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    J’ai fait un quiz historique, je suis contente de moi, j’ai pratiquement tout

     

    trouvé sauf une question, auriez-vous fait mieux ?

     

     

    Livia

     

     

     

    Quiz Histoire de France...

     

    Atlas d’Abraham Ortelius (1570)

     

     

     

    (image wikipédia)

     

     

     

     

     

    Le tombeau de Napoléon se trouve à...

     

     

    Paris

     

    Sainte-Hélène

     

     

    Ajaccio

     

     

    C'est bien à Paris, dans l'église Saint-Louis des Invalides que se trouve le tombeau de Napoléon Ier. (trouvé, je pense que tout le monde sait cela)

     



     

     

     

    Louis XV est mort...

     

     

    De la variole

     

     

    De la syphilis

     

     

    De la peste

     

    Louis XV meurt à 64 ans, le 10 mai 1774, à Versailles, après avoir contracté la petite vérole, autre nom de la variole, maladie qu'il n'a jamais attrapé jusque là et qui sera mortelle pour le souverain. (trouvé)

     



     

     

     

    Sous la Révolution, en 1793, qui sont les régicides?

     

     

    Les députés qui ont voté la mort du roi

     

     

    Les députés royaliste à l’assemblée

     

     

    Les députés qui ont voté contre la mort du roi

     

    Ce sont les députés régicides qui ont voté la mort du roi. (trouvé, cela allait de soi)

     



     

    La Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen a été adoptée...

     

     

    Le 14 juillet 1789

     

     

    Le 26 août 1789

     

     

    Le 20 novembre 1959

     

    La Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen date bien d'août 1789, et non du 14 juillet, date de la prise de la Bastille. La Déclaration des droits de l’Enfant a été adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 20 novembre 1959. (trouvé)

     



     

    Les jardins du château de Versailles ont été réalisés par :

     

     

    André Le Nôtre

     

    Jules Hardouin-Mansart

     

     

    François Vatel

     

    En 1661, Louis XIV charge André Le Nôtre de créer de magnifiques jardins pour son Château de Versailles. Jules Hardouin-Mansart est l'architecte favori de Louis XIV, on lui doit notamment la galerie des Glaces, la grande et la petite écurie, l'Orangerie à Versailles. Quant à François Vatel, il était cuisinier et organisateur de grandes réceptions pour Nicolas Fourquet, surintendant des Finances, mais n'a pas été au service du roi. (trouvé, tout le monde, en principe sait, que c’est Le Nôtre qui a dessiné les jardins de Versailles)

     



     

     

     

    Après la mort de Louis XIII, de graves troubles éclatent, comment les a-t-on

     

    appelés?

     

     

    La Fronde

     

     

    La gronde

     

    La grogne

     

     

    La Fronde est une période de troubles multiples en France, qui s'étend de1648 à 1653, alors que Louis XIV (1638-1715) n'est encore qu'un enfant. Après la mort du cardinal de Richelieu (1642) et celle de Louis XIII (1643), c'est Anne d'Autriche qui devient régente, avec à ses côtés le cardinal Mazarin. Mais le Parlement s'oppose à la montée de l'autoritarisme monarchique et les Princes s'agacent de l'emprise de Mazarin sur la reine. (trouvé,)

     



     

    Je suis un impôt sur le sel très impopulaire sous l’Ancien Régime :

     

     

    La gabelle

     

     

    La taille

     

     

    La capitation

     

    La gabelle est un impôt indirect sur le sel ayant existé en France au Moyen-Âge et à l'époque moderne. Le principe est le suivant: le sel fait l'objet d'un monopole royal. Voilà pourquoi la population française doit l'acheter taxé et au détail. (trouvé, nous avons tous appris cet impôt sur le sel à l’école )

     



     

    Quel est le légume, à l’époque rare et délicat, dont raffolait Louis XIV ?

     

     

    L’asperge

     

     

    Le chou chinois

     

     

    Le radis japonais

     

    Louis XIV raffolait tant des asperges, un met raffiné et rare à l'époque, qu'il voulait en manger même l'hiver. Alors son jardinier et créateur du potager du roi eut l'idée de les faire pousser sous serre... Pour le plus grand plaisir du souverain! (trouvé, j’avais déjà lu cette histoire d’asperge dans plusieurs bouquins )

     



     

    Jeanne-Antoinette Poisson devint une grande dame très appréciée de Louis XV,

     

    quel est son titre?

