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Par Liviaaugustae le 15 Mai 2013 à 10:49
Sambucus nigra
Inflorescence de sureau noir
(Image Wikipédia)
Fruits rouges du sureau à grappes
(sambucus-racemosa)
(Image Wikipédia)
LE SUREAU…
Les Grecs anciens l’appréciaient tout particulièrement pour ses vertus thérapeutiques, ses qualités gustatives (ils en faisaient des confitures)… L’aspect creux de ses rameaux dans lesquels les bergers se taillaient des flûtes. Ces derniers lui ont donné son nom : sambûke, devenu sureau.
Aujourd’hui, les enfants utilisent toujours les branches de sureau évidées pour fabriquer des instruments à vent rudimentaires : des sifflets, des mirlitons des fifres…
Les fleurs aussi bien que les fruits peuvent être transformés en vin de sureau ou en gelée… Les fruits ne sont pas consommables crus car ils sont légèrement toxiques et peuvent provoquer des vomissements. Cette toxicité est détruite à la cuisson.
C’est un petit arbre de 2 à 4 m, mais pouvant atteindre 10 mètres et vivre plus de 100 ans. Le sureau appartient comme son cousin le chèvrefeuille, à la famille des caprifoliacées ? C’est une espèce dite héliophile « qui aime le soleil » d’origine européenne, dont les feuilles sont caduques, dentelées, opposées : les fleurs, petites, blanches ou roses, regroupées en ombrelle, très parfumées (floraison entre avril et mai selon les régions) ; et les fruits, petites baies noires en grappes tombantes, très appréciées des oiseaux (fauvettes, merles noirs, grives, passereaux et rouges-gorges…), des insectes (les abeilles entre autres) et des hommes (récolte entre la mi-août et la fin septembre).
Dans les jardins il est très décoratif et facile d’entretien.
Mais attention ! Il peut-être potion ou poison…
Le sureau noir ou sureau commun (sambucus nigra). Le sureau rouge (sambucus racemosa), croisé plus souvent dans le midi et dans les zones montagneuses est comestible lui-aussi. Le sureau yèble ou hièble ou petit sureau (sambucus ebulus), une variété très vivace dont la tige est remplie de substance blanche, malodorante et dont les baies sont très toxiques. Il est reconnaissable, car il ses fruits oriente ses fruits vers le ciel alors que le sureau noir (le bon sureau) mûrit en grappes tombantes.
Propriétés thérapeutiques : anti-inflammatoire, élimination urinaire, facilite la digestion…
Les baies produisent aussi de l’encre dont la couleur varie du bleu au violet selon les recettes.
Un arbre donc parfait !
Anecdote historique :
(Le chroniqueur Grégoire de Tours écrit à propos du milieu du VIe siècle après J.C. : « En ce temps, nous vîmes l’arbre que nous appelons sureau porter des raisins sans aucune accointance avec la vigne ; et les fleurs de cet arbre, qui, comme on sait, produisent une graine noire, donnèrent une graine propre à la vendange ; et l’on vit entrer dans l’orbite de la lune une étoile qui s’avançait à sa rencontre. Je crois que ces signes annonçaient la mort du roi. Celui-ci, en effet, devenu très infirme, ne pouvait remuer de la ceinture en bas : il mourut peu de temps après, la septième année de son règne »).
C’était un roi Franc : Childebert (553).
Extrait de Wikipédia
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Par Liviaaugustae le 31 Décembre 2012 à 14:41
LE GUI
Une petite branche de gui…
Petites boules bonheur.
Le gui prend après quelques années, l’apparence d’une grosse « boule » vert jaunâtre de 50 centimètres à 1 mètre de diamètre.
Dépourvu de racines, il est fixé à son hôte un suçoir primaire de forme conique, qui s’enfonce profondément jusqu’au bois, sans pénétrer le tissu ligneux.
Quand les arbres sont dénudés, on voit bien les boules de gui.
