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    numérisation0002Dessin de Luc Tesson.

     

    « Rien n’est plus difficile à supporter qu’une série de beaux jours. »

    JOHANN WOLFGANG VON GOETHE

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    FRESQUES

     

     

     

     

    

    

    

    numérisation0009

     

    Achille à Skyros découvert au milieu des jeunes filles par Ulysse et Diomède : Ier siècle après J.C.

    (Pompéi, Maison des Dioscures)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    numérisation0010Achille à Skyros découvert au milieu des jeunes filles par Ulysse et Diomède : Ier siècle après J.C.

    (Pompéi)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    numérisation0011Philosophe (Ménédémos D’Erétrie) exposant sa doctrine à des membres de la famille Royale de Macédoine (Antigonos Gonatas et sa mère la Reine Phila) : vers 40 après J.C.

    (Boscoreale, villa de Fannius Sinistor)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    numérisation0012Préparatifs d’un concert : Ier siècle après J.C.

    (Stabies)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    numérisation0014Conversation de trois femmes sous un portique : Ier siècle après J.C.

    (Pompéi)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LE CHOCOLAT… UNE VRAIE PASSION !
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    numérisation0006
    Un… Deux… Trois…
     
     
     
     
     
    « Neuf individus sur dix aiment le chocolat. Le dixième est un menteur. »
     
    JOHN G. TULLIUS : artiste et dessinateur américain.
     
     
     
    « Le mois dernier, à Manhattan, j’ai entendu une femme demander à une autre dans le jargon emprunté aux drogués : Tu veux ta dose de chocolat ? »
     
    DIANNE ACKERMAN (née en 1948) : écrivain et poétesse américaine.
     
     
     
    « Il est la source de vapeurs et de palpitations, il vous flatte pour un temps, et puis vous allume tout d’un coup une fièvre continu, qui vous conduit à la mort. »
     
    Madame de Sévigné (1620-1705)
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LE REQUIEM DE MOZART.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    numérisation0003
    Wolgang Amadeus Mozart, sous le regard de sa femme Constance, composant sur son lit de mort le célèbre requiem.
     
    Tableau de William James Grant.

     
     
    A l’origine de cette œuvre se trouve une belle histoire d’amour :
     
    Elle est belle, très belle même, la jeune épouse du comte Franz Von Walsegg Zu Stuppash. Elle a le teint pâle, des lèvres rouge cerise, de grands yeux rêveurs et tendres. Elle s’appelle Anna, elle a vingt ans. Le comte a deux passions qui gouvernent son cœur et tout son être, sa jeune femme Anna et la musique. La musique, il en joue et pense même composer.
     
    C’est donc le sol qui s’ouvre sous les pieds du comte quand la douce et belle Anna meurt. Il décide d’ériger un mausolée à sa chère Anna, un mausolée de notes, une messe de requiem. Il commande cette messe à un compositeur à peine plus âgé que lui et dont il aime les œuvres, un certain Wolfgang Amadeus Mozart. Il sait que l’ouvre sera de haute qualité, digne de sa femme chérie.
     
    Walsegg sait que Mozart vit à Vienne, qu’il joue et qu’il a donc besoin d’argent. Le comte mandate un de ses amis très proche pour contacter Mozart, et lui proposer cinquante ducats, pour l’écriture d’un requiem à l’intention d’un commanditaire anonyme.
     
    Mozart est impressionné quand, en juillet 1791, « celui qu’il nomme dans ses lettres le messager en gris » lui commande l’oeuvre ; il se sent en effet malade, épuisé, et il craint la mort qu’il sent rôder auprès de lui. Il s’imagine qu’il compose ce requiem pour lui-même. Mozart y travaille jusqu’au bout de ses forces, usant ses yeux sur les portées mal éclairées par les chandelles, tandis que Constance dort près de lui, dans ce lit dont il pressent que s’il s’y couche, il ne s’en relèvera pas. Il avance pourtant avec passion autant qu’avec terreur.
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    numérisation0004Première page du requiem avec l’écriture de Mozart.

     

    Mozart va rendre son dernier souffle, le 5 décembre 1791. Qu’advient-il du requiem ?

    Constance a plus que jamais besoin d’argent à la mort de son mari, et la douleur ravalée, elle comprend qu’elle doit tout faire pour honorer la commande du mystérieux homme en gris. Elle décide de confier l’achèvement du requiem à un élève de Mozart.

    Le comte Walsegg, reçoit donc une œuvre dont aucune page n’est de la main de Mozart, Constance ayant gardé les originaux de son époux.

    Le comte recopie à son tour la partition intégralement terminée et la fait exécuter comme étant de lui en mémoire de sa tendre Anna.

    Quelque temps plus tard, Constance révèlera que son mari était en fait l’auteur de ce requiem qui avait impressionné tous ceux qui l’avaient entendu.

    Mais savoir que la puissance tragique de cette œuvre, véritable sommet autobiographique d’un génie qui se tourne vers l’au-delà, est née d’un geste d’amour n’est pas en contradiction avec cette inspiration ultime portée par quelque chose qui, continue de nous dépasser.

    Extrait du Figaro Magasine de juillet 2011.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LE CHOCOLAT… UNE VRAIE PASSION !
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    numerisation0011-copie-1.jpg
    Un morceau de rêve… 
     
     
     
     
     
    « Je ne me souviens pas à quel âge j’ai donné le jour à mon premier gâteau au chocolat, mais je n’oublierai jamais l’excitation et la fierté avec lesquelles je l’ai présenté. »
     
    PAMELA ASQUITB : écrivain américain du XXe siècle.
     
     
     
    « Les bonbons au chocolat sont les meilleurs de tous.
     
    Noirs et sucrés, ils fondent sur la langue et nappent la bouche d’un velouté dont la volupté tient autant au goût qu’à la mémoire. »
     
    MARY GOODBODY : écrivain américain du XXe siècle.
     
     
     
    « Un péché affreusement nourrissant dont chaque cuillerée est une bénédiction : voilà la définition d’une bonne mousse au chocolat. »
     
    JULIA CHILD : chef cuisinier américain (née en 1912)
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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