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    « Objets inanimés, avez-vous donc une âme ?»

     

    Lamartine

     

     

    Quand les robots font la tête...

    Cerveaux de robots...

     

    (image Pixabay)

     

     

     

    Une amie m'a envoyé un diaporama qui raconte l'histoire d'un homme qui a une maison connectée, en fait c'est le cerveau de cette maison qui fait tout le boulot en répondant aux ordres du propriétaire, elle lui obéit docilement, comme un chien à la voix de son maître, elle fait le smoothie, allume et éteint le feu et ouvre la porte...

     

    Oui mais voilà, un jour il va chez le dentiste, ce cernier lui extrait une dent et après l'anesthésie il a la langue gonflée et ne peut plus parler correctement et alors qu'il pleut à verse, il essaye en vain de dire « Open the door ! » le robot ne reconnaissant pas sa voix et ne comprenant pas les demandes, refuse d'obéir. La voisine arrive, lui fait un petit signe et entre chez elle avec sa clé...

     

    L'histoire ne dis pas comment il arrive à entrer chez lui, mais tandis que le pauvre homme grelotte sous une couverture, il essaye de demander du chauffage, le robot qui ne comprend toujours pas, lance un morceau de musique à fond la caisse…

     

    Si vous désirez voir ce petit film amusant sur cette maison réfractaire, clic sur le lien ci-dessous :

     

    https://www.youtube.com/watch?v=Ub3L9yw7F88

     

    Je n'ai pas de maison connectée, Dieu merci, mais comme tout le monde j'ai quelques robots ménagers, appareils, qui lave, sèche, aspire et des petits appareils pour mixer ou couper, viande légumes ou fruits, et un autre qui fait un excellent café, sans oublier l'indispensable ordinateur qui parfois boude et bug sans préavis.

     

    Ces diables d'appareils n'en font qu'à leur tête.

     

    A croire qu'en ce moment ils se sont donné le mot chez moi :

     

    Il y a à peu près une quinzaine de jours, c'est le bouton du sèche linge qui refusait de tourner, il s'était bloqué brusquement et refusait de tourner afin de faire démarrer la machine.

     

    De guerre lasse, je me suis dit : perdu pour perdu, je force sur ce bouton, s'il casse tant pis ! Et hop ! çà a marché, j'ai pu faire sécher mon linge qui était coincé dedans, depuis il marche au doigt et à l'œil ! Pour combien de temps ? Là je n'en sais rien encore !

     

    Hier, c'est le blender qui m'a fait un gros caprice, il refusait lui aussi de s'ouvrir. Ma fille et moi avons essayer de l'ouvrir à tour de rôle, rien à faire il refusait catégoriquement et pourtant j'avais besoin de la purée de tomates qui se trouvait à l'intérieur, l'après midi, j'ai réessayé et... il s'est ouvert sans faire d'histoire, tranquillement, il avait sans doute fini de faire la tête. J'ai eut une grosse envie de casser ce petit robot capricieux, mais réflexions faites, j'ai récupérer ma purée de tomates et laver ce maudit appareil.

     

    Mais l'histoire d'appareils récalcitrants ne s'arrête pas là.

     

    Il y a aussi la machine à coudre, qui m'a fait tourner en bourrique pour l'enfilage de l'aiguille, (il faut dire que je ne m'en sers pas beaucoup, la couture et moi cela fait deux) ayant trouvé un tuto très bien expliqué pour une fois, je décide donc de confectionner des masques, (car malgré les affirmations des gouvernants, on n'en trouve pas facilement) après avoir installé la machine, j'installe la bobine et je passe le fil en haut, en bas, puis encore en haut et encore en bas et...j'enfile mon aiguille, que croyez-vous qu'il arriva ? Rien ! J'avais des tonnes de fils en dessous et quand je tirais sur le bout... tout se défaisait. J'ai mis un temps fou à enfiler correctement cette maudite machine, après avoir gaspillé beaucoup de fil...mais j'ai réussi mes masques.

