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    L'anneau de la discorde...

    L'anneau de Jeanne d'Arc

     

     

     

     

     

    C'est l'anneau que portait Jeanne d'Arc, un anneau tout simple en laiton : « décorée de trois croix et sur lequel est inscrit JhesusMaria, un anneau qu'elle avait reçu de ses parents pour sa communion et qu'elle n'a jamais quitté, elle l'a porté à chaque bataille.

     

    L'évêque Cauchon (il porte très bien son nom) qui devait condamner sa prisonnière pour sorcellerie, a prétendu qu'elle avait utilisé cet anneau pour accomplir de fausses guérisons. On la brûla comme sorcière. Au passage il le confisqua, puis le vendit, (sa vénalité est légendaire), au Cardinal anglais Henri Beaufort.

     

    Cet anneau aura transité par plusieurs propriétaire, du roi Henry VIII avant de terminer chez le fils d'un médecin français, venu à Londres avec le général De Gaulle, en 1940.

     

    Cet anneau mis en vente aux enchères à été racheté par Philippe De Villiers pour le Puy du Fou, où il sera exposé.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Cet anneau, n'est pas d'une grande valeur marchande, (même Monoprix n'en voudrait pas dans son rayon de bijou fantaisie). Mais d'une grande valeur historique, pour nous français, puisqu'il a appartenu à notre Jeanne d'Arc nationale.

     

    Mais voilà que Messieurs les anglais, au risque de faire redémarrer la Guerre de Cent Ans, traite le français de voleur, et exigent qu'il leur rende cet anneau, car prétendent-ils : « C'est leur trésor national » !

     

    Et pourtant, cet anneau a été acquis pour la modique somme de 376.833€.

     

    Ouf ! L'anneau est revenu au pays de Jeanne, nous ne le rendrons pas.

     

    Que l'anglois se le tienne pour dit !

     

     

     

    Liviaaugustae

     


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    29 mai 2016

     

     

     

    Bonne fête à toutes les mamans.

     

     

    Bonne fête maman...

    Bouquet offert par ma fille pour la fête des mères

     

     

     

     

     

    A ma mère

     



     

    Après un si joyeux festin,

     

    Zélés sectateurs de Grégoire,

     

    Mais amis, si, le verre à la main

     

    Nous voulons chanter, rire et boire,

     

    Pourquoi s'adresser à Bacchus ?

     

    Dans une journée si belle

     

    Mais amis, chantons en « chorus »

     

    A la tendresse maternelle.

     



     


    Un don si précieux,

     

    Ce doux protecteur de l'enfance,

     

    Ah ! C'est une faveur des cieux

     

    Que Dieu donna dans sa clémence,

     

    D'un bien pour l'homme si charmant

     

    Nous avons ici le modèle ;

     

    Qui ne serait reconnaissant

     

    A la tendresse maternelle ?

     



     

    Arrive-t-il quelque bonheur ?

     

    Vite, à sa mère on le raconte ;

     

    C'est dans le sein consolateur

     

    Qu'on cache ses pleurs ou sa honte.

     

    A-t-on quelques faibles succès,

     

    On ne triomphe que pour elle

     

    Et pour répondre aux bienfaits

     

    De la tendresse maternelle.

     



     



     

    Ô toi, dont les soins prévoyants,

     

    Dans les sentiers de cette vie

     

    Dirigent mes pas nonchalants,

     

    Ma mère, à toi je me confie.

     

    Des écueils d'un monde trompeur

     

    Ecarte ma faible nacelle.

     

    Je veux devoir tout mon bonheur

     

    A la tendresse maternelle.

     

    Alfred de Musset

     



     

    (Poème de jeunesse, écrit pour sa mère à l'âge de quatorze ans.)

     

     

     

     

     

     

     


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    Mes tableaux du samedi...

     

    Mary Brewster Hazelton,

     

     

     

    Née le 23 novembre 1868 et morte le 13 septembre 1953, est une peintre portraitiste américaine. Elle fut notamment la première femme à remporter un prix ouvert aux femmes et aux hommes aux Etats-Unis en remportant le prix Hallgarten de l'Académie américaine de design.

