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    Nature

    Est-ce une fleur ?

    Or, aux volutes bleues,

    Fleur de soleil,

    Ou fleur de lune ?

     

    C’est en fait une éruption solaire survenue le 14 mai.

    Notre étoile connaît en ce moment une forte activité, susceptible de perturber les télécommunications et les réseaux électriques terrestres.

    Extrait de : Valeurs Actuelles

     

    Ignorant la nature, après avoir ravagé la planète les  hommes, s’en sont prit à la stratosphère…

    Déployant des satellites, ici, et puis là, ils ont marché sur la lune, et puis c’est vers Vénus que leurs désirs de grandeur les ont emmenés.

    Mais le soleil, ne veut pas être mis en cage, il continue ses cycles, et si nous avons imprudemment placés des objets trop près de lui, il les grillera…

    Alors ? Adieu Téléphone, internet, smartphone etc…  ?

    Liviaaugustae

     

     


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    Nature

    Sculpture, naturelle : vase sculpté par 60.000 abeilles, est exposé à la fondation EDF, à l’occasion de l’exposition : « En vie, aux frontières du desingn ».

     

     

    Quand la nature se mêle de faire du desingn…

    C’est beau, c’est même très beau !

    Les hommes peuvent aller se rhabiller !

    Liviaaugustae


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    Nature

    Sambucus nigra

    Inflorescence de sureau noir

    (Image Wikipédia)

     

     

     

    Nature

    Fruits rouges du sureau à grappes

    (sambucus-racemosa)

    (Image Wikipédia)

     

     

    LE SUREAU…

     

    Les Grecs anciens l’appréciaient tout particulièrement pour ses vertus thérapeutiques, ses qualités gustatives (ils en faisaient des confitures)… L’aspect creux de ses rameaux dans lesquels les bergers se taillaient des flûtes. Ces derniers lui ont donné son nom : sambûke, devenu sureau.

    Aujourd’hui, les enfants utilisent toujours les branches de sureau évidées pour fabriquer des instruments à vent rudimentaires : des sifflets, des mirlitons des fifres…

    Les fleurs aussi bien que les fruits peuvent être transformés en vin de sureau ou en gelée… Les fruits ne sont pas consommables crus car ils sont légèrement toxiques et peuvent provoquer des vomissements. Cette toxicité est détruite à la cuisson.

     

    C’est un petit arbre de 2 à 4 m, mais pouvant atteindre 10 mètres et vivre plus de 100 ans. Le sureau appartient comme son cousin le chèvrefeuille, à la famille des caprifoliacées ? C’est une espèce dite héliophile « qui aime le soleil » d’origine européenne, dont les feuilles sont caduques, dentelées, opposées : les fleurs, petites, blanches ou roses, regroupées en ombrelle, très parfumées (floraison entre avril et mai selon les régions) ; et les fruits, petites baies noires en grappes tombantes, très appréciées des oiseaux (fauvettes, merles noirs, grives, passereaux et rouges-gorges…), des insectes (les abeilles entre autres) et des hommes (récolte entre la mi-août et la fin septembre).

    Dans les jardins il est très décoratif et facile d’entretien.

    Mais attention ! Il peut-être potion ou poison…

    Le sureau noir ou sureau commun (sambucus nigra). Le sureau rouge (sambucus racemosa), croisé plus souvent dans le midi et dans les zones montagneuses est comestible lui-aussi. Le sureau yèble ou hièble ou petit sureau (sambucus ebulus), une variété très vivace dont la tige est remplie de substance blanche, malodorante et dont les baies sont très toxiques. Il est reconnaissable, car il ses fruits oriente ses fruits vers le ciel alors que le sureau noir (le bon sureau) mûrit en grappes tombantes.

    Propriétés thérapeutiques : anti-inflammatoire, élimination urinaire, facilite la digestion…

    Les baies produisent aussi de l’encre dont la couleur varie du bleu au violet selon les recettes.

    Un arbre donc parfait !

     

    Anecdote historique :

    (Le chroniqueur Grégoire de Tours écrit à propos du milieu du VIe siècle après J.C. : « En ce temps, nous vîmes l’arbre que nous appelons sureau porter des raisins sans aucune accointance avec la vigne ; et les fleurs de cet arbre, qui, comme on sait, produisent une graine noire, donnèrent une graine propre à la vendange ; et l’on vit entrer dans l’orbite de la lune une étoile qui s’avançait à sa rencontre. Je crois que ces signes annonçaient la mort du roi. Celui-ci, en effet, devenu très infirme, ne pouvait remuer de la ceinture en bas : il mourut peu de temps après, la septième année de son règne »).

    C’était un roi Franc : Childebert (553).

    Extrait de Wikipédia


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    LE GUI

     

     

     

    QT - Viscum album 1828Une petite branche de gui…

    Petites boules bonheur.

     

     

    Le gui prend après quelques années, l’apparence d’une grosse « boule » vert jaunâtre de 50 centimètres à 1 mètre de diamètre.

    Dépourvu de racines, il est fixé à son hôte un suçoir primaire de forme conique, qui s’enfonce profondément jusqu’au bois, sans pénétrer le tissu ligneux.