     

    Il n'y a pas que les robots malheureusement, qui ont fait la tête et qui m'ont empoisonnée, voilà que ce matin, la cordelette du rideau du séjour m'est resté dans la main, le rideaux ne s'ouvre plus ! Il faudra attendre, car comment trouver un ouvrier en ce moment et mon fils ne pourra venir à Nantes qu'à la saint Glin-Glin à cause de cet saleté de virus, j'ai donc déserté cette pièce plongée dans la pénombre, je n'y vais que le soir pour regarder la télé.

     

    Qu'est-ce qui va encore me tomber dessus ?

     

    Et lequel des autres appareils compte me pourrir la vie ?

     

    Je n'en sais rien et bien que je reste sur mes gardes et ouvre l'œil, Dieu seul sait ce qui peut encore arriver !

     

    Livia

     

     


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    Jusqu'à aujourd'hui, le Saint Suaire intrigue les « savants », la plupart sont athées et veulent donc absolument prouver que ce linceul est une fumisterie de la part des chrétiens !

     

    Cependant depuis 1931, ils s'escriment dessus et leurs analyses en tout genre sont restés sans résultats !

     

    Mais ils vont sûrement continuer avec l'espoir de coincer les chrétiens un jour !

     

    Livia

     

     

    Le Saint Suaire...

    Le Saint Suaire

     

     

     

    Si le Ressuscité est apparu à beaucoup de monde, personne en revanche n'a assisté à la Résurrection. Pour une raison simple : il n'y avait pas de témoin dans le tombeau ; seulement des objets, qui sont restés muets. Tous sauf un : le linceul. On a, en effet, de bonnes raisons de croire que la grande pièce de lin conservé à Turin est bel est bien le linceul qui enveloppa le Christ, et dont parle les évangiles.

     

    Première certitude : L'image déposée sur le linceul n'est pas l'ouvre d'un artiste ; aucun pigment, aucun solvant, aucun enduits n'a été retrouvé. L'image résulte d'une pure occidation (inexpliquée) de la cellulose du lin.

     

    En outre, certains détails de l'image n'ont manifestement pas pu être inventés au Moyen-Âge : on relève ainsi des marques de perforations au niveau des poignets, conformes à la pratique des bourreaux romains, mais en contradiction avec toutes les représentations médiévales, qui plaçaient toujours les clous dans les paumes.

     

    On note aussi que les traces de la flagellation sont très semblables à celles qu'aurait pu laisser le fouet spécifique de l'armée romaine, le flagrum taxillatum, qui comportait des billes de métal au bout des lanières. Or, ce détail n'était pas connu au Moyen-Âge. En outre, les analyses modernes nous ont appris que le tissus contenait des poussières minérales typiques de Jérusalem, au niveau des pieds, des genoux et du nez. On se demande bien pourquoi un faussaire médiéval les aurait ajoutées, à une époque où ces choses étaient indétectables.

     

    Il y a plus frappant encore. Les experts on montré que le sang qui macule le linceul (au niveau de la tête, des mains, des pieds et du côté droit) s'est déposé avant l'image et qu'il présente un excès de bilirubine, caractéristique des organismes qui éprouvent des souffrances longues et intenses.

     

    A la lumière de ces divers éléments, le plus probable est que le linceul (parfaitement conforme à ceux qui étaient utilisés en Palestine au Ier siècle) a bien enveloppé le corps d'un homme de type sémite, battu, flagellé et crucifié selon les méthodes romaines, et couronné d'épines, comme en témoignent les traces de sang autour de la tête. Les médecins légistes qui se sont penchés sur le linceul ajoutent que l'absence de putréfaction, comme de toute traces d'arrachement, laissent penser que le corps n'a pas séjourné plus de quarante heurs dans le tissus.

     

    Reste une énigme : comment l'image s'est-elle déposée sur ce tissus ? […]

     

    Frédéric Guillaud

     

     


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    Lundi 11 mai 2020

     

    C'est décidé, on dé-confine !

     

     

     

     

     

    « Tire, traîne ton filet : tu ramèneras peut-être dedans quelques menus bonheurs ».

     

    Jules Renard

     

     

    Dé-confinement...

    Dé-confinement...