Les tiges, cassantes, vertes, et de section cylindrique ont un mode de ramification dichotomique (Qui se divise par bifurcation et procède par divisions set subdivisions binaires) par suite de l’avortement du bourgeon terminal.
Les feuilles vertes, ou tirant sur un vert jaunâtre, sont simples, ovales et sans pétiole, légèrement charnues et disposées par paires opposées à l’extrémité des rameaux.
Le gui est dioïque (Dont les individus ne portent qu’un type de gamète, mâle ou femelle), avec des pieds à fleurs femelles ou mâles. Il fleurit en mars avril.
Les fruits donnés par les touffes femelles sont de fausses baies globuleuses, d’un blanc vitreux, charnues et visqueuses, caractéristiques soulignés par Virgile et Pline d’où le terme viscum.
Les fruits : Viscum album.
Les fruits mûrissent en deux ans et ne tombent que la troisième année.
En Europe du nord (y compris en France), il est d’usage de s’embrasser sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie, au moment des fêtes de fin d’année à (minuit précisément).
La saison voulant que le gui abonde, on en cueillit dès le Moyen Age, pour l’offrir avec ce souhait : « Au gui l’an neuf », formule qui fut remplacé plus tard par : « Bon an, mal an, Dieu soit céans ».
Au XIXe siècle, on disait : « Bonne et sainte année, le paradis à la fin de vos jours », expression modernisée au XXe par « Bonne et heureuse année ».
En Amérique du Nord, on décore la maison à la période de Noël, avec des feuilles de Phoradendron flavescens. La tradition veut que deux personnes qui se retrouvent dessous, doivent s’embrasser.
Textes et images : Source Wikipédia
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Par Liviaaugustae le 13 Novembre 2012 à 17:07QUAND LA NATURE POLLUE…Ce lac niché dans le cratère d’un volcan indonésien est acide. Il menace la vie aquatique et l’agriculture environnate.La nature n’est pas toujours la victime innocente que l’on voudrait bien nous présenter.Ainsi, sur l’île de Java, en Indonésie, la disparition de la vie aquatique et l’intoxication des rizières sur les bords de la rivière Banyupahit ne sont le fait d’aucune activité humaine irresponsable, mais bien d’un lac aux eaux turquoise !Explication : celui-ci remplit le cratère du volcan actif Kawah Ijen, qui y crache des volutes acides et autres métaux lourds toxiques. En se déversant dans la plaine, ces eaux infestées menacent aussi la santé de 50 000 personnes.On savait déjà les volcans grands émetteurs de CO2 lors de la phase d’éruption, certains se rendent donc coupables de pollutions chroniques, à l’image du Kawah Ijen, mais aussi du Ruapehu (Nouvelle-Zélande) ou encore du Chiginagak (Alaska). Autre exemple : « les galettes de pétrole retrouvées sur les plages de Santa Barbara, en Californie, proviennent toutes de sources naturelles », observe Thomas Lorenson, géologue à l’US Geological Survey.En effet, au large, un gisement d’hydrocarbures affleure et il s’en dégage spontanément 16 000 litres de brut par jour, auxquels s’ajoutent 100 000 m3 de méthane (puissant gaz à effet de serre) et d’autres composés qui contribuent à la pollution atmosphérique locale. Et ce n’est aps un cas isolé. D’après Thomas Lorenson, « la moitié de la pollution pétrolière des océans proviendrait de « dégazages naturels » ! En précisant tout de même que ces mini marées noires sont très diluées et laissent aux bactéries le temps dont elles ont besoin pour éliminer ce pétrole.La liste des pollutions imputables à la nature est encore longue… même si ces phénomènes sont suffisamment