

     

     

     

     

     

    numérisation0004-copie-1Là, escarpins façon chausson de danse… Assortis au chien ! So chic !

    (J’aimerais bien voir une danseuse sur scène avec ça aux pieds !)

     

     

     

     

     

    numérisation0005Sandales en soie et plumes d’autruche…  Chien  assorti !

    (Attention aux averses) !

     

     

     

     

     

    numérisation0007Toilette sport ? Adoptez ces mocassins passe-partout, double tons…

     

     

     

     

     

    numérisation0006Pour le shoping, escarpins agrémentées de serpent…

     

     

    VOUS POUVEZ PREFERER LES TALONS AIGUILLES ?

     

     

     

     

     

    numérisation0009Avez-vous bon pied ?

    Pas d’hésitations, adoptez ces escarpins, style échassiers, beige clair !

     

     

     

     

     

    numérisation0010Ou bien noir, et verni…

     

    Un petit conseil, et cela gratuitement, pour vous éviter de vous casser la figure, armez-vous d’un parapluie, (on en fait de très beaux). Ce dernier fera office de canne, et qui sait ? Donnera un petit plus à votre toilette, sans que cela ne fasse « mémé » !

    liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LES FEMMES QUI LISENT…
     
     
     
     
     
     
    numérisation0004La liseuse,
     
    (vers 1874) Auguste Renoir
     
    (Musée d’Orsay)
     
     
     
     
     
    Les femmes qui lisent sont de plus en plus nombreuses. Non seulement ce sont elles qui achètent mais, de plus en plus, elles apparaissent comme prescriptrices et deviennent, au fil des années, « les véritables arbitres de cette marée de livres », -aujourd’hui six cent quarante-six livres recensés- qu’on nomme « rentrée littéraire ».
     
    Les membres éminents des jurys les plus prestigieux et les critiques littéraires les plus incontestés prêchent leur enthousiasme pour tel ou tel ouvrage. Ils sont les éveilleurs, ceux qui attirent l’attention, qui mettent en lumière, donnent envie.
     
    Les éditeurs misent sur une poignée d’auteurs – comme si seulement quelques livres avaient le droit d’exister, tels des chevaux piaffant au champ de courses devant la ligne de départ avant que l’on ne donne le coup de sifflet, les autres restant à l’écurie.
     
    Les lectrices ne seront pas forcément sensibles à ce genre particulier de « teasing », et c’est en toute liberté qu’elles éliront leurs coups de cœur, permettant ainsi par des affinités secrètes le cheminement et l’émergence d’une poignée de livres qui, de bouche à oreille, seront ceux que nous aurons envie de lire.
     
    Dans cette chaîne contagieuse de l’amour de la lecture, les libraires jouent un rôle de plus en plus stratégique tant sur le plan intellectuel que par leur esprit de découverte et leur liberté de jugement. Découvrir un livre prend du temps. On ne s’approche pas impunément d’un univers, d’un imaginaire, d’une intrigue. Dans ce voyage au long cours, les libraires sont vos « compañeros ».
     
    Un livre n’est pas un objet de consommation.
     
    Un livre, c’est une manière de rencontrer l’autre, de suspendre le temps, de s’étonner devant les beautés inventives de la langue de l’auteur, c’est la possibilité de voyager de l’autre côté du monde ou de se réfugier sous la couette pour mieux se retrouver soi-même. Un livre, c’est un secret, une promesse, un pacte de confiance.
     
    Lire, c’est vivre.
     
     
     
    Laure ADLER (écrivain)
     
     
     
     
     
    Personnellement, je n’aime pas les « prix » !
     
    Les deux ou trois fois, que j’en ai lu un, couronné par celui-ci ou celui-là, j’ai été fortement déçue ! C’était des cadeaux, ou des prêts, car je n’en ai jamais acheté.
     
    Mais, dans un diner, c’est bien de dire : « vous n’avez pas lu le dernier machin ? Et puis le dernier truc ? C’est tout simplement divin ! On en redemande…
     
    Et puisque il y en a qui tombe en pamoison, à chaque « rentrée littéraire », comme je suis bonne fille, je les laisse croire qu’elles ont découvert une pépite…
     
    liviaaugustae
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LE PAPA…
     
     
     
     
     
    numérisation0004« A la minute où il passait le seuil, toute la maison se chargeait d’une nouvelle énergie. Tout semblait plus net, plus brillant, plus coloré… »
     
    Victoria SECUNDA
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LE THEATRE GRASLIN  DE NANTES
     
     
     
     
     
     
    280px-Mathurin Crucy - BustBuste de Mathurin CRUCHY, par Jean de BAY fils.
     