     

    Oui mais qu'y a-t-il derrière cette porte ?

     

     

     

    Le dé-confinement a déjà commencé un peu en douce, il y a plus de voiture dans les rues de la ville et aussi plus de personnes à se balader, beaucoup sans masques d'ailleurs, surtout des jeunes et des enfants...

     

    Les jardiniers sont aussi venus et toutes les pâquerettes ont été tondues, je trouve cela désolant c'était si joli...

     

    Pendant ce confinement, nous avons un peu perdu la notion du temps, puisqu'il n'y avait plus de rendez-vous d'aucunes sortes nous nous laissions vivre...et n'avions plus d'horaire du tout !

     

    Cependant, comme l'indique le Dr Patrick Lemoine Psychiatre :

     

    « Nous sommes programmés pour vivre sur un rythme de 24 heures. C’est une sorte d’horloge interne logée dans notre cerveau qui, en se calquant sur la course du soleil, rythme nos journées en 2/3 d’éveil et 1/3 de sommeil. » 

     

    En plus je lis sur internet qu'il paraît qu'il y a de nouveaux foyers de virus qui ont été découverts en France, alors on se demande si c'est très prudent de se dé-confinés aujourd'hui ?

     

    C'est donc avec un peu d'angoisse que nous abordons ce dé-confinement, enfin... ce demi dé-confinement.

     

    Car il y a des tas de choses que nous ne pourrons pas encore faire :

     

    • Comme aller à la messe, pour les croyants (là-dessus, ils sont intraitables) !

    • Aller se balader sur les plages.

    • Partir en vacances, le président et le premier ministre ont dit que pour les vacances c'était très aléatoire ! Pour une fois ils étaient d'accord !

    • Ne pas franchir la barre des 100km, donc je ne pourrai pas revoir mes enfants et petits enfants de sitôt.

    • Tous les commerces ouvriront-ils ?

    • Mon ophtalmologiste va rouvrir son cabinet et demande que je prenne rendez-vous, qui a été annulé fin mars, il faut aussi que j'en reprenne aussi un avec mon dentiste et aussi avec la cardiologue...

    • Les coiffeurs rouvriront-ils ? Je n'en sais rien et pourtant j'aimerai bien y aller !

     

    Enfin chaque chose en son temps ! Car « Il faut donner du temps au temps » Miguel de Cervantès (Mitterand la repris à son compte et aujourd'hui beaucoup de personnes pensent qu'il en est l'auteur).

     

    Le 15 mars 2020 « confinement » le 11 mai 2020, « dé-confinement » voilà deux dates que nous n'oublierons pas de sitôt !

     

    Mais je crains que nous soyons encore très loin de la porte de sortie de cette auberge « Corona » dans laquelle nous a enfermé ce virus.

     

    Je vous souhaite quand même un bon dé-confinement !

     

    Livia

     

     


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    C'est pour le jeu café/thé N0 120 de Brigitte « alias écureuilbleu », qui nous demandait de raconter « ce que pensaient de nous les animaux » ?

     

    J'ai pris beaucoup de plaisir à écrire le texte ci-dessous... car j'ai repensé à notre chien Pacha, qui nous a tenu compagnie durant plusieurs années et qui croyez-moi occupait une très grande place.

     

     

    Les pensées de mon chien...

    Moi et mon maître...

     

    (image internet)

     

     

     

    Ce que pense mon chien...

     

     

     

    Je ne fais qu'un avec mon maître, comme en témoigne la photo.

     

    Je l'aime beaucoup et il me le rend bien, le midi et le soir, il me sert de succulentes pâtées dans une écuelle, marquée à mon nom s'il vous plaît, j'ai le droit l'hiver, de me coucher devant la cheminée sur le tapis du séjour pour me réchauffer tandis qu'il regarde la télé, pour la nuit je dors au pied de sont lit sur le tapis de sa chambre, il m'emmène tous les ans en vacances. Cependant la plage ce n'est pas trop ma tasse de thé, car je n'ai pas le droit de me baigner, il faut rester allongé sur le sable et ce dernier me rentre insidieusement dans les yeux, les oreilles et dans la gueule, ce qui est fort désagréable, je préfère de beaucoup les balades en forêt, où je peux gambader à ma guise, bien que parfois, sous prétexte que je dois faire de l'exercice (c'est le véto qui l'a dit), il ramasse et balance des branches, je dois alors courir, l'attraper et la lui rapporter... il la relance... je la rattrape...cela dure des heures et m'épuise, car en âge de chien j'ai quand même 30 ans !

