•  

     

     

    POUR LE TABLEAU DU SAMEDI

     

    HENRI-PIERRE PICOU

     

    Est un peintre français, né à Nantes le 27 février 1824.

    Il est l’élève de Charles Gleyre, aux Beaux-arts de Paris, lauréat d’un deuxième prix de Rome, pour son tableau « Jésus chassant les vendeurs du Temple en 1853.

    Il meurt à Nantes le 17 juillet 1895, âgé de 71 ans.

    Malheureusement, je n’ai trouvé que peu de reproduction de ses tableaux.

    Il y a un tableau au Musée des Beaux-Arts de Nantes, (Jésus chassant les marchands du Temple), mais le Musée est fermé pour rénovation, depuis plus d’un an !

     

     

    Art

    Andromaque enchaînée (1874)

     

     

    Art

    La fontaine…

     

     


    6 commentaires
  •  

     

    Patrimoine

    Presque modeste, la Possonnière est à jamais la demeure d’un poète…

     

    LA POSSONNIERE

     

     

    Les bandes de gamins courent du manoir à la ferme, de la ferme aux sous-bois de la forêt de Gastine, effraient les bêtes, inquiètent les vieux ; parmi eux, le moins déluré n’est certes pas le petit Pierre qui aura bientôt douze ans.

    Il est de la Possonnière, de chez les Ronsard, et on le dit sensible, d’un esprit fin. Il est né ici, au-delà de la porte ogivale vieille déjà de deux siècles, en septembre 1524, quelques années après que son père, soldat de François 1er , fut revenu des guerres d’Italie ; et il a été baptisé non loin de là, à l’église de Couture.

    Sans aucun doute, on est bien ici au pays de Ronsard, dont les talents de poète vont illustrer les lettres de la Renaissance française.

    Cette Renaissance, Louis de Ronsard, son père, l’a découverte au-delà des Alpes, et, de retour dans sa vallée du Loir, il en laisse la marque dans la demeure qu’il fait reconstruire. Sept entrées, cave, forge, cuisine, ou remises, mais aussi abri de pèlerins se rendant à Compostelle, sont surmontées de devises latines.

    Dans la plus belle salle du manoir, une monumentale cheminée porte des « roses ardentes », l’emblème de la famille de Ronsard, mais aussi la salamandre de François 1er. A l’église de Couture, on voit les gisants des parents du poète.

     Lui-même dispose pour résidence d’une maison à Vendôme et de prieurés que les derniers Valois lui ont offerts, et qui l’éloigne de la Possonnière ; le « gentilhomme vendômois » repose au prieuré Saint-Cosme, près de Tours.

    Comme un bel hommage au poète, roses anciennes ou contemporaines peuplent la roseraie de la Possonnière, qui voisine avec un potager ; deux formes de jardins qui conviennent à la simplicité émouvante de l’endroit.

     

     

     

    Patrimoine

     Mignone, allons voir si la rose

    Qui ce matin…

     


    4 commentaires
  •  

     

     

    Vallée du Lot : balade nature au fil du Lot

     

     

    Le Lot, fleuve du Sud Ouest de la France, a été rouvert à la navigation en 1990 sur 75km, entre Larnagol et Luzech. Un parcours qui permet d'admirer les superbes falaises de la vallée, mais aussi de s'offrir des étapes culturelles dans des villages médiévaux ou gastronomiques au cœur du Quercy.

     

     

    Des Saisons et des Jours

    Nuits romantiques sur un bateau habitable sur le Lot

    Les amateurs d'authenticité pourront naviguer à bord d'une gabarre, embarcation traditionnelle qui descendait autrefois la vallée du Lot depuis le Massif Central jusqu'à la Garonne.

     

     

    Des Saisons et des Jours

    Retour au Moyen Age à Saint-Cirq-Lapopie

    "En découvrant Saint-Cirq-Lapopie, j’ai cessé de me désirer ailleurs", écrivait André Breton. On le comprend en découvrant ce village médiéval, étape incontournable pour les amoureux d'histoire et d'architecture. Maisons à pan de bois, fenêtres à meneaux, arcades... Les ruelles pentues du village, plantées de roses trémières, font plonger les visiteurs dans une autre époque.