     
     
     
     
    Le 23 mars  1788, Mathurin CRUCY, l’architecte du théâtre Graslin, réalise la place et l’édifice comme une mise en abyme, sans aucun obstacle. Ce bâtiment est inscrit à l’inventaire des monuments historiques depuis le 08 décembre 1998.
     
    Ravagé par un incendie en 1796, il est reconstruit à partir de 1811, à la suite de la visite de l’empereur Napoléon 1er, à nouveau par l'architecte CRUCY, (il eut la chance d’échapper à la « veuve noire » la guillotine) en collaboration avec le sculpteur Dominique Molknecht, et inauguré à nouveau en 1813
     
    Dès 1868, il est soumis à la concurrence du nouveau théâtre de la Renaissance possédant une capacité de plus de 3 000 places. Cette rivalité dure jusqu'en 1875, date à laquelle ce dernier sera racheté par la ville. Les deux théâtres désormais administrés par le même directeur, deviendront complémentaires. La salle de la Renaissance prendra même le relais lors de travaux de réfection à Graslin durant la saison 1870-1880 sous la direction de Jourdan-Blondel. Le théâtre de la Renaissance disparaîtra lors d'un incendie en 1912. []
     
     
     
     
     
     
     
    L’INTERIEUR DU THEATRE
     
     
     
     
     
     
    800px-Nantes - Graslin int 07Salle du théâtre à l'italienne
     
     
     
     
     
    600px-Nantes - Graslin int 11Médaillon du plafond.
     
     
     
     
     
    800px-Nantes - Graslin int 01Le dieu grec Momos : peinture du plafond (détail) par Hippolyte BERTEAUX
     
     
     
     
     
    120px-Nantes - Graslin int 04Oreste tourmenté par les furies, peintur du plafond (détail)
    Peinture par Hippolyte Berteaux
     
     
     
     
    800px-Nantes - Graslin int 06Détail de la décoration du deuxième balcon.
     
     
     
     
     
     
     
    612px-Nantes - Graslin int 02Vue de la scène depuis la salle.
     
     
     
     
     
     
     
    L’EXTERIEUR
     
    Douze marches mènent au vestibule, tandis que huit colonnes corinthiennes supportent le fronton.
    Les huit statues de style antique surplombant chaque colonne et représentant huit des neuf muses datent de l’époque de la reconstruction. Stendhal, visiblement peu conquis par l’harmonie de l’ensemble architectural se demande facétieusement « laquelle eut le bonheur d’être oubliée »…
     
     
     
     
     
    220px-Nantes 2008 PD 36Façade du théâtre Graslin
     
     
     

     

     

    numérisation0001Les huit Muses au-dessus de la façade, ces statues sont l’œuvre de Dominique Molknecht

     

     

     

     

     

    numérisation0003Le plafond du vestibule.

     

     

    

    Textes et images : source Wikipédia

     

    Ce théâtre est une splendeur !

    Malheureusement je n’ai pu le photographier, car il est en restauration et entouré d’échafaudages.

    Nantes regorge de beaux monuments, la prochaine fois je vous en ferais découvrir d’autres, qui ne sont pas encore entourés d’échafaudages !

    liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     


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    SALLE A MANGER DES RETOURS DE CHASSE…
     
     
     
     
     
     
     
    numérisation0005Appartement intérieur du Roi Louis XV
     
    (Ornemanistes : Jacques Ange Gabriel et Jacques Verbeckt)
     
     
     
    Les petits dîners de la faveur…
     
     
     
    Parmi les salles à manger de Louis XV, cette pièce décorée en 1750 abrita jusqu’en 1769 les dîners organisés à ses retours de chasse.
     
    En dehors du témoignage du Duc de Croÿ, nous ne connaissons guère les détails de ces soirées qui débutèrent dans les années 1730 et attisèrent les convoitises.
     
    Ces soupers privés se tenaient au bon vouloir du Roi, réunissant une vingtaine de convives dont très peu de femmes : le volume de leurs robes ne leur permettait guère d’évoluer dans ces petites pièces.
     
    Pour Louis XV, il s’agissait de distinguer quelques gentilshommes et d’apprécier la valeur de leur compagnie. Ces soupers n’avaient donc d’intime que l’apparence et présentait un caractère aussi redoutable que ceux institués par Louis XIV à Trianon ou à Marly. S’affranchissant du fonctionnement officiel de la Cour, de ses privilèges acquit de droit, Louis XV redevenait le maître du jeu en bousculant les habitudes.
     
     
     
    Extrait de : Versailles secret et insolite.
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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