     

    De temps à autres, il me demande de faire le beau sur deux pattes, est-ce que je lui demande moi de se mettre sur une seule patte ? Mais quelque fois il me prend par le cou, m'embrasse (c'est très gênant, je suis un mec que diable !) Là j'ai peu honte pour lui car il bêtifie et a l'air complètement idiot: «viens-là mon gros toutou, donne moi la papatte, as-tu aimé les bons nonos à midi ? Et j'en passe et des meilleures !»

     

    Mais quand il s'avise d'être sérieux, qu'il travaille ou qu'il dort, le ton change, je n'aime pas çà du tout : «Ici! Couché! Pas bouger !» Des ordres encore et encore ! Et j'ai intérêt à obéir, il n'accepte aucune incartade de ma part sinon je fini à la niche !

     

    Parfois, j'ai envie de le plaquer et de partir ! Oui mais pour aller où ? Et puis j'ai vu à la télé de pauvres compagnons qui avait été abandonnés par leurs maîtres dans un état épouvantable ces images m'ont fait pleurer.

     

    Alors comme moi et lui nous nous aimons bien, qu'il prend bien soin de moi, qu'ici la table est bonne, que l'hiver je suis chauffé, (j'ai même une couverture rien qu'à moi), que l'été je me balade... je m'allonge sans bruit le nez sur les pattes et m'endort en rêvant.

     

    Livia

     

     


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    Pour oublier ce virus et les affres du confinement qu'il a engendré, je vous offre un de mes beaux souvenirs d'été et vous invite en balade sur l'île de Saint-Honorat sise en Méditerranée.

    Voilà déjà quelques années, nous avons passer le mois d'août dans le Midi à Beaulieu-Sur-Mer comme je vous l'ai déjà raconté et de là, via Cannes, nous avons pris le bateau pour l'île de Saint-Honorat une des îles de Lérins au large de la côte.

    Ce fut une journée splendide, et sur l'île à l'opposé du monastère, il y a un très bon restaurant dans lequel nous avons été déjeuner dans lequel nous avons dégusté une succulente cuisine accompagnée de vins produit par les moines de l'abbaye.

    Livia

     

    « Le souvenir est l’espérance renversée. On regarde le fond du puits comme on a regardé le sommet de la tour. »
    Gustave Flaubert, dans ses Carnets.

     

    L'île de Saint Honorat

    (image internet)

    En face de la baie de Cannes, une petite île paradisiaque, située dans l’archipel de Lérins (Alpes-Maritimes), abrite pour uniques habitants des moines cisterciens. Loin du tumulte de la ville et de la Croisette, l’île de Saint-Honorat, qui tient son nom du premier abbé venu s’installer, cultive une atmosphère paisible, entre champs de vignes et nature sauvage.

    Site classé au large de la baie de Cannes, l'île Saint-Honorat possède une riche histoire, aussi bien patrimoniale que spirituelle, témoignant de seize siècles de monachisme. Au début du Ve siècle, saint Honorat, entouré de quelques compagnons, arrive sur l’île et y installe une communauté de moines cénobitiques. Désireuse de vivre à l’écart du monde, la communauté se consacre à une vie entièrement tournée vers la prière et la contemplation.

    Une abbaye aux allures de château militaire

    Au fil des siècles, l’île connaît des périodes de calmes et de troubles, marquées par les attaques destructrices des Sarrasins à partir du VIIe siècle. Sa topographie évolue et s’adapte alors aux situations. Au XIIe siècle, les moines — qui ont adopté la règle bénédictine — se protègent en construisant de grandes fortifications autour de l’abbaye. De la naît la grande tour fortifiée aux allures militaires qui se dresse encore aujourd’hui face à la Méditerranée. Au XVIIe siècle, les Espagnols envahissent l’île durant deux ans et y instaurent le régime de la commende. Ils amplifient alors les fortifications déjà existantes et vont jusqu’à installer des canons sur les sept petites chapelles qui parsèment l’île. Cette période est un coup dur pour la vie monastique qui décline.

