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    Art militaire romain...

    Cette tête de dragon en bronze, était brandie en haut d’une perche, en signe de ralliement militaire. Elle avait le corps en tissus rouge qui telle une bannière flottait au vent.

    (IIe siècle après J.C, Musée de Coblence)


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    Les poupées, encore une invention greco/romaine.

     

    La civilisation grecque est la première à nous avoir laissé des poupées (jouet), en assez grand nombre.

     

     

     

    Les premières poupées...

    Poupée cloche béotienne, réalisée vers 700 avant J.C. en terre cuite peinte, est l’une des plus anciennes poupées à jambes articulées, sa hauteur est de 39 cm.

    (Musée du Louvre)

     

    A partir du Ve siècle avant J.C., elles sont l’objet d’une constante production. En terre cuite moulée, la peau peinte en blanc ou rose, les jambes et les bras articulés, elles sont fabriquées à grande échelle et exportées. On les appelait « nymphai ou corai », d’où le nom de coroplastes.

     

     

     

    Les premières poupées...

    Poupée en terre cuite de type corinthien, début du 5e siècle avant J.C., hauteur 12,3 cm.

    (Metropolitan museum, N.Y)

     

    Le monde grec nous a laissé le témoignage des auteurs anciens par exemple : on sait que les jeunes filles grecques offraient leurs poupées à Artémis ou à d’autres divinités, au moment de leur passage au statut de femmes mariées. Le monde grec nous a laissé aussi quelques représentations sur des stèles funéraires.

     

     

    Les premières poupées...

    Stèle funéraire attique, représentant une jeune fille tenant une poupée, accompagnée d’une esclave. 1er quart du 4e siècle avant J.C.

    (Musée Calvet, Avignon)

     

    Cette production se perpétue à l’époque hellénistique et la poupée en terre cuite, reste en usage dans la partie orientale de l’empire romain jusqu’au 3e siècle après J.C.

    Les exemples d’époque romaine sont moins nombreux. La fabrication de poupées en terre cuite semble délaissée et remplacée par celle en bois, en os ou en ivoire. Elles sont plus élaborées avec l’introduction d’articulations aux coudes et aux genoux. Leur coiffure suive la mode du moment, dictée par la cour impériale, ce qui permet parfois de les dater. Elles deviennent plus nombreuses au 3e et 4e siècle après J.C. avec une valeur symbolique chrétienne pour les poupées trouvées dans les sépultures d’enfants dans les catacombes.

     

     

     

    Les premières poupées...

    Poupée en ivoire, trouvée dans la tombe d’une vestale, avec collier et bracelets, 2e siècle après J.C.

    (Museo Nazionale Romano)

     

    IL existe aussi quelque rares exemples de poupées en chiffon.

     

     

     

    Les premières poupées...

    Poupée en chiffon trouvée en Egypte, conservée grâce au climat très sec. Epoque romaine.

    (British Museum)

     

    Les poupées grecques et romaines sont toujours des femmes adultes aux seins marqués et souvent nues. Il est évident que l’enfant les habillait, mes les vêtements ne sont pas parvenus jusqu’à nous.

     

     

     

     

     


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    POUR LE TABLEAU SAMEDI

     

     

    Les quatre saisons de Jean-Baptiste OUDRY...

     

    Jean-Baptiste Oudry, est né à Paris le 17 mars 1686, il est mort à Beauvais le 30 avril 1755. C’est un peintre et un graveur français.

    Fils de Jacques Oudry, maître peintre et marchand de tableaux.

    Jean-Baptiste étudia tout d’abord à l’école de la maîtrise de Saint-Luc, dont son père était directeur. Il fut placé ensuite chez Nicolas de Larguillière, dont il devint le commensal et l’ami.

    En 1708, à l’âge de vingt-deux ans, il fut admis en même que ses deux frères à l’Académie de Saint-Luc. Il fit pour morceau de réception un « Saint Jérôme » en buste, tenant un livre d’une main et l’autre appuyée sur une tête de mort.

    Oudry s’adonna d’abord au portrait, celui de ses deux fils, puis celui de Mr d’Argenson et enfin le portrait du tsar Pierre 1er. Il fit aussi des buffets, dont deux furent exposés aux Salons de 1737 et  de 1743. Pour gagner sa vie, il composa des tableaux d’histoire, une Nativité et un Saint –Gilles pour l’église de Saint-Martin-des-Champs.

    Son fils Jacques-Charles Oudry fut peintre aussi et sa fille épousa le peintre Antoine Boizot.

    Oudry fut nommé professeur adjoint à la maîtrise en 1714 et professeur en 1717. Il fut agréé à l’Académie royale de peinture puis titulaire en 1719. […]

     

     

    Les quatre saisons de Jean-Baptiste OUDRY...

    Le Printemps

     

     

    Les quatre saisons de Jean-Baptiste OUDRY...

    L’Eté

     

     

     

    Les quatre saisons de Jean-Baptiste OUDRY...

    L’Automne

     

     

     

    Les quatre saisons de Jean-Baptiste OUDRY...

    L’Hiver

    Ces quatre saisons se trouvent au Château de Versailles, dans les appartements de la Dauphine, cabinet intérieur.

    Texte et Images wikipédia.

     

     

    BLOG EN PAUSE

    Petite vacances en famille pour le weekend de la Pentecôte.

    A bientôt

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Les romains ont aussi inventé le bkini...

    Mosaïque de deux athlètes féminines.

    (Villa de l’Empereur Maximien en Sicile)

     

    « Les statistiques, c’est comme les bikinis : cela donne des idées, mais cela cache l’essentiel !» 

    Anonyme


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    Femmes, Muses du bonheur...

    La Danse de : William Adolphe Bouguereau (1856)

    (Musée d’Orsay)

    (Image wikipédia)

     

    « La passion fait le bonheur et la femme est sa complice. La femme est la chance du bonheur. »

    Jacques de Bourbon-Busset

     

    « Une seule femme quand elle est amoureuse suffit pour remplir le Ciel et la terre. »

    Christian Bobin


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