     

    La marquise de Pompadour

     

     

    Madame de Montespan

     

     

    La marquise de Maintenon

     

    Jeanne-Antoinette Poisson est bien la marquise de Pompadour, maîtresse de Louis XV de 1745 à 1751. En revanche, Madame de Maintenon et Madame de Montespan furent les maîtresses de Louis XIV, son arrière-grand-père. (trouvé, c’était bien la Poisson qui était la maîtresse attitrée de Louis XV et à l'époque des pamphlets couraient dans Paris disant que le château sentait la marée... )

     



     

     

     

    Complétez la citation de Mirabeau: «allez dire à votre maître que nous sommes

     

    ici par la volonté du peuple et qu’on ne nous en arrachera que…

     

     

    Par la volonté du peuple

     

     

    Par la puissance des baïonnettes

     

     

    Par la puissance des urnes

     

    Le 23 juin 1789, Louis XVI convoque les élus aux Etats généraux (clergé, noblesse, tiers état) pour mater la rébellion. Après son départ, les gardes ont ordre de disperser les députés. La mémoire collective retiendra de cette scène la célèbre phrase de Mirabeau, un noble député du Tiers Etat, journaliste et grand orateur: "Nous sommes ici par la volonté du peuple et nous n’en sortirons que par la force des baïonnettes!" (pas trouvé, la révolution n'étant pas ma tasse de thé, je ne connais pas grand chose sur les phrases, dites célèbres de ces gens là !)

     


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    Pour ce 166ème Café Thé, Brigitte allias écureuilbleu, https://www.unebonnenouvelleparjour.com, nous propose d'écrire un bout de fable ou un mini conte à la manière de Jean de La Fontaine ou bien d'illustrer une de ses fables, par tous les moyens à notre convenance : poème, texte, photo, dessin...

     

    J'ai choisi la Fable bien connue « Le chat la belette et le petit lapin », ce petit lapin qui s'en va un jour se promener et trouve au retour une vilaine belette installée dans son gîte. Cela peut nous arriver à tout moments aujourd'hui, beaucoup de logis sont squatter par des belettes bipèdes très antipathiques qui refusent de rendre les logis...

     

     

    Le chat, la belette et le petit lapin

     

    Gustave Doré

     

     

     

    Le logis perdu

     

    (Inspiré très librement de la fable de Jean de La fontaine « Le chat, la belette et le petit lapin »)

     

     

     

    Imaginons qu’un jour, comme Jeannot lapin,

     

    Sortis pour aller nous promener,

     

    En laissant l’huis, par inadvertance ouvert.

     

    Nous rentrions le soir venu

     

    Fourbus et affamés,

     

    Pour trouver céans des importuns,

     

    Aussi sournois et rusés que la belette de Jean,

     

    Ne voulant point, rendre le logis !

     

     

     

     

    Sachant bien qu’aujourd’hui

     

    En toutes circonstances

     

    Jamais justice n’est rendu en âme et conscience.

     

    Que l’on donne toujours raison

     

    Aux plus indélicats !

     

    Que pourrions-nous faire alors ?

     

    Aller chez Gripeminaud cet hypocrite

     

    Pour nous faire dévorer ?

     

    Ou combattre avec vaillance

     

    Et reprendre de force notre logis ?

     

    Ce dernier point mérite d'être étudié !

     

    Livia

     

     


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    Les casse-pieds...

    (image pixabay)

    Invitée à déjeuner chez une amie, je vis des pigeons arriver sur le petit balcon devant sa porte fenêtre, ils allaient et venaient de leur pas un peu lourd, en nous fixant par moment au travers de la vitre en penchant la tête sur le côté, cette amie me dit qu'elle mettait des miettes sur son balcon pour les nourrir et que ces pigeons lui tenaient compagnie, cela m'a fait penser aux pigeons que ma sœur avait elle aussi nourri quand elle habitait Paris et qui l'avaient tant agacée après.

    C'était il y quelques années, j'avais été passé une semaine chez ma sœur, nous prenions notre petit déjeuner devant la fenêtre dans sa cuisine et voilà qu'un pigeon, puis deux, puis trois, voire cinq ou six, arrivèrent et puis ne trouvant rien à manger sur ce balcon qui fut une table bien garnie à leur intention, sont venu toquer au carreau, comme nous ne réagissions pas, ils se mirent à toquer très fort de concert et risquaient de casser la vitre.