    À la fin du XVIIIe siècle, l’île ne compte plus que quatre moines et finit par être fermée sur décision royale. Vendue comme bien national à la Révolution française, Saint-Honorat passe de mains en mains tout au long du XIXe siècle. Sa résurrection sonne finalement en 1859 lorsque celle-ci est rachetée par l’évêque de Fréjus. L’ abbaye devient alors cistercienne avec l’arrivée des moines de l'abaye de Sénanque qui rétablissent une vie monastique en 1869. Ce sont eux qui reconstruiront l’abbatiale et les bâtiments conventuels.

    Aujourd’hui, à l’image des moines cénobitiques, la communauté cistercienne perpétue l’héritage de ses bâtisseurs. Tournés vers la prière, le travail et l’étude, les moines ont à cœur de respecter le silence préservé de ce petit coin de paradis, loin de l’agitation de Cannes. Désireux cependant de faire découvrir la particularité de ce lieu enchanteur, les moines organisent toutes les semaines des visites guidées, mêlant découverte du patrimoine historique et de l’héritage spirituel. La communauté est également fière de présenter son activité : production de vins, de liqueurs, fabrication d’huile d’olive ou encore culture de la lavande. Après cette approche de la vie monastique, les curieux peuvent se balader à pieds le long de l’île en rêvant devant l’eau cristalline et la nature sauvage. Une pause spirituelle qui attire chaque année près de 4.000 voyageurs.

    (Renseignements internet)

     

     

    Nous avons embarqué à Cannes sur le bateau qui assure la traversée, c'est idyllique en cette période...

     

     

    Nous sommes au milieu de la baie, Cannes au loin s'enveloppe d'une brume de chaleur...

     

     

    Nous avons pris pied sur l'île de Saint Honorat...

     

     

    Ici la Tour monastère fortifié

    Le monastère fortifié ou Tour Monastère  : 

    La Tour Monastère a été construite en trois partie sur plus de trois siècles. Elle est composée de nombreuses pièces dont ses cloitres et ses chapelles.

    Au XIVe siècle cette forteresse devient le pôle central de la vie monastique, comme en témoigne la translation des reliques de St Honorat dans la chapelle Ste Croix en 1391. Au siècle suivant, est construit un premier cloître autour de cette même tour, puis un deuxième, en 1477. Ainsi, à la fin du XVe siècle, le centre monumental de l’ensemble abbatial s’est déplacé dans cette Tour Monastère. A partir du 17ème siècle, les étages supérieurs sont réservés aux militaires venus défendre la côte sur ordre du roi : salle de garnison, chambres et terrasses avec chemin de ronde servant au guet.

    (renseignements internet)

     

     

    Photo prise du haut de la tour

     

     

    Le cloître

     

     

    Les voûtes du cloître

     

     

    Une allée ombragée conduit au monastère actuel ou vivent des moines

    « Les 21 moines qui composent aujourd’hui la communauté du monastère de la Congrégation Cistercienne de l’Immaculée Conception, cultivent leur vignoble avec art et passion depuis le moyen-âge. Toutes les étapes (taille, ébourgeonnage et vendanges) sont réalisées à la main. Le domaine viticole comprend désormais huit hectares avec lesquels les moines produisent des vins de qualité reconnus par les professionnels, mais également des liqueurs depuis 150 ans. »

    (renseignements internet)

    (Nous avons pu acheter ce jour-là: des sachets de lavandes, des pots de confitures, du miel et quelques bouteilles de vin.)

    Mais aussi des cartes postales que je vous présente ci-dessous :

     

     

    La porte de l'église

     

     

    Le Christ souriant du XIIe siècle

     

     

    Au fond du réfectoire des moines, en gros plan, la Cène.

    (époustouflante de réalité et pleine de vie)


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