     

     

    Des Saisons et des Jours

    A l'aventure dans le gouffre de Padirac

    Depuis la vallée du Lot, les aventuriers feront un petit détour vers le Nord pour visiter le gouffre de Padirac, merveille géologique façonnée par les eaux souterraines. Pour y accéder, il faut descendre plus de 100 mètres sous terre. Là, au fil de la rivière souterraine, on découvre des stalactites géantes, d'immenses salles voûtées naturelles et autres galeries majestueuses autant qu'impressionnantes.

     

    Textes et Images : source internet

     

     

    Et je ne me lasserais jamais

    De ce beau pays de France,

    Que nos Rois ont bâti.

    Ses paysages nous racontent notre histoire,

    Histoire de preux, qui vaillamment

    Donnèrent leur vie, pour que vive la France !

    Liviaaugustae

     

     

     


    7 commentaires
  •  

     

    Mythologie

    Basilique Emilienne : Tarpéia, milieu du 1er siècle avant J.C.

    (Les sabins jetant leurs boucliers sur Tarpéia)

    (Rome Forum)

     

    TARPEIA

     

    Fille du commandant de la garnison du Capitole, à Rome, au temps de Romulus, quand les Sabins vinrent assiéger la ville.

    Elle s’infiltra chez l’ennemi et promit d’ouvrir les portes de Rome si les guerriers sabins lui donnaient ce qu’ils portaient au bras gauche, c’est-à-dire des anneaux d’or. Les sabins acceptèrent et Tarpéia ouvrit les portes et les romains s’enfuirent. Quand Tarpéia, la traîtresse, réclama son dût, les guerriers jetèrent sur elle leurs boucliers qu’ils portaient aussi aux bras gauche ! Tarpéia périt.

    Un rocher à pic sur le Capitole, tout près du Temple de Jupiter d’où l’on précipitait les traîtres et les condamnés à mort, prendra le nom de « Roche Tarpéienne ».

     

    L’expression : « le Capitole est proche de la roche tarpéienne » est passée dans le langage courant. Ne pas oublier que le français découle presque entièrement du latin ! (Pour ceux qui ont fait leurs humanités) !

    Liviaaugustae


    2 commentaires
  •  

     

    Parois ornée d’architectures fictives du deuxième style, vers 20 avant J.C.

    (Rome Museo Nazionale)

     

     

    Tableau à fond blanc (détail)

     

     

    Triclinium une guirlande (détail)

     

     

    Art Romain

    Masques (détail)

     

     

    PEINTURES DE LA VILLA DE LA FARNESINE.

     

    Parmi les peintures les plus belles de l’art décoratif romain figurent celles d’une villa patricienne qui fut découverte en (1878-1879) lors des travaux d’aménagement du cours du Tibre, sur le domaine de la villa Farnésina. Les fresques ornant les murs furent prélevées.

    Une villa construite à Rome, sur un vaste domaine, avec un luxe de décorations et d’aménagements peu communs, et en plus datée des débuts de l’époque Augustéenne, ne pouvait être que la demeure d’un grand personnage de Rome, un membre éminent de la famille impériale. On a pensé à Agrippa, l’ami d’enfance, le général et le gendre de l’Empereur, qui avait épousé sa fille Julia en moins 21 avant J.C.

    Les parois sont couvertes d’ornements, de tableaux et de figures féminines ailées. Ici, l’architecture irréelle n’est plus qu’un jeu pour l’esprit comme pour les yeux.

    On peut donc présumer que les murs de la Farnésine nous donnent une idée assez précise de la manière qu’avaient les grands de Rome, de conserver et de présenter leur collection de tableaux. Les plus fortunés acquéraient les originaux, les autres se contentaient de peintures intégrées à la décoration murale. Mais sachant qu’à l’époque, déjà, des voix s’élevaient pour réclamer la remise des œuvres d’art privés à la communauté, ont peut penser que certains amateurs d’arts comme Agrippa, ont préférés décorer leurs demeures avec les copies des œuvres originales dont ils avaient fait dons pour éviter ainsi l’opprobre publique.

     

    Le résultat de « cette égalité »… Les originaux ont été perdus !

    Liviaaugustae

     

     

     


    4 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires