Aujourd’hui, je vous propose de la sculpture, œuvres d’art d’une grande beauté, commandées par les rois : Louis XIV, XV, et XVI, ainsi que par Messieurs les révolutionnaires et par l’empereur Napoléon,  pour leur agrément et pour le nôtre aujourd’hui…

 

 

Auguste Pajou, (1730-1809) sculpteur français néoclassique, élève de Lemoyne. Le roi, lui offre son aide financière alors qu’il étudie à L’Académie de France à Rome. 

 

 

 

Psyché abandonnée

 

 

 

Mercure

 

 

Autre sculpteur français, Jean-Baptiste Pigalle (1714-1785) nous laissa de nombreuses œuvres remarquables, comme cette ravissante fillette en marbre…

 

 

 

Fillette à la pomme

 

 

Jean-Antoine Houdon (1741-1828) sculpteur français qui fut appelé « le sculpteur des lumières », il travailla pour Louis XVI, pour la Révolution et pour l’Empire.

 

 

 

Diane chasseresse

 

 

 

Buste de Louise Brogniart

 

 

Jean-Baptiste Lemoyne, (1679-1731) quand à lui nous laissa cette magnifique sculpture de la mort d’Hippolyte.

 

 

 

La mort d’Hippolyte

 

 

Etienne Maurice Falconet (1716-1791)  influencé par l’école baroque dont il est considéré comme un maître,  sculpteur français néoclassique.

Je l’ai gardé pour la fin, car ses œuvres m’ont particulièrement plu, je les trouve d’une fascinantes beauté !

 

 

 

Amour menaçant

 

 

 

Madame de Pompadour en Vénus aux colombes.

 

Images et texte wikipédia

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cheval de Troie, d’après le « Virgilius Vaticanus »

(Image wikipédia)

 

 

« « A cause du clou, le fer fut perdu.

A cause du fer, le cheval fut perdu.

A cause du cheval, le cavalier fut perdu.

A cause du cavalier, la bataille fut perdue.

A cause de la bataille, la guerre fut perdue.

A cause de la guerre, la liberté fut perdue.

Tout cela pour un simple clou. »

Benjamin FRANKLIN

 

 

« L’important ce n’est pas de tomber, mais de ne pas rester à terre. »

Goethe

 

« Il est plus facile de tresser une couronne que de trouver une tête digne de la porter. »

Goethe

 

 

 

Il y a malheureusement tant de clous rouillés dans notre belle France, sorte de chevaux de Troie… Ne la laissons pas succomber à l’assaut de ces clous rouillés !

Et comme nous le conseille Goethe, ne restons pas à terre, relevons-nous, et trouvons une tête digne de porter les couronnes que nous tresserons, même si cela n’est  pas facile, il faut s’y essayer !

Liviaaugustae

 

Info du soir  sur le net !

 

 

 

Ce magnifique hibou, va finir ses jours en taule au Pays-Bas !

Capturé, jugé, il a été reconnu coupable.

Il est condamné à être enfermé à vie,  pour 50  attaques terroristes, contre les habitants de la ville de Purmerend.

Du haut de son superbe plumage, il toise ses juges de son œil ironique et  flavescent…

 

 

Ce hibou, n’est pas malin. S’il était venu comme beaucoup,  résider en France, il ne risquait rien !

 Ici, pas de prison,  on fait relâche toute l’année !

Liviaaugustae

 

 

 

  11 novembre

Hommage aux soldats français morts pour la Patrie !

« Mourir pour le pays n’est pas un triste sort ;

C’est s’immortaliser par une belle mort. »

Corneille

 

 

 

Tableau représentant la signature de l’armistice de 1918.

 

L’armistice de 1918, signé le 11 novembre 1918 à 5h15, marque la fin des combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918), la victoire des Alliés et la défaite totale de l'Allemagne.

Le cessez-le-feu est effectif à onze heures, entraînant dans l'ensemble de la France des volées de cloches et des sonneries de clairons annonçant la fin d'une guerre qui a fait plus de 8 millions de morts, d'invalides et de mutilés. Les généraux allemands et alliés se réunissent dans un wagon-restaurant aménagé provenant du train d'État-Major du maréchal Foch, dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne.

Plus tard, en 1919, à Versailles, sera signé le traité de Versailles.

 

 

 

L’Arc de triomphe la nuit.

 

En 1920 on décide de rendre hommage aux soldats de la Grande Guerre morts pour la France mais non identifiés. A la suit d’une loi votée au Parlement, la dépouille mortelle d’un soldat choisi dans la Citadelle de Verdun, parmi plusieurs, est placée, le 11 novembre 1920, dans une chapelle ardent à l’Arc de Triomphe. Le 28 janvier 1921 le soldat est inhumé sous l’Arc, dans la tombe nommée : la tombe du soldat inconnu. Ce n’est que trois ans plus tard, le 11 novembre 1923, que André Maginot, alors  ministre de la guerre, allumera la flamme qui ne s’éteint jamais, donnant ainsi au tombeau du soldat inconnu, une forte portée symbolique et politique.

 (Texte et image wikipédia)

 

 

 

 

 

« Parler de liberté n’a de sens qu’à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu’ils n’ont pas envie d’entendre. »

 George Orwell

 

 

« Celui qui entre dans le moule de la pensée unique ne doit pas s’étonner d’en sortir avec la pensée unique de la moule ! »

Anonyme

 

Cependant, la pensée unique ne permet de dire aujourd'hui, que ce que pensent les moules !

 

 

 

Dans un parc à moules.

 

Et à l’infinie, elles pensent… toutes la même chose !

Mais savent-elles qu’un jour elles seront mangées ?