     

     

     

     

     

    450px-200501 Gui IIQuand les arbres sont dénudés, on voit bien les boules de gui.

     

    Les tiges, cassantes, vertes, et de section cylindrique ont un mode de ramification dichotomique (Qui se divise par bifurcation et procède par divisions set subdivisions binaires) par suite de l’avortement du bourgeon terminal.

    Les feuilles vertes, ou tirant sur un vert jaunâtre, sont simples, ovales et sans pétiole, légèrement charnues et disposées par paires opposées à l’extrémité des rameaux.

    Le gui est dioïque (Dont les individus ne portent qu’un type de gamète, mâle ou femelle), avec des pieds à fleurs femelles ou mâles. Il fleurit en mars avril.

    Les fruits donnés par les touffes femelles sont de fausses baies globuleuses, d’un blanc vitreux, charnues et visqueuses, caractéristiques soulignés par Virgile et Pline d’où le terme viscum.

     

     

     

     

     

    800px-Viscum album fruitLes fruits : Viscum album.

     

    Les fruits mûrissent en deux ans et ne tombent que la troisième année.

    En Europe du nord (y compris en France), il est d’usage de s’embrasser sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie, au moment des fêtes de fin d’année à (minuit précisément).

    La saison voulant que le gui abonde, on en cueillit dès le Moyen Age, pour l’offrir avec ce souhait : « Au gui l’an neuf », formule qui fut remplacé plus tard par : « Bon an, mal an, Dieu soit céans ».

    Au XIXe siècle, on disait : « Bonne et sainte année, le paradis à la fin de vos jours », expression modernisée au XXe par « Bonne et heureuse année ».

    En Amérique du Nord, on décore la maison à la période de Noël, avec des feuilles de Phoradendron flavescens. La tradition veut que deux personnes qui se retrouvent dessous, doivent s’embrasser.

    Textes et images : Source Wikipédia

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    QUAND LA NATURE POLLUE…
     
     
     
     
     
     
    numérisation0001-copie-1Ce lac niché dans le cratère d’un volcan indonésien est acide. Il menace la vie aquatique et l’agriculture environnate.
     
     
     
     
     
    La nature n’est pas toujours la victime innocente que l’on voudrait bien nous présenter.
     
    Ainsi, sur l’île de Java, en Indonésie, la disparition de la vie aquatique et l’intoxication des rizières sur les bords de la rivière Banyupahit ne sont le fait d’aucune activité humaine irresponsable, mais bien d’un lac aux eaux turquoise !
     
    Explication : celui-ci remplit le cratère du volcan actif Kawah Ijen, qui y crache des volutes acides et autres métaux lourds toxiques. En se déversant dans la plaine, ces eaux infestées menacent aussi la santé de 50 000 personnes.
     
    On savait déjà les volcans grands émetteurs de CO2  lors de la phase d’éruption, certains se rendent donc coupables de pollutions chroniques, à l’image du Kawah Ijen, mais aussi du Ruapehu (Nouvelle-Zélande) ou encore du Chiginagak (Alaska). Autre exemple : « les galettes de pétrole retrouvées sur les plages de Santa Barbara, en Californie, proviennent toutes de sources naturelles », observe Thomas Lorenson, géologue à l’US Geological Survey.
     
    En effet, au large, un gisement d’hydrocarbures affleure et il s’en dégage spontanément 16 000 litres de brut par jour, auxquels s’ajoutent 100 000 m3  de méthane (puissant gaz à effet de serre) et d’autres composés qui contribuent à la pollution atmosphérique locale. Et ce n’est aps un cas isolé. D’après Thomas Lorenson, « la moitié de la pollution pétrolière des océans proviendrait de « dégazages naturels » ! En précisant tout de même que ces mini marées noires sont très diluées et laissent aux bactéries le temps dont elles ont besoin pour éliminer ce pétrole.
     
    La liste des pollutions imputables à la nature est encore longue… même si ces phénomènes sont suffisamment ponctuels ou peu intenses pour être délaissés par la communauté scientifique. Ce qui ne les rend pas moins préjudiciables, car, comme le soulève Alex Heikens, du Programme des Nations Unies pour le développement en Indonésie, « on ne peut imposer à un volcan de cesser son activité, ni lui demander de verser des indemnisations.
     
    Extrait de : SCIENCES & VIE
     
     
     
     
     
    Quand je pense que les soi-disant, « Ecolos », nous empoisonnent la vie, mettent la France en danger, veulent fermer les centrales nucléaires, qui « elles polluent moins » que tous ces effets naturels… Qui cependant, nous chauffent, nous éclairent… Que ferons-nous après ? Nous remettre à la chandelle, ou au feu de bois (qui pollue beaucoup), et dans les constructions modernes, il n’y a pas de cheminée !
     
    C’est juste, parce qu’ils ne connaissent rien à rien, ils sont devenus « écolos » comme « Mr Jourdain faisait  de la prose » sans le savoir ! Et puis, la politique rapporte gros !
     
    Liviaaugustae
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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