     

    Elle vécut une grande partie de sa vie avec ses sœurs dans la propriété familiale à Wellesley.

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

     

    Lumière d'été (1912)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Enfant avec ses jouets (1922)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    La japonaise (1897)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Mère et enfant (1921)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    La lettre (1916)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Deux sœurs au piano (1894)

     

     

     

    Mes tableaux du samedi...

    Venise le Grand Canal (1900)

     

     

     

    Cette charmante Dame nous offre de non moins charmants tableaux, nous contant la douceur de vivre d'antan...

     

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    La prêtresse Io...

     

    Jupiter et Io

     

    Lambert Sustri

     

     

     

     

     

     

     

    Io était une jeune prêtresse de Junon, fille du dieu-fleuve et roi d'Argos Inachos.

     

    Une nuit elle rêva qu'elle devait se rendre au bord du lac Lerne pour y rencontrer Jupiter . Un oracle d'Apollon prédit qu'elle devait réaliser ce rêve. Elle se rendit donc au bord du lac et y rencontra Jupiter qui tomba amoureux d'elle, et s'unit à elle.

     

    Mais pour que le couple échappe à sa femme Junon il transforma Io en une jolie génisse blanche et pour continuer à l'aimer il se transformait en taureau.

     

     

     

    La prêtresse Io...

     

    Jupiter offre Io à Junon

     

    David Tenier

     

     

     

     

     

    Mais Junon pas dupe de ce subterfuge, demanda à Jupiter de lui offrir la génisse, elle le confia à la garde d'Argus qui voyait tout car il possédait cent yeux.

     

     

     

    La prêtresse Io...

    Io prisonnière d'Argus

     

    Corregio

     

     

     

     

     

    Jupiter demanda à Mercure d'aller délivrer Io, ce dernier tua Argus, et Junon mit les yeux d'Argus sur la queue des paons...

     

    Délivrée de son gardien, Io ne jouit pas longtemps de sa liberté, car Junon lui envoya un énorme taon, l'insecte s'attacha à ses flancs et la rendit si furieuse qu'elle erra pendant des mois dans toute la Grèce.

     

    Io gagna finalement l'Egypte où elle repris sa forme humaine de belle jeune femme, et enfanta Epaphos fils de Jupiter.

     

    Elle s'installa définitivement en Egypte où on l'identifia à Isis, après sa mort elle fut transformée en constellation. Son fils Epaphos régna sur l'Egypte et à sa mort fut vénéré comme l'incarnation du dieu Apis

     

     

     

     

     

     

     


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    Le français en souffrance...

     

    Vue imaginaire de la galerie du Louvre en ruine.

     

    Hubert Robert

     

     

     

     

     

    Avec les sms, les textos, les raccourcis, les changements de sens donné aux mots, le français va mal, il boite, et dérape sur les « englicismes » qui ont envahi la langue de Molière et de La Fontaine...

     

     

     

     

    J'ai reçu un mail d'un neveu, et j'avoue qu'il a fallut les lumières de mes enfants pour m'éclairer sur ce langage un peu hermétique que je ne pratique pas, Il avait des « PB » le pauvre, et je ne savais pas ce que cela voulait dire.

    On ne fait pratiquement plus de bises, mais des « bizzzz ».

     

     

     

     

    Pour notre époque de gens pressés, accrochés à leur smartphone, les formules de politesse d'antan n'ont plus cours étant jugées désuètes, surannées et trop longues.

     

     

     

    Alors, des : « Cordialement », et des « Bien à vous », fleurissent au bas des lettres administratives, bancaires et autres courriers officiels.

     

     

     

    La racine de « cordialement » étant « cœur » on ne comprend pas pourquoi des gens que nous connaissons à peine, et parfois pas du tout, nous envoient leur « cœur » , et prétendent qu'ils sont « bien à nous » !

     

     

     

    Liviaaugustae

     


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