ponctuels ou peu intenses pour être délaissés par la communauté scientifique. Ce qui ne les rend pas moins préjudiciables, car, comme le soulève Alex Heikens, du Programme des Nations Unies pour le développement en Indonésie, « on ne peut imposer à un volcan de cesser son activité, ni lui demander de verser des indemnisations.Extrait de : SCIENCES & VIEQuand je pense que les soi-disant, « Ecolos », nous empoisonnent la vie, mettent la France en danger, veulent fermer les centrales nucléaires, qui « elles polluent moins » que tous ces effets naturels… Qui cependant, nous chauffent, nous éclairent… Que ferons-nous après ? Nous remettre à la chandelle, ou au feu de bois (qui pollue beaucoup), et dans les constructions modernes, il n’y a pas de cheminée !C’est juste, parce qu’ils ne connaissent rien à rien, ils sont devenus « écolos » comme « Mr Jourdain faisait de la prose » sans le savoir ! Et puis, la politique rapporte gros !Liviaaugustae
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Par Liviaaugustae le 16 Octobre 2012 à 17:01Antennaire - Poisson-grenouilleLe poisson-grenouille est également connu comme l'antennaire, le poisson pêcheur ou poisson-crapaud. Il est un petit poisson avec une forme globulaire, souvent petits (de 5 à 40 cm de longueur) et un corps avec une forte compression verticale. La première épine dorsale est allongée pour devenir la ligne ou tige (illicium) et se terminant par un leurre (esca). C'est un organe du dessus de la tête qui fait office de cane à pêche. Il prend une forme différente chez chaque espèce et ressemble parfois à un polychète, un vers à tube, une crevette ou un petit poisson. En cas de perte, l'esca peut être régénéré.La peau est recouverte de petites spinules, et quelquefois des verrues. Les nageoires pectorales ont l'apparence des mains qui repose sur les rochers et les coraux. Les ouvertures branchiales sont petites et situées derrière les nageoires pectorales. La bouche s'ouvre vers le haut avec des dents palatines.Le poisson-grenouille est classé par l'observation de la longueur de la ligne et la forme du leurre, la forme et longueur des spinules sur la peau et le nombre de rayons de la nageoire. Les couleurs ne peuvent être appliquée comme une caractéristique de distinguer et d'identifier une espèce de poisson grenouille.Poisson-grenouille New Guinea (Antennatus dorehensis)
Poisson grenouille au trois taches (Lophiocharon trisignatus) - le leurre ressemble à un crabe
Habitat et répartition géographique
Les poissons grenouilles sont largement distribué dans les mers tropicales et subtropicales (sud de l'Australie) où les températures de l'eau tournent autour de 20 º C. dans l'eau peu profonde. Ils préfèrent des récifs rocheux et coralliens, des bancs de sable et des herbiers marins. Il ya onze familles qui vivent en eau profonde (baudroies en eaux profondes) jusqu'a la zone bathypélagique qui se trouve entre 1 000 mètres et 4 000 mètres.Poisson-grenouille peint (Antennarius pictus)
(Là, il ressemble vraiment à une grenouille)
Mimétisme agressif
Leur immobilité, les couleurs et les textures de la peau servent de déguisement au poisson-grenouille. Ils sont prédateurs en embuscade et ils sont en raison de son camouflage très difficile à trouver. D'une part l'antennaire se cache contre les prédateurs, d'autre part il imite un repas potentiel de sa proie. C'est ce qu'on appelle un mimétisme agressif.
Certains espèces ressemblent à une pierre ou des éponges tandis que d'autres imitent des coraux, des ascidies, des plantes et des oursins.
Un camouflage parfait:
Poisson grenouille géant ou de Commerson jaune (Antennarius commerson) au milieu d'une éponge jauneEn général, le poisson-grenouille ne bouge pas beaucoup mais reste sur place. Il peut nager à coups de nageoire caudale mais il possède aussi un type de propulsion à réaction. En forçant leur cadence un souffle d'eau passe à travers leurs ouvertures branchiales, qui se trouvent derrière leurs nageoires pelviennes. Les nageoires pectorales et pelviennes lui permettent de marcher comme un bipède tétrapodePoisson-grenouille strié (Antennarius striatus) - le mâle (jaune) suit la femelle (plus grande)
Textes et photos : source internetC’EST LE PLUS BEAU… OU LE MOINS LAID…Lithographie d’un poisson-grenouille des Sargasses(par A.H. BALDWIN 1905)Je ne connaissais pas l’existence de ce poisson-grenouille, quand en effectuant des recherches sur Wikipédia, je suis tombée sur la lithographie ci-dessus… Que j’ai trouvé intéressante.J’ai poussé mes recherches, jusqu’à présenter ce petit résumé de la vie de ce poisson des mers chaudes, trouvés sur internet.Et pour une fois dans la nature, le mâle est moins important (par la taille) que la femelle, et n’est pas plus beau qu’elle !Comme chez : le paon, le faisant et tant d’autres…J’ai longuement hésité à mettre cet article sur mon blog, car les grenouilles (pauvres bêtes) étant très laides, ces poissons qui leur ressemblent sont vraiment très vilains… (Avis personnel)liviaaugustae
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Par Liviaaugustae le 17 Septembre 2012 à 14:32CES DROLES D’ANIMAUX MENACES DE DISPARITION.Le furcifer minor de MadagascarLa nature sait être étonnante et colorée. Première étape de notre périple zoologique autour du globe: Madagascar, célèbre pour sa faune très riche. On parle souvent de ses lémuriens, un peu moins de ses caméléons. Pourtant, regardez les couleurs spectaculaires du furcifer minor, espèce endémique de l'île! Les teintes de celui-ci indiquent qu'il s'agit d'une femelle, les mâles étant en effet plutôt brun rougeâtre.
Drôle de dugong dans l'océan Indien
Partons vers l'est et laissons-nous emporter par les courants de l'océan Indien. Sous l'eau, nous croiserons peut-être un dugong. Ce mammifère marin appartient à la famille des lamantins ou vaches de mer, mais sa nageoire caudale est triangulaire et non arrondie. Il est herbivore, mesure 3 à 4 mètres et peut atteindre 900 kilos. Chassé depuis longtemps pour sa viande, sa peau et ses dents, le dugong est aujourd'hui menacé de disparition.
Le tarsier des Philippines
Rejoignons la terre ferme aux Philippines et tentons d'apercevoir un tarsier, tout petit primate aux yeux immenses et globuleux. Pour en trouver un, il faudra s'armer de patience car ces créatures vivent la nuit et descendent rarement de leurs arbres. Les tarsiers se nourrissent essentiellement d'insectes, d'oiseaux et de lézards. Classés au rang des espèces protégées, ils ne sont plus que dans les îles du Sud-Est de l'Asie
Le pigeon couronné Victoria en Nouvelle-Guinée
Non loin de là, faisons un saut de puce vers la Papouasie Nouvelle-Guinée, pour admirer les pigeons couronnés Victoria. Difficile de croire que ces gros oiseaux multicolores sont de la famille des pigeons qui habitent nos villes françaises! Ceux-là préfèrent les forêts denses et tropicales. Et fait intéressant: ils sont monogames et restent en couple toute leur vie!
Le plus grand papillon de nuit en Asie du Sud-Est
On reste en Asie du Sud-Est, région connue pour son incroyable biodiversité. Dans les forêts tropicales de Malaisie, d'Indonésie ou des Philippines, vous pourrez admirer l'attacus atlas, l'un des plus grands papillons nocturnes du monde: il mesure entre 20 et 30 centimètres. Admirez ses couleurs ainsi que la symétrie de ses ailes! Leur extrémité ressemblant à une tête de serpent, on l'appelle parfois le "papillon cobra".
L'hippocampe feuillu, dans les eaux australiennes
Cap sur l'Australie, autre réserve d'espèces endémiques. Les fonds sous-marins cachent de nombreux trésors, notamment autour de la grande barrière de corail. De par ses formes, l'hippocampe ou dragon de mer feuillu, rare et fragile, se fond facilement dans les algues. Malheureusement, il est de plus en plus menacé, par la pollution autant que par les collectionneurs sans scrupules.
