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    Le principe d'Archimède :

     

     

     

    « Tout corps plongé dans un fluide reçoit de la part de celui-ci une poussée verticale, dirigée de bas en haut, égale au poids du volume de fluide déplacé. »

     

     

     

     

     

    Ci-dessous de beau corps plongés dans un non moins beau fluide...

     

     

     

    Une coutume favorite (1909)

     

    Laurence Alma Tadema

     

     

     

     

     

     

     

    Eurêka !

     

    « J'ai trouve ! Est un exclamation marquant le moment d'une découverte ou d'une idée de génie. »

     

     

     

    Le mot « eurêka » a pénétré la langue français à travers une longue histoire qui est raconté à propos du philosophe et mathématicien Archimède.

     

    Et selon cette histoire, Archimède cherchait un moyen de mesurer le volume d'objets irrégulier parce que le roi Hieron de Syracuse suspectait son forgeron de rajouter secrètement, du métal ordinaire à sa nouvelle couronne en or.

     

    L'idée frappa Archimède lorsqu'il remarqua que le niveau de l'eau de son bain montait quand il y pénétrait,et descendait quand il en sortait. Le volume d'eau déplacé correspondait exactement au volume de quiconque, ou de quoi que ce soit, entrait dans le bain.

     

    Quand Archimède eut cette révélation , il s'exclama « heureka ! » (ce qui veut dire en grec ancien : « J'ai trouvé ! », il sauta hors de son bain et courut, nu et trempé, à travers les rues de la ville.

     

    En mettant la couronne suspecte dans un seau d'eau, il pouvait obtenir une mesure exacte de son volume, et ainsi du poids qu'elle devait faire si elle était en or massif.

     

    Depuis lors, les savants et les mathématiciens qui font des découvertes suivant l'exemple d'Archimède s'écrient : « Eurêka !» , mais ils ne courent heureusement pas nus dans les rues des villes !

     


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    Aujourd'hui 12 juillet,

     



     

    C'est la fête de Saint Olivier

     



     

    Je vous parle de ce saint, parce qu'aujourd'hui je fête mon fils Olivier.

     

     

    Le saint du jour...

     

    Saint Olivier Plunkett

     

    (évêque d'Armagh en Irlande)

     



     



     

    Au 1er juillet du martyrologue romain, à Londres, en 1681, la passion de saint Olivier Plunkett évêque d'Armagh en Irlande et martyr.

     

    Faussement accusé de haute trahison, sous le roi Charles II d'Angleterre il est condamné à mort, devant la potence, en présence d'une grande foule, il pardonna à ses bourreaux et professa jusqu'au bout, avec un grand courage sa foi catholique.

     

    Martyrologue romain.

     



     

    (Le roi Charles II, le sachant innocent, fit remettre sa dépouille à sa famille afin qu'il reçoive une sépulture décente).

     

     

     


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    Etes-vous hic et nunc ?

     

    Frise de la maison de l'empereur Auguste

     

    Pour paraphraser Napoléon, je dirais que :

     

    « Du haut de ces murs, 2000 ans nous contemplent »

     

    De quoi faire réfléchir avant d'exiger tout « hic et nunc »...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Hic et nunc : Ici et maintenant !

     

     

     

       Tous ceux qui ont fait leurs « humanités » ont entendu parler du hic et nunc. La formule latine signifie littéralement "ici et maintenant".

     

    Hic, adverbe de lieu signifie ici ; nunc adverbe de temps signifie maintenant.

     

    Nous avons sûrement tous vu des enfants taper du pied en exigeant ceci ou cela, pas demain ou plus tard, mais maintenant, tout de suite.

     

    Malheureusement, c'est ainsi que l'homme moderne traverse la vie, il veut tout tout de suite, pas demain, maintenant et s'il ne peut satisfaire ses désirs, ou bien il est très malheureux, ou alors il prend d'autorité sans se soucier des autres, ce qu'il croit lui revenir de droit...

     


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    L'art en héritage...

     

     

     

     

    Portrait de Foujita (1930)

     

    Ismael Nery

     

     

     

    Cette année, le Japon fête les 130 ans de la naissance d'un des grands peintres modernes.

     

    De sa naissance à Tokyo, le 27 décembre 1886 à son baptême à Reims en 1959, l'aventure mystique de Léonard (son nom de baptême en souvenir de Léonard de Vinci) Foujita est une montée en puissance.

     

    Rien ne semblait prédestiner le fils du général de l'armée impériale du Japon à s'encanailler à Paris avec la race cosmopolite des artistes qui fréquentent la capitale à la Belle Epoque.

     

    Il se lie d'amitié avec Modigliani, Picasso, Apollinaire...

     

    Au Louvre il repère les primitifs italiens qui lui rappellent les peintures sacrées japonaises sur fond or.

     

    Dès les Années folles, Foujita, crée des liens entre l'art occidental et oriental. Il est original, talentueux, racé, il sait rapidement créer son propre style.

     

    Une visite à la Basilique Saint Rémi est pour lui une illumination. Le voilà catéchumène sur les bancs du catéchisme.

     

    En smoking, il reçoit le baptême alors qu'il est déjà âgé. De son enfance au pays du Soleil levant à sa conversion à Reims, Foujita a suivit une idée fixe comme le soleil : « J'ai toujours eu l'intention de devenir chrétien. »

     

     

     

    Songeant alors à la conclusion de son existence, comme Matisse décorant la chapelle du Rosaire à Vence, Foujita réalise la chapelle Notre-Dame de la Paix à Reims.

     

     

     

     

     

    Chapelle de Foujita, Notre-Dame de la Paix à Reims

     

     

     

     

     

    Il imagine l'architecture, réalise la décoration, conçoit le mobilier et les vitraux, à l'âge de 80 ans, l'âge du bonheur au Japon, il relève un défi titanesque. Ce fils de samouraï démontre une fois de plus son exceptionnelle puissance de travail.

     

    C'est dans sa chapelle, rémoise qu'il repose, à l'ombre d'une Résurrection.

     

     

     

    Intérieur de la Chapelle Notre Dame de la Paix à Reims.

     

    Fresque de la Vierge à l'Enfant

     

    Léonard Foujita

     

     

     

    Synthèse des traditions nippones et européennes, sa peinture prêche un Evangile de la paix.

     

     

     

    Descente de Croix (1959)

     

    Foujita

     

     

     

     

     

     


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    Mes tableaux du samedi...

     

    Autoportrait au Christ jaune (1889)

     

     

     

     

     

    Paul Gauguin né le 7 juin 1848 à Paris, mort le 8 mai 1903 à Atuona Hiva Oa, Iles Marquises, est un peintre français postimpressionniste. Chef de file de l'Ecole de Pont-Aven et inspirateur des nabis. Il est considéré comme le plus importants précurseur de l'art moderne.

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Cueillette des fruits ou Aux Mangos (1887)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Cochons noirs (1891)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Fatata Te Miti (1892)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Te Tamari no atua - La Naissance (1896)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Vairumati (1897)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Cavaliers sur la plage (1902)

     

    (Texte et images wikipédia)

     

     

    Bien que les tableaux que Gauguin a peints en Bretagne soient très beaux, j'ai choisi les tableaux qu'il a peints aux îles, pour rêver sous les cocotiers de vacances, respirer la mer, et se dorer au soleil...

    Liviaaugusate

     

     

     

     

     

     


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