    Ma sœur avait pris la désastreuse habitude elle aussi de mettre des miettes sur le bord de sa fenêtre, car elle trouvait les pigeons charmants, mais voilà, ils ont fait tellement de saletés, autant sur le bord de la fenêtre que sur ses carreaux, qu'elle a arrêté de mettre à manger et essayait depuis, mais en vain, de les faire déguerpir, ils venaient toujours au restaurant et ne comprenant pas pourquoi la table était vide ils frappaient aux carreaux tout en continuant à faire des saletés.

    Pendant les trois premiers jours ces bestioles, matin, midi et soir venaient toquer aux carreaux, nous avons ouvert plusieurs fois la fenêtre espérant les effrayer afin qu'ils s'en aillent, j'en ai même bousculer un, il a fait un petit tour et puis d'un coup d'aile est revenu, ils restaient là frappant encore et encore aux carreaux en nous regardant d'un œil furibard – enfin c'est l'impression que nous avions !

    Finalement j'ai eu l'idée de mettre de l'eau de javel sur le rebord de la fenêtre et miracle, quand ils sont revenu les soir ils n'ont pas eu l'air d'apprécier et sont partis, nous pensions être tranquilles, mais le lendemain ils étaient revenus – l'odeur s'était sans doute évaporée – nous avons donc mis de l'eau de javel tout les jours et les effluves nauséabonde de ce produit, nous ont débarrassé de ces pigeons ils ont renoncé à quémander leur nourriture, nous étions ravies toutes les deux d'être débarrassées de ces pigeons là !

    Nous avons vidé plusieurs bouteilles de javel et grâce à ce produit miracle, les pigeons ont déserté sa fenêtre, qui est restée propre...

    Par contre le balcon chez mon amie est carrément dégueux !

    Livia


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    Le Carême a commencé hier Mercredi des Cendres, c'est toujours à ce moment qu'il cherche à nous jouer des tours.

     

    Je vous offre une petite histoire lue aux détours des pages d'une de mes revues.

     

    Trois moines, sont face à face avec Satan, qui encore une fois et sans se lasser, va essayer de leurrer ces pauvres hommes.

     

    Livia

     

     

     

    Gargouille de Notre-Dame de Paris

     

    Du haut des tours de Notre-Dame, il veille et épie le monde .

     

    (image internet)

     

     

     

    Qui n’a jamais ressassé un événement passé ? Rien de grave, à première vue, pourtant le risque est bien souvent de tomber dans un cercle vicieux qui n’appartient plus ni au présent ni même à la réalité. C’est ce que nous explique le conte sur le diable qui a demandé aux trois moines ce qu’ils changeraient du passé.

     

    Cette courte histoire qui fait réfléchir a été publiée par le prêtre espagnol Jesús María Silva Castignani.

     

    « Si je vous donnais le pouvoir de changer quelque chose de votre passé, que changeriez-vous ? », demande un jour le diable à trois moines.

     

    Le premier moine, avec un grand zèle apostolique, répond rapidement : « Je t’empêcherais de faire tomber Adam et Eve dans le péché, afin que l’humanité ne s’éloigne pas de Dieu ».

     

    Le deuxième moine, qui avait un cœur plein de miséricorde, répond pour sa part : « Je t’empêcherais de t’éloigner de Dieu et de te condamner éternellement ».

     

    Le troisième moine, qui était le plus simple des trois, s’agenouille au lieu de répondre au diable. Il fait le signe de croix et prie ainsi :

     

    « Seigneur, délivre-moi de la tentation de penser à ce qui aurait pu être mais qui n’a pas été. »

     

    Le démon pousse alors un cri strident et, se tordant de douleur, disparaît. Abasourdis, les deux autres moines demandent à leur frère pourquoi il a répondu de cette façon. Et le moine leur explique :

     

    « Tout d’abord, nous ne devons jamais dialoguer avec le diable.

     

    Deuxièmement, personne au monde n’a le pouvoir de changer le passé. Et pour finir, le diable n’a aucune envie de nous aider, il veut nous emprisonner dans le passé pour nous faire négliger le présent parce que le présent est le seul temps où, par la grâce divine, nous pouvons collaborer avec Dieu. »

     

    Laissons le passé entre les mains de Dieu et l’avenir entre les mains de sa Providence. Le présent est entre nos mains, jointes à celles de Dieu ».

     

     


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    Pour ce 165ème Café Thé, Brigitte, allias écureuilbleu, ( https://www.unebonnenouvelleparjour.com/ ), nous propose de broder autour de la photo de cette soucoupe volante du Port d'Arès.

     

     

    La soucoupe sous le pin...

    (La photo de Brigitte)

     

    Une nuit un grand bruit de moteur venant de la côte m'a réveillée, je voyais aussi une vive lumière jouer derrière les rideaux, comme je suis d'une nature très curieuse, j'ai été à la fenêtre pour essayer de voir d'où provenaient lumière et bruit, je fus aveuglée par une lumière incandescente j'ai refermé précipitamment les rideaux, le bruit était intense et je du me boucher les oreilles et puis... tout s'arrêta net ! Je risquais un œil en entrouvrant les rideaux, mais la nuit était toute noire, je ne vis rien. Je retournait au lit intriguée et je me rendormi.

    Mon sommeil fut agité jusqu'au matin, dans mes rêves, des engins volaient en tout sens avec des bruits infernaux tandis que les lumières qu'ils généraient m'éblouissaient, je cherchais désespérément des endroits où me cacher, mais ils me poursuivaient partout où j'allais, je me réveillais fatiguée avec une migraine larvée qui m'enserrait les tempes et je crus que j'avais rêvé.

    Mais quand j'ouvris mes rideaux, avec stupéfaction je vis une énorme soucoupe posée près de la plage, ce n'était donc pas un rêve j'avais bien vu cet engin auréolé de lumières voler la nuit dernière.

    Après une bonne douche et un bon petit déjeuner, la migraine envolée, je décidais d'aller y jeter un coup d'œil.

    Quand j'arrivais sur les lieux il y avait déjà beaucoup de monde, la police et l'armée avaient encerclé le périmètre et essayaient de faire partir les badauds, mais... personne ne bougeait, nous avions tous envie de savoir ce qu'il y avait dans cette énorme machine qui nous était arrivée dans la nuit.

    Les langues allaient bon train, chacun avait une opinion sur l'engin, qui pour le moment restait hermétiquement clos et rien ne semblait bouger, on ne savait pas quand, ni même si le hublot s'ouvrirait et surtout ce qui en sortirait ?

    Ces voyageurs inter spatiaux venaient-ils en amis ou en ennemis ? Dieu seul le savait !

    Tant que l'engin ne s'ouvrirait pas, nous ne pouvions que nous perdre en conjectures...

    Le temps s'étirait et l'heure tournait, tandis que d'autres personnes ayant entendu parler de la soucoupe arrivaient encore par pleines voitures, le soleil commençait à chauffer et pourtant personne ne bougeait, nous voulions être présents si le hublot s'ouvrait.

    Deux hommes qui avaient réussis à déjouer la vigilance de la police et des militaires, s'accrochèrent à l'engin essayant d'y monter, mal leur en a pris, car aussitôt la soucoupe se mit à grésiller et les deux hommes eurent les mains brûlées et s'éloignèrent à toutes jambes en criant loin de ce maudit engin, les pompiers qui se tenaient dans les environs les prirent en charge.

    Puis brusquement, il y eut du mouvement à l'intérieur de l'engin, des lumières s'allumèrent, les autorités présentes nous prièrent de reculer, je ne me le fit pas dire deux fois et couru le plus loin possible, c'est alors que les moteurs vrombirent tandis que la soucoupe s'élevait dans un bruit infernale et la chaleur était insupportable, la soucoupe s'élevait toujours en faisant gicler de la terre, déracinant des arbustes, les badauds affolés poussèrent de grands cris en courant dans tous les sens, il y eut une grande bousculade, des personnes tombèrent et furent piétinés tandis que la soucoupe s'élevait toujours, puis, elle prit de la vitesse et en un clin d'œil disparut à nos yeux dans l'immensité du ciel.

    Il s'en est suivi un grand silence, la foule atterrée, restait là, immobile comme tétanisée, on n'entendait plus que le murmure de la mer en contrebas et les chuchotements du vent...

    Il ne restait que des arbres roussis et des blessés sur la terre labourée et brûlante.

    Livia

     


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