Le weta, un insecte néo-zélandais
Toujours plus vers l'est: direction la Nouvelle-Zélande. Isolé du reste du monde, l'archipel abrite une faune et flore très variées. On y trouve, entre autres, quelques uns des plus grands insectes du monde, comme le weta, espèce indigène. Il vit la nuit et se nourrit d'autres insectes ou de débris, mais est menacé par les rats et les kiwis, oiseaux endémiques du pays.
L
e panda roux de Chine
Remontons vers la Chine, où vit le panda roux, ou "petit panda". Moins célèbre que son grand cousin noir et blanc, il est facilement reconnaissable à son pelage roux et à sa longue queue. Il s'agit malheureusement, là encore, d'une espèce dont l'habitat est menacé. Très recherchés pour leur fourrure, les pandas roux ne seraient plus que 6000 à l'état sauvage, notamment dans la province du Sichuan.
Le bison, l'emblème de l'Amérique du Nord
Changeons à présent de continent. Voici l'animal emblématique des grandes plaines du Midwest des Etats-Unis. Autrefois présents en immenses troupeaux du Mexique jusqu'à la chaîne des Appalaches, les bisons nord-américains ne se trouvent plus aujourd'hui que dans les réserves et grands parcs nationaux du pays, comme celui de Yellowstone, dans l'état du Wyoming
Andes: l'alpaga et sa célèbre laine
Saviez-vous que l'alpaga était un animal de compagnie pour les Sud-Américains? Bien que relativement indépendant, ce camélidé est en effet d'un naturel très calme. Il vit dans les Andes, à plus de 4000 mètres d'altitude. On le connaît surtout pour sa laine, plus douce, plus chaude et plus solide que celle du mouton. Celle-ci est utilisée pour la confection de couvertures ou de ponchos.
L'Amérique du Sud et son tamanoir
Autre espèce typique du continent sud-américain: le tamanoir. Ce mammifère au museau allongé peut mesurer jusqu'à 2,5 mètres de long. On l'appelle aussi le fourmilier, parce que cet omnivore édenté se nourrit principalement, à l'aide de sa longue langue, de fourmis et de termites. On le trouve dans les forêts denses et les zones marécageuses, du Guatemala à l'Argentine.
L'axolotl, étrange créature du Mexique
Ames sensibles, s'abstenir! L'axolotl est sans aucun doute l'un des animaux les plus étranges... Vous ne l'avez jamais vu? Pas étonnant: on ne le trouve que dans le lac Xochimilco, au Mexique. Cette salamandre a la particularité de rester toute sa vie à l'état larvaire, et de se reproduire ainsi. Elle se nourrit de mollusques, de vers et de larves et peut vivre une quinzaine d'années.
Le touloulou des Caraïbes
Voici un petit crabe que vous ne verrez que sur les plages des Antilles. Le touloulou, ou crabe rouge, se niche dans le sable au pied des arbres. Comestible, il est utilisé dans la cuisine locale. Le crabe violoniste, le crabe de terre, le cirique ou encore le mantou, reconnaissable à son pelage, sont autant d'autres espèces de crustacés à pinces que vous rencontrerez dans les Caraïbes.
Le komondor de Hongrie
Direction... l'Europe! Ce chien de berger aux allures de serpillière est originaire de Hongrie. Ses ancêtres sont probablement venus d'Asie il y a plus de mille ans, accompagnant la tribu nomade des Magyars vers les Carpates. Courageux et méfiant, il sait garder un troupeau ou monter la garde devant une propriété. Des qualités très recherchées par les éleveurs du monde entier
Joli okapi au Congo
Retour sur le continent africain pour la dernière étape de notre voyage. Drôle d'animal à mi-chemin entre la girafe et le zèbre, l'okapi est originaire de la forêt équatoriale de l'Ituri, dans le Nord-Est de la République démocratique du Congo. Une réserve inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco couvre environ un cinquième de la superficie de cette forêt. L'okapi vit généralement entre 500 et 1000 mètres d'altitude
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